Le gouvernement congolais prépare sa replique après la sanction del' Union Européenne contre les anciens, et nouveaux membres autorités nationaux, dans le régime du président, Joséph Kabila Kabange, en République Démocratique du Congo. [ Mais dernièrement, un climat des tensions politique a été observé, d'ici, et là, sur toute entendu du térritoire nationale de ce plus grand pay d' Afrique Centrale ] Au niveau international, la candidate démocrate malheureuse à la présidentielle de novembre 2016 dernier, Hillary Clinton dénonce avec force, une collusion entre Russes et Américains, contre elle est longuement revenue, lors d'une conférence, sur la campagne de désinformation et de piratage attribuée par Washington à la Russie et dont elle a été la cible dans les mois précédant le scrutin. "Les Russes, à mon avis (...) n'auraient pas su comment transformer ces informations en armes sans l'aide d'Américains", a-t-elle déclaré lors de la conférence technologique organisée par Recode à Rancho Palos Verde en Californie, se référant aux fausses informations diffusées sur internet, aux robots Twitter et aux messages piratés. En particulier, a-t-elle dit, "des gens qui avaient des données de sondages". Qui, selon elle, guidait les Russes ? "Nous obtenons de plus en plus d'informations sur les contacts entre des responsables de la campagne Trump et des proches de Trump avec les Russes avant, pendant et après l'élection", a-t-elle répondu :

Hillary Clinton est allée mercredi plus loin qu'auparavant dans l'interprétation de sa défaite contre Donald Trump en affirmant que les Russes s'étaient probablement coordonnés dans leurs attaques informatiques avec des Américains, voire avec l'équipe du président républicain. Selon la démocrate, qui a exclu de se représenter, le meilleur exemple de cette coordination a eu lieu un mois avant l'élection, quand des messages piratés de la boîte Gmail du président de son équipe de campagne John Podesta ont été diffusés par WikiLeaks dans l'heure ayant suivi la divulgation dans la presse d'une vidéo de Donald Trump tenant des propos obscènes.
"Ils étaient forcément prêts, ils avaient un plan. Ils ont dû recevoir un feu vert, +OK cela pourrait être la fin de la campagne Trump, diffusez-les maintenant+", a-t-elle dit, en s'en remettant à l'enquête des autorités américaines pour faire toute la lumière sur les supposées ingérences russes.
Le président républicain a riposté dans un tweet, tard mercredi soir, critiquant son ancienne rivale pour son incapacité à assumer seule la responsabilité de sa défaite. "Hillary la crapule rend tout le monde responsable sauf elle et refuse d'admettre qu'elle était une très mauvaise candidate. Elle accuse Facebook et même les Démocrates et le DNC", le comité national du parti démocrate, a-t-il écrit.
Donald Trump faisait référence aux affirmations de Mme Clinton que de fausses informations sur elle ont été largement relayées sur Facebook, et qu'elle était paralysée parce que le parti démocrate n'avait pas de système informatique sophistiqué, contrairement au parti républicain.
Comme elle l'avait fait précédemment, Hillary Clinton a également mis sa défaite sur le compte de l'ex-directeur du FBI James Comey, qui a brièvement rouvert le dossier de ses emails quelques jours avant l'élection.
"Il balance cela et je commence tout de suite à chuter", a-t-elle affirmé, toujours réticente à se lancer dans une véritable autocritique de sa campagne.
"J'ai gagné trois millions de voix de plus que l'autre", a-t-elle ainsi répété, bien qu'elle ait perdu l'élection en raison du mode de scrutin indirect américain.
EN RDC : La RD Congo se prépare à lancer sa contre offensive contre les européens, coupables à ses yeux d’avoir sanctionnées 9 personnalités haut placées dans le régime.
Selon une source gouvernementale, la RDC n’ayant pas les moyens d’affronter, l’UE a décider d’ isoler et de cibler principalement la Belgique. C’est elle qui subira la colère de Kinshasa. Le royaume doit s’attendre à une réponse musclée. Sanctions UE: La Belgique principale cible des représailles de la RDC. SN Bruxelles et la RTBF dans le viseur. Il sera notamment question de réduire la fréquence de la desserte de Bruxelles Airlines à Kinshasa au profit de Air France par exemple, ce qui risque d’être un coup dur pour la compagnie aérienne belge parce que Kinshasa est l’une de ses destinations privilégiées.
Parmi les sanctions , l’on envisage également le retrait du signal FM de la RTBF.
À en croire notre source, la RDC va accentuer l’offensive diplomatique au niveau du continent pour obtenir de l’Union africaine une position unanime et commune contre ces sanctions de l’UE.
D’ores et déjà le président Alpha Condé, président de la République de Guinée et celui en exercice de l’UA à Kinshasa. Selon notre source, proche du gouvernement, contactée mercredi par la Rédaction de 7SUR7.CD et qui a requis l’anonymat, tous les européens ne seront pas mis dans le même sac.
Le gouvernement va se focaliser sur la Belgique.
Un pays que l’actuel pouvoir de Kinshasa considère comme étant à la base de ses sanctions qui ne visent qu’une seule chose: instaurer le néocolonialisme. Ainsi, le régime Kabila cherche à frapper le pays de Charles Michel là où ça lui fera le plus mal.
Selon cette même source, le gouvernement est en train de finaliser une liste de 9 secteurs ou domaines représentant les 9 personnalités sanctionnées devant faire l’objet des représailles des autorités congolaises.
Kasaï Central : annoncées hier, les consultations du chef de l’État commencent ce jeudi. Il sera question pour le garant de la nation d’évaluer la situation sécuritaire dans cette province en proie à l’insécurité due à l’activisme de la milice Kamuina Nsapu.
Selon un cadre de la Société civile locale, la grande priorité c’est parler avec le chef de l’État afin de lui demander de s’investir pour la stabilité de la situation sécuritaire au Kasaï qui demeure préoccupante depuis plus de 6 mois maintenant. Initialement annoncées pour mercredi 31 mai à Kananga, les consultations de différentes couches sociales de la population par le chef de l’État Joseph Kabila commencent ce jeudi.
D’après nos sources, le go à cette série de rencontres entre le président de la République et les leaders Kasaïens qui devait être lancée mercredi 31 mai a été repoussée d’un jour et sera donnée ce jeudi dans la matinée par Joseph Kabila Kabange au building du bâtiment administratif.

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