Des actes d'enlevement sont de plus en plus signalé d'ici et là en Ville de Butembo, et térritoire de Lubero, selon des sources fiable de Veranda Mutsanga : Avec auto kidnapping de Mlle ANNE MARIE WANGAHEMUKA, étudiante à l’IBTP en Ville de Butembo, en République Démocratique du Congo, en proie d'insécurité grandissante, ce dernier temp. Retour sur les faits Vous avez été entrain de suivre cette histoire qui faisait trembler la ville de Butembo une histoire vrai. Ainsi après l’avoir suivi par des sources interposés nous revenons sur les faits en tant que, ceux qui ont été en avant plan sur terrain pour remonter ce jeux savamment monté de toute pièce. En date du 26 avril 2017, la demoiselle ANNE Marie quitte son domicile et dit à ses parents qu’elle va à l’école, curieusement la fille ne va plus revenir. Le lendemain, donc en date du 27 avril, le numéro de téléphone de l’Etudiante commence à envoyer des sms auprès de ses proches, que la propriétaire de ce téléphone était déjà kidnappée et qu’il fallait envoyer 5000$ pour sa libération. Sa famille biologique et estudiantine panique, et ne sachant pas à quel saint se vouer, elles alertent les services mais sans succès :

On retiendra que les étudiants de l’IBTP Butembo étaient entrain de mener une pression sur les autorités pour réclamer la libération de leur camarade pensant qu’elle était kidnappée, ils aussi commis des dégâts sur leur propre sites et le site de l’UOR.
Anne MARIE et son copain ont été remis à l’Etat major de la PNC Butembo où l’instruction du dossier continue.
Le patron de la PNC promet présenter ces deux aventuriers amoureux auto kidnappeurs, au rond point VGH, une manière pour lui de décourager autres potentiels auto kidnappeurs !
La Véranda Mutsanga, se dit ne pas croiser les bras devant cette barbarie dans laquelle la jeunesse est entrain de se livrer compte tenu de la situation dans laquelle KABILA a plongé les Congolais.
Pour la cellule antiterroriste de la Véranda Mutsanga,
« G.M.K, Chargé des opérations. » Les révélations du réceptionniste de CAP KALIMBUTE ont vite ouverts les pistes aux verandistes pour changer des stratégies !
Sans pour autant exposer nos stratégies au public, la cellule antiterroriste a vite identifié le lieu de cachette de ces gens !
Incroyable mais vrais, Mr MICHEL TSONGO a été cueilli dans une alimentation au niveau du centre de LUKUANGA où il était entrain de siroter son verre en consommant progressivementla rançon lui envoyer ! Sous la pression des verandistes, l’homme n’a pas tarder à dévoiler là où était cacher la sa copine, cachée dans un logement de Mr GEDEON à quelques mettres de là où l’homme était cueilli, la fille enfermée dans une chambre et qu’elle ne quittait pas si ce ne pas le soir, elle a aussi été récupérée, et tous ont été déposés au commissariat de la police de LUKANGA.
Alerté, la PNC de Butembo, avait laquelle les verandistes travaillaient, ont envoyé un renfort à LUKANGA pour récupérer ces gens qui avaient déjà troublés les têtes des gens pendant plus de 2 semaines.
Bref : La cellule antiterroriste s’est rendu compte que, il n’était pas question du kidnapping, c’est fut une histoire d’amour, couverte par l’auto kidnapping, arrosée par la rançon livrée par la famille. Une semaine après, désemparé, la famille biologique et estudiantine, devant une presque impuissance des services de l’ordre, la famille verse la 1ier tranche de la rançon, et vient se livrer à la cellule antiterroriste de la véranda Mutsanga, qui s’est indigné contre le versement de ce rançon !
Sans tarder, la cellule antiterroriste de la Véranda Mutsanga se met au travail, comme d’habitude en concert avec les services de l’ordre, une 1iere vague d’arrestation et interpellation s’opère pour raisons d’enquête : la femme d’un pasteur de l’Eglise des freres des Jésus de Katwa est interpellée, identifiée par la cellule antiterroriste comme la perosnne qui avait hébergé ce présumé kidnappeur, Mr Michel TSONGO disant qu’il est de passage et qu’il est de leur confession en prévenance de Goma ; le réceptionniste de centre d’accueil CAP KALIMBUTE interpellé aussi pour avoir été en contact permanent avec ce Mr MICHEL, et plusieurs tenanciers des publics phones, où l’homme étaient entrain de retirer l’argent lui envoyer.
Lubero: Un groupe de miliciens incendient le bureau de la police à Lubango
Cette localité de Lubango située dans le sud du territoire de Lubero a été envahie le matin de mardi 9 mai 2017. Une centaine de miliciens s’en sont pris d’abord au sous-commissariat de la place, apparemment à la recherche des armes. Les policiers qui montaient la garde se sont échappés. Après quoi, les miliciens sont allés intimider le commandant dela PNC. Face aux multiples atrocités des miliciens, l'Administrateur de territoire se veut rassurant.
C'est au sujet de l'insécurité grandissante en territoire que BOKELE JOY a réagi. Il dit être saisi de toute la désolation que les groupes armes impose à la population. Au cours d’une interview téléphonique accordée lundi 8 mai à Radio Moto Butembo-Beni, BOKELE JOY a reconnu que les groupes armés poussent comme des champignons dans différents coins du territoire de Lubero.
Face à la souffrance de la population, l’autorité territoriale rassure que les FARDC n’ont pas encore dit le dernier mot. L’armée régulière continue d’étudier les voies de mettre tous les miliciens hors d’état de nuire, rassure l’autorité territoriale qui ne précise pas l’échéance que prendra cette étape. Toutefois, BOKELE JOY appelle toute la population à coopérer avec les FARDC et à leur fournir de l’information devant contribuer à identifier les cachettes de miliciens. L’administrateur de territoire de Lubero estime que la solution à cette insécurité ne viendra pas de l’armée seulement mais de l’effort de chaque citoyen de comprendre qu’il est temps de travailler pour son pays. BOKELE JOY insiste que certains miliciens sont des congolais. Ils n’ont pas intérêt de détruire le pays et de tuer la population.
Sans aucune assurance de la paix au lendemain de cette interview, l’autorité territoriale de Lubero demande à la population de garder espoir et cesser toute collaboration avec les miliciens.

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