« L'attaque dela localité de Mamove est une complicité des quelques enfants du térritoire ? Parmis les capturé beaucoup des jeunes d'Oïcha,et de Butembo »

" Attaque dela localité de Mamove encore des nouveaux capturé dans le rang du groupe des Maï-maï SHETANI dans le secteur de Beni-Mbau en territoire de Beni, au Nord-Kivu.Parmis eux beaucoup des jeunes d'Oïcha. Il s'agit de:
1) Muhindo Kimeme de Butembo/Kitwa blessé à son pied gauche lors des affrontements, ce dernier affirme qu'ils avaient comme mission:
- Déstabiliser les Fardc
- Conquérir le pouvoir jusqu' à Kinshasa malgré son nombre de 15...
Pour leur le bilan fait état de :
6 assaillants tués
4 capturés
1 civil tué
3 civils blessés...
La situation s'est révèle calme; le Chef de Localité Mamové Endukadi Kisubi Charles appel ses administrés à revenir car l'armée contrôle déjà la zone...
Au même moment Le Colonel KABALEGA FREDDY du 3404 ème Régiment salue la collaboration civilo-militaire dans la zone, cela avoir rappeler la jeunesse de se faire enrôler aux Fardc au lieu de se distraire dans les groupes armées et milices où elle sera exposée à la puissance du feu militaire des Fardc. Dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), alors que la situation sécuritaire est toujours très tendue dans la zone de Béni, la Mission de l’ONU au Congo s’inquiète d’une campagne de désinformation visant, selon elle, à décrédibiliser et à empêcher le travail des casques bleus. Mardi 12 novembre, la Monusco a appelé à faire cesser ces rumeurs. Depuis quelques semaines, la population des environs de Béni rapporte des accusations abracadabrantes. Les casques bleus transporteraient des rebelles ADF-Nalu, de nuit, par hélicoptère. Ils leur amèneraient des vivres, voire même du ravitaillement en armes. Certains habitants vont jusqu'à rapporter que la Monusco distribuerait des machettes. A chaque fois, personne n’a jamais rien vu de ses propres yeux mais ce sont des commerçants qui colporteraient ces histoires. Qui lance ces rumeurs ? Et dans quel but ? Pour le numéro 2 de la mission de l’ONU au Congo Abdallah Wafy, il s’agit d’une campagne de désinformation organisée. «L’ADF a une longue présence dans Béni, explique ce dernier.Ils ont donc recruté des jeunes de ce territoire. Aujourd’hui, selon certaines estimations, près de 40 % des combattants d’ADF sont originaires du territoire de Béni. Et donc l'une des conséquences de la pression militaire des FARDC[Forces armées de la République démocratique du Congo ndlr],conjointement avec la Monusco, a été[l'activation]de ces réseaux criminels. C’est cela qui nous préoccupe. On essaye d’intoxiquer la population pour la remonter contre les FARDC et la force de la Monusco et essayer de créer ainsi une espèce de paralysie. RDC : les casques bleus critiqués. Accusée de ne pas avoir empêché les massacres de ces derniers jours dans l’Est de la République Démocratique du Congo, la Monusco est décriée par la population.
Que pensez-vous de l’action des casques bleus ? Remplissent-ils leur mandat ?
Arnaud Pontus lance le débat. les accusations de Mbusa Nyamwisi font réagir à Kinshasa. Les réactions aux affirmations de Mbusa Nyamwisi sur RFI, samedi, concernant la situation à Beni, se multiplient en RDC. L'ancien ministre et président du RCD/KML, en exil, a accusé des responsables des FARDC, les forces armées congolaises, sur place à Beni, d'entretenir l'insécurité en se faisant les complices des rebelles ADF-Nalu. Plusieurs Kinois exigent une enquête indépendante. Quelques membres de la délégation parlementaire dépêchés à Beni ont affirmé que les témoignages recueillis sur place corroborent quelques peu les affirmations de Mbusa Nyamwisi, et pour de nombreuses personnes interrogées à Kinshasa, ce sont des accusations graves qui méritent d’être examinées minutieusement. Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, a tenu lui aussi à réagir aux propos de l'ancien ministre Mbusa Nyamwisi. Il rappelle que les FARDC luttent tous les jours dans la région contre les rebelles ougandais des ADF-Nalu. Mais il explique qu'il est parfois difficile pour les forces armées de les arrêter : « Les actes qui ont été perpétrés ces derniers jours l’ont été dans les périphéries des milieux urbains. Dans les dix minutes qui ont suivi, ils sont immédiatement entrés dans la forêt. Il est difficile de mettre dans chaque maison un policier ou un militaire. » Selon Julien Paluku, les rebelles ont profité des villes les plus éloignées« où ne sont pas déployés les éléments des forces armées pour y perpétuer ce massacre ».Des forces armées « qui sont, à l'heure qu'il est, à leur poursuite. En RDC, l'ancien ministre Mbusa Nyamwisi, originaire du territoire de Beni, met en cause la version officielle des massacres survenus dans ce territoire et attribués par les autorités aux rebelles ougandais des ADF-Nalu. Pour lui, l'armée congolaise n’a pas fait preuve que d'incompétence. L'ancien patron de la rébellion RCD-KML accuse le général Mundos, le commandant de l'opération Sokola censée lutter contre les ADF-Nalu, d'être le complice des rebelles. Mbusa Nyamwisi exige une enquête indépendante."

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