Bilan d'une attaque des rébélles Adf-Nalu à Eringeti localité situé à 55 km au nord dela ville de Beni sur la RN¤ hier dimanche 29 novembre 2015. Pour la CRDH, les rébélles sont venus pillé et tué la population innoncente car ils ont crépité les coups de balles pendant plusieurs heures tout en etant en train de tuer, pillé, emporté des biens dela population, de brûlé aussi le centre hospitalier de Eringeti en territoire de Beni à l'Est du pays. Ceci intervient après l'attaque du camp de l'armée congolaise par ces rébelles, dimanche soir dernier. Cela a crée un climat de psychose généralisée entre la population victimes des Adf‪‬. Les malades et infirmiers seraient déjà brûlés et sont les ‪ADF‬ qui ont contrôlé dans quelques heures Eringeti. Plus de 15 boutiques sont pillées et plusieurs autres maisons réduites en cendre. (Ce matin, des pauvres hélicopts de l'UN survolent les champs de cultivateurs de Beni sans rien appércevoir du mal), se désolent les victimes qui ont passées nuit en brousse avec de serpents.

Beni térritoire Nord-Kivu : les ADF-Nalu sèment la terreur. Au moins 22 personnes ont été tuées et plusieurs blesés dans une attaque d’une extrême brutalité, des Adf-Nalu a rapporté la société civile de Beni ville et térritoire dans un communiqué publié ce lundi 30 novembre 2015. Parmi les disparus on compte 11 Adf-Nalu tué, 7 civiles, et 4 millitaires tombé dans le combat Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Reportage ici du président d'une ONG connu sous le non de CEPADO. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Alors que ce sont des véritables terroristes qui s’assignent pour mission islamiser de force toute la région et créer un Etat Islamiste dans la Région de Grand-Lac. Pour sa part, la société civile de Beni ville et térritoire encourage l’armée régulière congolaise de démanteler le centre international de terrorisme. La guerre en RDC témoigne du réveil d’une guerre qui couvait depuis des années. Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les images, toujours recommencées, des victimes civiles fuyant les zones de combat, les pillages et les viols perpétrés par toutes les forces armées impliquées dans le conflit ou celles du recrutement forcé d’enfants soldats, se posent des questions de fond. Quels sont les acteurs d’un conflit dont la durée et les rebondissements après chaque phase d’accalmie signifient qu’il est l’expression de tensions structurelles ? Depuis ce temps, les rebelles multiplient des massacres et n’hésitent pas à s’attaquer même aux forces onusiennes. C’est ainsi que début mai, un hélicoptère de l’Onu a essuyé des tirs qui l’ont forcé à atterrir en urgence. Enchâssé dans l’entité géopolitique des Grands Lacs, le Kivu est partie prenante, d’un système régional de conflits. La guerre qui s’y déroule constitue une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC, et une menace pour la stabilité de toute la région : aujourd’hui plus que jamais le Kivu est la poudrière de l’Afrique Centrale. Après des incursions successives des miliciens ADF dans les localités de Linzo-Sisene, Mayi-Moya, Kisiki et Maibo dans le groupement de Bambuba-Kisiki sur l’axe Oicha-Eringeti, dans le secteur de Beni-Mbau, rappelle-t-on, ces terroristes viennent d’opérer un véritable carnage à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni. Toutefois, avec les ingrédients de l’histoire tumultueuse de la RDC depuis 1960, l’enjeu que représente Beni mérite d’être perçu différemment… Près de 250 morts en un mois ou presque, et cela à raison d’une trentaine un jour, d’une vingtaine un autre jour, d’une quarantaine encore un autre jour, quand ce n’est pas une dizaine ou moins d’une dizaine : le territoire de Beni est en train de subir une épreuve que jamais les autres territoires de l’Est n’ont jusque-là connue, et cela dans un laps de temps si court. La guerre en RDC témoigne du réveil d’une guerre qui couvait depuis des années. Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les images, toujours recommencées, des victimes civiles fuyant les zones de combat, les pillages et les viols perpétrés par toutes les forces armées impliquées dans le conflit ou celles du recrutement forcé d’enfants soldats, se posent des questions de fond. Quels sont les acteurs d’un conflit dont la durée et les rebondissements après chaque phase d’accalmie signifient qu’il est l’expression de tensions structurelles ? Enchâssé dans l’entité géopolitique des Grands Lacs, le Kivu est partie prenante, d’un système régional de conflits. La guerre qui s’y déroule constitue une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC, et une menace pour la stabilité de toute la région : aujourd’hui plus que jamais le Kivu est la poudrière de l’Afrique Centrale. Insécurité à Beni : Adf-Nalu sur les traces de Boko Haram ? La cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. Ces rebelles sont de plus en plus actifs et continuent de défier les forces de l’ordre congolaises, les autorités y comprises. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Depuis octobre, plus de 300 personnes hommes, femmes, enfants ont été massacrées dans ce territoire.

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