Nombre dela population Indru dépuis long temp : Titre uniforme [ Recensement dela population au Zaïre vers 1984 ] La population congolaise a été longtemps mal connue. Les premiers recensements ont commencé dans les années 30 avec la politique de regroupement des villages le long des axes de circulation. Mais ces opérations se sont limitées aux zones rurales. Les recensements en milieu urbain ont démarré en 1947 dans l'actuel Congo centrale. Àl'époque du Congo-Belges, ils se sont poursuivis en 1949 à . Plusieurs autres opérations statistiques ont été entreprises par la suite dans l’ensemble du pays :1958 et 1962. Ce projet va permettre la mise au point des outils qui serviront au recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) qui intervient en 1974. Les résultats du RGPH 1974, les évaluations démographiques antérieures ayant été sous-estimées de 17 % environ ce qui correspond à 202 000 personnes en 1970 (cf. tableau 1). Le dernier recensement général de la population et de l’habitat s’est déroulé en 1984.

Dépuis des année les Indru conservent leurs culture à partir du foyer d'origine. Nombre de locuteurs étaient à 100 000 (en 1991) aujourd'hui il est dificile de savoir le nombre exact de cette population Indru. Les estimations des populations Indru et de varie d’une source à l’autre. Elles sont rendues délicates par le nomadisme et le fait que les groupes puissent circuler très librement à travers la frontière. Selon les sources, la population d'aujourd' hui serait comprise entre 300 000 à 500 000 personnes. Suite àl'événement d'indépendance des plusieurs pays d'Afrique, beaucoup dela population noire du continent ont abandonnée leurs culture traditionnel des encêtres. Bien qu'ils soient très attachés à leurs culture, dépuis leurs foyer d'origine des nombreux ont abandonné leur mode de vie traditionnel pour le style de vie occidental. Certains jeunes ont émigré en Europe ou en Amérique du Nord, afin notamment de poursuivre des études supérieures. Du point de vue culturel dela communauté Indru est marquée par une littérature orale qui s'exprime à travers des récits historique des contes. un grand nombre d'autres disciplines ont permis la mise au point d'une méthodologie historique très neuve, dont témoigne la monumentale Histoire générale de l'Afrique qu'a publiée l'U.N.E.S.C.O. À partir des années de-600, à 1450) L'histoire du continent tout entier apparaît comme une entreprise récente et difficile. Pendant longtemps, seules l'égyptologie, l'islamologie et l'histoire coloniale l'ont, chacune de son point de vue, abordée ; il faut noter du reste que les très anciens systèmes d'écriture, en Égypte, à Méroé, en Éthiopie, sont encore loin d'avoir apporté toutes les informations attendues. Les sources rédigées en arabe, par des auteurs qui n'ont qu'exceptionnellement connu l'ensemble du continent, les archives européennes et les récits des explorateurs constituent des sources fiable. Cette population est repartie entre les ethnies, Lendu, Hema, Alur, Bira, Nyari, Mambisa, Ndo okebo, Logo, Lese et Indru. Incitations du gouvernement, pour le peuple Indru, visant à leurs faire adopter un mode de vie plus sédentaire et à adopter l’ agriculture, la chance, pêche, et quelques petit commerce. Et c'est l'occasion pour les experts de préciser que les principaux groupes ethniques de la région sont composés de Alur 500.000 Hab., de hema 160.000 hab., de lendu 750.000 hab., de ngiti 100.000 hab., de bira 120.000 hab., de ndo okebo 100. 000 hab. Ce chiffre s'apparente également à celui avancé par les agences humanitaires opérant pendant la guerre dans la région. Joseph Tshimanga écrit en citant les agences humanitaires que l'Ituri est peuplé d'environ 4,5 millions d'habitants. Les Indru connu également sous le nom de Lendu-Bindi dans les institutions nationale et international, font parti de la grande famille lendu qui forme près de la majorité de la population de l'Ituri. Il ne faut cependant pas oubliés les mbutes ou les pygmées qui constituent également une population mais elle est minoritaire dans la région. Toutefois, il importe de faire remarquer que les Lendu et les Hema rassemblés forment au moins 41 % de la population de l'Ituri.17 Voila pourquoi ils méritent plus d'attention que les autres groupes segmentaires. puisque la République Démocratique du Congo en crise de recensement depuis plus d'une décennie, il est difficile d'avancer des chiffres officiels de la population de l'Ituri. Cependant, si l'on prête foi aux écrits de Sematumba lorsqu'il parle de la guerre dans une guerre, qualifiant ainsi la situation conflictuelle de l'Ituri, il souligne qu'en 2001, Ituri comptait environ 4.605.403 personnes. Ce chiffre s'apparente également à celui avancé par les agences humanitaires opérant pendant la guerre dans la région. Joseph Tshimanga écrit en citant les agences humanitaires que l'Ituri est peuplé d'environ 4,5 millions d'habitants. DEMOGRAPHIE DANS LE TERRITOIRE D'IRUMU : Situé au Sud-est du district, le territoire d'Irumu est le plus important. Deuxième de par sa superficie qui est de 8, 730 km2, le territoire d'Irumu a le privilège de porter en son sein la ville chef lieu du district de l'Ituri, la cité de Bunia. Il compte par ailleurs douze collectivités et se caractérise par la majorité des peuples hema. On distingue les collectivités de : Il découle de cette présentation, combien succincte de la géographie de l'Ituri, que ce district est né des migrations des peuples de l'Est de l'Afrique qui ne se sont pas fortement éloignés de la frontière. Il est plus simple de remarquer que les quatre territoires où son bien représentés les hema et les lendu sont situés le long de la frontière avec l'Ouganda. Cette précision s'avère indispensable, car elle sera d'un apport majeur et considérable lorsque nous aborderons les différentes dimensions du conflit Iturien qui sont liés aux intérêts économiques, politiques et identitaires. Ce qui nous amène à parler de l'historique de la population du district de l'Ituri.

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