BENI VILLE ACCUEL LE PRESIDENT JOSEPH KABILA. IL VIENT DE S'ACCUERRIRE DELA SITUATION SECURITAIRE EN BENI VILLE ET TERRITOIRE DÉCHIRÉ PAR LA GUERRE DEPUIS PLUS DE 4 ANS JUSQU'AUJOURD' HUI. RDC: arrivée du président Kabila à Beni ville dépuis l'après midi du samedi 19 décembre 2015 la région toujours le théâtre des attaques des rébélles ougandais des Adf-Nalu. Beni: Joseph Kabila promet la neutralisation des rebelles ADF-Nalu et d'autres groupe armées qui térrorisent la population innocente. Aujourd' hui cela a crée d'épiscose au sein dela population qui abandonnent leurs foyers. Joseph Kabila séjourne, depuis samedi 19 décembre, dans la ville de Beni, située à plus de 350 km au Nord de Goma (Nord-Kivu). Il doit réncotrer les répresentants de tout les couches dela population en audience de part et d'autres comme il a fait à Oicha chef-lieu du térritoire de Beni, où il a promis de rétablir la paix sur toute parti de Beni térritoire. Donc la population enttend voir le changement et l'accélération dans l'oppération sukula 1 contre tout les groupes armées dans la région de Beni. Avant l’étape de Beni, le chef de l’Etat a inauguré, mercredi 16 décembre, la Centrale hydroélectrique de Matebe, située à 70 km au Nord-Est de Goma au Nord-Kivu. Dans la ville de Beni, le chef de l’Etat a été précédé, depuis jeudi 17 décembre, par le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku et le ministre d’Etat en charge de la Décentralisation, Salomon Banamuhere. «Comme vous le savez, le président de la république est à Goma et pour moi je ne peux pas ne pas venir évaluer la situation en vue de lui permettre de pouvoir décider sur des grandes mesures qu’il a annoncé lorsqu’il était devant les deux chambres du Parlement, réunies en congrès», a expliqué le gouverneur du Nord-Kivu. Julien Paluku a remercié les infirmiers et médecins de la cite d’Oicha et du secteur de Beni Mbau qui ont accepté de reprendre le service après quelques jours de grève. «Je suis heureux que mon appel ait été reçu par la société civile et tous les infirmiers et médecins qui ont déjà repris le service. Je les remercie sincèrement pour cette reprise», a-t-il ajouté. Ce personnel de santé avait décrété cette grève pour protester contre l’insécurité dans la contrée. Plus de 300 personnes avaient été tuées, depuis octobre 2014, par des présumés rebelles ougandais des ADF dans le territoire de Beni, selon la société locale. Le chef de l’Etat congolais est attendu dans la ville de Beni, située à 350 km au Nord de Goma (Nord-Kivu), vendredi 18 décembre, affirment des sources officielles. Joseph Kabila va sans doute profiter de sa visite pour évaluer la situation sécuritaire de ce territoire, en proie à l’insécurité, entretenue par des hommes armés dont les ADF. Ces rebelles ougandais ont incendié, il y a plus de deux semaines, une trentaine de boutiques, restaurants, pharmacies et dépôts, à Eringeti, localité située à 60 km au Nord-Est de Beni-ville. Le président congolais Joseph Kabila vient d'arriver, ce mercredi, à Béni dans le nord-est de la RDC. Un déplacement dix jours après une série de massacres qui ont fait plus de 80 morts dans la région. C'est une visite rare puisque le dernier voyage de Joseph Kabila remonte à l’année dernière. Une visite attendue alors que la situation sécuritaire s’est fortement dégradée. Cette région de Beni important carrefour commercial de l’est de la RDC théâtre de récents massacres. l’est de la République démocratique du Congo (RDC) théâtre de récents massacres, a constaté un photographe de l’AFP. Le chef de l’Etat a été accueilli à sa descente d’avion par des membres du gouvernement national et de celui de l’instable province du Nord-Kivu, ainsi que par de nombreux militants, selon ce photographe. Courant octobre, en moins de deux semaines, des rebelles islamistes ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) avaient massacré environ 80 personnes, dont une trentaine à Beni même. M. Kabila, arrivé à Beni à partir de Goma), où il était en tournée dépuis le jeudi dernier. Le président est arrivé alors que, la veille, des ADF ont attaqué une position de l’armée située à une quarantaine de kilomètres au nord de Beni, faisant un mort de chaque côté avant que les assaillants ne fuient en brousse. Une autre attaque a ciblé presque simultanément une station d’essence à Ngadi, à quelque 10 kilomètres de Beni, selon une source officielle. La Société civile de Beni, une fédération d’associations locales, a pour sa part indiqué que l’attaque avait fait deux morts: un militaire et un rebelle ADF. L’ADF est active depuis 1995 dans une région montagneuse du territoire de Beni, situé dans l’extrême nord-est de l’instable province du nord-Kivu. Elle s’y livre à de lucratifs trafic, notamment de bois, et commet de graves exactions (meurtres, enrôlement d’enfants, pillages…) contre les civils. Depuis janvier, l’armée et la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) ont lancé plusieurs attaques contre l’ADF, qui en est sortie affaiblie mais toujours nuisible.

Les attaques des Adf contre les civils, et des véhicules roulant sur axe routier Beni Eringeti, se pour suivent et se ressemblent à Beni, territoire de la province du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC. Par armes à feu ou à la machette, les populations sont massacrées dans les quartiers périphériques de la ville éponyme et dans les villages environnants. À en croire le bilan de la société civile locale, du "2 octobre au 2 novembre", les tueries ont fait environ 120 morts et entraîné le "déplacement massif d’au moins 10 000 ménages". Fin octobre, Joseph Kabila lui-même s’était rendu dans la région pour essayer de rassurer la population, promettant de "vaincre" les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), soupçonnés d’être responsables de cette série des massacres. Mais le passage du chef de l’État congolais n’a rien changé sur le terrain. Dès le lendemain de son départ, entre 7 et 11 personnes ont été tuées à Beni, provoquant une violente émeute dans la ville. *.Pourquoi les attaques se sont-elles multipliées depuis octobre ?
"Personne ne s’attendait à ce retour de bâton", admet une source de la Mission de l’ONU pour la stabilisation du Congo (Monusco). Ragaillardie par sa victoire sur le Mouvement du 23-Mars (M23), l’armée congolaise, appuyée par la brigade d’intervention de la Monusco, avait en effet lancé depuis le 16 janvier l’opération "Sokola" (nettoyer, en français) contre les combattants de l’ADF, actifs dans le territoire de Beni. Très rapidement, des bastions et autres sanctuaires des rebelles ougandais avaient été repris. "Les ADF étaient en déroute", commente notre source onusienne. Des groupes armés du Kivu après la fin du M23
La Monusco et l’armée congolaise ont oublié que les ADF n’étaient pas un groupe armé comme les autres. Thomas d’Aquin Muiti, président de la société civile du Nord-Kivu
Problème : "La Monusco et l’armée congolaise ont oublié qu’ils avaient affaire à un groupe armé pas comme les autres, les ADF étant une organisation terroriste", soutient Thomas d’Aquin Muiti, président de la société civile du Nord-Kivu, regrettant que l’opération "Sokola" ait été "suspendue au mois de juin" après les succès enregistrés sur le terrain. "Cela a permis aux éléments résiduels des ADF de se réorganiser, de se renforcer – en hommes et en matériels – et de mener aujourd’hui tous ces actes de sabotage contre les civils", explique-t-il. Du côté de la Monusco, on essaye de nuancer. "L’opération ‘Sokola’ a plutôt été perturbée, voire ralentie, après la mort du général congolais Bahuma, le numéro un de l’armée congolaise dans le Nord-Kivu. Mais nos troupes n’ont jamais pour autant été désengagées sur le terrain", affirme la source onusienne.
*.Qui sont derrière ces attaques ?
Des questions se posent cependant sur l’identité réelle des auteurs de cette série d’attaques meurtrières à Beni. "Sachant que les ADF ont été gravement affaiblis, la Monusco s’interroge sérieusement sur leur capacité aujourd’hui à mener ces massacres", confie un membre de la mission proche du dossier. Qui sont donc réellement les auteurs de ces tueries ? Personne ne peut aujourd’hui le dire avec certitude. Aussitôt arrivé, le chef de l’Etat s’est rendu à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni, qui fait face, ces derniers jours, à des incursions récurrentes des présumés ADF. Ces rebelles ougandais sont accusés d'avoir incendié, il y a près de trois semaines, une trentaine de boutiques, restaurants, pharmacies et dépôts, à Eringeti, localité située à 60 km au Nord-Est de Beni-ville.
Dans son adresse à la population d'Oicha, il a promis la neutralisation des groupes armés qui écument le territoire de Beni dont les rebelles ougandais de l'ADF.
A l’occasion, Joseph Kabila a également exprimé la volonté du gouvernement de prendre en charge les déplacés de guerre qui se trouvent sur l’axe Mavivi-Oicha-Eringeti.
Sur place, le chef de l’Etat s’est entretenu avec plusieurs couches de la société civile du territoire de Beni pour évaluer la situation sécuritaire dans la zone.
Il s’agit notamment des chefs coutumiers, responsables des confessions religieuses, des associations des jeunes et des infirmiers qui disent avoir demandé au chef de l’Etat de tout mettre en œuvre pour mettre fin à l’insécurité et aux massacres des civils à Beni.
Avant de quitter la cité d’Oicha, Joseph Kabila a visité le camp militaire Mukakira pour se rendre compte des conditions de vie des soldats de l’armée régulière engagés au front contre les ADF.
Avant l’étape de Beni, le chef de l’Etat a inauguré, mercredi 16 décembre, la Centrale hydroélectrique de Matebe, située à 70 km au Nord-Est de Goma au Nord-Kivu.
A Beni, le chef de l’Etat a été précédé, depuis deux jours, par le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku et le ministre d’Etat en charge la Décentralisation, Salomon Banamuhere.
Plus de 300 personnes avaient été tuées, depuis octobre 2014, par des présumés rebelles ougandais des ADF dans le territoire de Beni, selon la société locale.

Commentaires