MASSACRES DELA POPULATION CONTINUE À BENI VILLE ET, TÉRRITOIRE DÉPUIS OCTOBRE DEL'ANNÉE 2014 À... Aujourd' hui encore on conte des morts des civile à MAYANGOSE. Celle d'Oïcha a eu lieu le 08/10/2014 donc plus d'une année jours ou jours nos frères du chef-lieu du térritoire de Beni ont étaient tué àla machette, hache, couteau, par les rébéles Adf-Nalu 1. Du 04 au 05/10/2014 : En village MUKOKO, situé à plus ou moins 5 kilomètres d’Oïcha du côté gauche de la route principale nationale n° 4. Ce jour 2 personnes ont été tuées, par des hommes armés identifiés comme ADF, 3 autres avaient été enlevées avant d’être libérées par les FARDC. 2. Le 06/10/2014 : Au village LINZO-SISENE,sur l’axe Oïcha-Eringethi. 7 personnes tuées,12 blessés par machette et haches, 8 personnes portées disparues jusqu’à présent. 3.Du 5 au 06/10/2014 : Dans les villages MAYIMOYA, MAIBO et KISIKI tous situés sur l’axe Oïcha-Eringethi: 9 personnes tuées. 4.Le 08/10/2014 : En Cité d’Oïcha, Quartier BAKAIKU, Cellule Aliaki/MAMIKI, 9 personnes tuées dont 5 d’une même famille. L’opération avait fait 2 blessés. 5.La nuit du 15 au 16 octobre 2014 : incursion d’hommes armés dans les cellules de Ngadi et Kadou dans les périphéries de Beni. Plus ou moins 30 morts et plus de 10 blessés. Rappellons que, le 08/10/2014 la cité d'Oïcha, été attaqué par ce même rébélles Adf-Nalu présume assasin précisement dans une célule Mamiki. Ce jour là 9 personnes ont etaient tuées à Oïcha, dans une attaque des des rebelles ougandais des ADF-Nalu dans la soirée du mercredi 8 octobre en chef lieu du territoire de Beni,dans la province, du (Nord-Kivu). Des sources locale dans la région ont rapporté que les habitants d’Oicha et d’Eringeti se sont déplacé abandonnant leurs localités et se sont dirigé vers les villes voisines de Beni et Butembo. Pour sa part la société civile locale, avec le président Lewisi Saliboko a témoigné que ces rebelles ougandais ont jeté deux jours avant des tracts à Eringeti, une localité voisine d’Oicha, promettant de venger leurs camarades tués pendant les opérations militaires menées par l’armée congolaise. D'autres sources ont indiqué que les rebelles se sont introduits dans plusieurs maisons avant d’abattre plusieurs personnes. Pour se venger de la complicité de villageois des environs de Beni-centre,dont la collaboration avec le Gouvernement aurait facilité aux FARDC de mettre les ADF-NALU en déroute et de réussir à détruire tous leurs camps,au cours d’une opération-éclair connue sous le nomde code terrible de“SOKOLA” (signifiant : nettoyer,en langue lingala) « Antithèses »1. Ça ne tient pas du tout la route car, la plupart des jeunes gens engagés dans les rangs de l’ADF-NALU, sont des fils et petits-fils de ces villageois qui sont massacrés depuis Août 2014 jusqu’à ce jour. Le 08/10/2015 mr Paluku, Jean Paul Ngahangondi le président nationale d'une ONG, Convention pour le respect des droits de l'homme CRDH en sigle, vient de publié un communiqué sur son compte facebook en disant que , mes chers amis : JUSTICE INTERNATIONALE: Le Procureur de la Cour Pénale Internationale ( CPI) vient d'accuser la réception du rapport pubier fin Septembre 2015 par l'Organisation de défense des droits humais "Convention pour le respect des droits de l'homme" CRDH en sigle. Dans ce rapport de 16 pages intitulé < MASSACRES DE LA POPULATION DE BENI VILLE ET TERRITOIRE, COMPLOT BIEN ORCHESTRER>, votre Organisation avait demandée au Procureur de la CPI d'ouvrir les enquêtes internationales indépendantes pour identifier les vrais auteurs , leurs complices, et les bénéficiaires ultimes de cette campagne de tueries. Cette ong souhaite l'arrestation des personnes complices,en traduisant dévant la justice et le faire condamner. Compte tenu du manque de crédibilité des autorités Congolaises nous avions demandés l'implication personelle de la CPI et il vient d'accuser reception du rapport tout en ressurant à votre Organisation qu'un travail vient de commencer dans ce cadre. A l'heure qu'il est la CRDH est en train de remplir les formilaires envoyés par le Procureur de la CPI dossier A Suivre! Selon Jean Paul Ngahangondi. Sur RFI : Mbusa Nyamwisi a mit en cause un haut gradé de Fardc le seul armée nationale dela République Démocratique du Congo. Pour lui, l'armée congolaise n’a pas fait preuve que d'incompétence. Celui ci accusé le général Mundos, le commandant de l'opération Sokola censée lutter contre les ADF-Nalu, et complice de ces rebelles ougandais. Pour sa part Julien Paluku gouverneur du nord-kivu a accusé Mbusa Nyamwisi de préparer une nouvelle rebellion selon lui, l'insécurité à Beni n’est pas seulement l’œuvre des rebelles ougandais. Selon le gouverneur du Nord-Kivu, il s’agirait d’une double manœuvre visant de désolidariser la population du grand-nord d’avec l’administration et l’autorité légalement établie, afin de lui inculquer des dissections et l’amener à s’allier à une rébellion en gestation qui se présenterait en libérateur,parmi lesquels Antipas Mbusa.

" L'Afrique sub- saharienne a été pendant longtemps le théâtre des guerres par procuration qui découlaient de la rivalité Est-ouest avec la fin de la guerre froide, tous les esprits étaient permis de voire l'Afrique, notamment la région des grands lacs, renouée avec une paix durable d'autant plus que l'organisation des Nations Unies devait commencer à manifester véritablement son rôle de gardienne de la paix internationale, rôle qui lui a échapper pendant toute la période de la guerre froide du fait des affrontements idéologiques entre le bloc capitaliste et le bloc socialiste.Curieusement, l'Afrique devient le théâtre des conflits de diverses formes, notamment les conflits frontaliers ; les conflits interethnique ; les guerres civiles et rébellions présentées souvent sous forme des guerres de libération.En ce qui concerne particulièrement la région des grands lacs, les coups d'Etat et les rebellions sont devenus monnaie courante, Cette partie d'Afrique n'a pas connue, pendant une période relativement longue, les affrontements armés interétatique entre les pays membres la communauté Economique des pays des Grands Lacs (CEPGL). En pratique, cette organisation mettait plus l'accent sur la sécurité des chefs d'Etats qui la composait. Malgré cette sécurité substantielle des Etats membres, cela ne pouvait que favoriser la paix entre eux.Aujourd'hui, cette partie de l'Afrique est en proie aux des conflits armés internes, inter étatiques incessants compromettant ainsi ; la paix, la sécurité et la stabilité politique dans la région des grands lacs.La République Démocratique du Congo se trouve parmi les Etats les plus affectés par l'insécurité qui a causé et qui continue à subir les conséquences tant humains que matériels. · Qu'est ce qui est à la base des turbulences dans la région des grands lacs ; en générale et à la République Démocratique du Congo en particulier ? · Quelles sont les causes de l'insécurité à répétitions dans cette partie de la région ? · Que pensent ces pays au delà de l'insécurité et de la sécurité ; aux regards de leurs défis ? · En dépit de l'ultime but d'un Etat et de son peuple. Quels sont les motivations qui animent ces dirigeants de ces pays d'orchestre l'insécurité dans leurs espaces respectif ? 2.HYPOTHESE Les pays membres de la région des grands lacs font partis des régions les plus majestueuses de l'Afrique dans son ensemble. Cette région stratégique ne constitue pas seulement la richesse en matières premières, ou en minerais mais aussi sur le plan socioculturel et géostratégique. Cette région qui se situe en plein coeur de l'Afrique et qui prend tout le bout du continent, cela attire la convoitise des puissances occidentales, mal intentionnées qui favorisent les troupes armées, les mouvements des rébellions pour défendre leurs intérêts ou leurs champs d'exploitation.En somme, notons enfin que plusieurs autres facteurs sont à la base des conflits et de cette insécurité dans les régions des grands lacs, notamment le facteur historique qui a joue un rôle très déterminant dans ces conflits. Ce rôle ne s'est pas manifesté d'une manière isolé mais plutôt en interaction avec d'autres facteurs tel que ; le facteur géographique, le facteur économique et le facteur sociologique, de certains pays comme la République Démocratique du Congo.3.CHOIX ET INTERET DU SUJET Pour ce qui nous concerne, ce travail comporte essentiellement deux intérêts, premièrement sur le plan scientifique et deuxièmement sur le plan pratique.- Sur le plan scientifique : notre étude est d'actualité pour nous chercheurs du fait que la paix et la sécurité internationales sont chaque jour menacées par des conflits armés , le terrorisme , le trafic illicite des drogues et stupéfiants, de crise économique , les armes à destruction massive , les violation des droits de l'homme , les actes de la pirateries et qu'aucun pays qu'il soit puissant ou non ne peut résoudre à lui seul , la protection des personnes et des biens en période des conflits armés , intéresse au plus haut point les Etats par l'entremise de l'Organisation des nations Unies, institutions internationales et des Organisations régionales.- Du point de vue pratique, ce travail se veut être une piste faite aux spécialistes des Relations Internationales, afin de constituer une banque des données relevant de la réalité sur le terrain, car une fois encore la République Démocratique du Congo est déchirée par des Guerres civiles qui à causé plus de deux millions des morts et des déplacés, surtout dans la partie Est de la République dont les effets s'étendent dans les autres provinces et beaucoup d'autres dégâts inadmissible dans ce siècle.Une étude qui se veut scientifique repose sur une méthode sachant qu'en sciences sociales, il n'y a pas de méthode obligatoires, car chaque chercheur doit avoir une méthode rationnelle, celle -ci dépend largement de sa recherche. La méthode analytique qui se rapporte à l'analyse des différents textes afférents au présent sujet."

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