OICHA COMMUNE RURALE LE PRESIDENT KABILA EST ARRIVEE À OICHA CHEF LIEU DU TERRITOIRE DE BENI CE SAMEDI 19 DECEMBRE VERS 11 HEURES HEURE LOCALE : Un déplacement du président pour une consultation dela population du térritoire de Beni concernant la situation sécuritaire, et sociaux-économique. Après son arrivée le chef del'état congolais a rencontré presque toute les délégues des couches des habitants de part et d'autres à savoir les syndicats des enseignants, Médcins, Réligieux, Fec, Société civile, des Associations locaux, au bureau du térritoire à Oicha. Après 5 heures de dialogue avec les délégues dela population, Joséph Kabila est parti à Beni ville, pour s'accuerrire aussi dela situation sociaux économique des habitants de Beni ville. C'est pour la première fois que le président Kabila vient à Oicha pour consulter la population de cette parti du Nord-Kivu victimes des plusieurs éxactions dela part des groupes armées basée dans le parc nationale des Virunga. Dépui l'année 2014 les Adf-Nalu multiplient des attaques répétitives contre des grandes aglomérations du térritoire de Beni, et des embuscades contre des véhicules roulant sur le troçon routier Bei Eringeti. Cela a crée d'épiscoses au sein dela population qui se dit être abandonnées par le gouvernement centrale dela République Démocratique du Congo. Aujourd' hui c'est la joie pour les habitants d'Oicha qui ont vu la présence du président lui même à Oicha selon mon point de vue la population d'Oicha enttend la réaction du président dela République concernant la situation des rébélles Adf-Nalu qui térrorisent les personnes inocente en les tuant àla machetes, marteau, couteau, des haches et autres. La problématique tueries des Congolais au Nord-Kivu : Le constat fait est tel que des tueries attribuées aux forces négatives étrangères persistent à sévir au Nord-Kivu.Un nouveau massacre de civils a été perpétré dans la nuit du mardi à mercredi 12 mai 2015 par des hommes armés à Mapiki et Sabu, deux villages du secteur de Beni–Mbau situés à près de 30 Kilomètres au nord-ouest de la ville de Beni (Nord-Kivu). A en croire la société civile locale, une vingtaine de personnes y ont été tuées à la machette. Il est rapporté que c’est aux environs de 19 heures locales le mardi, que des hommes armés ont commis leur forfaiture à Mapiki et Sabu. Des sources locales, l’on a appris que les assaillants ont découpé à la hache et à la machette plusieurs habitants tuant une vingtaine d’entre eux. D’après la version du Président de la société civile du territoire de Beni, Teddy Kataliko, il y a sept civils tués à Mapiki et quinze autres à Sabu. L’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, outre » qu’il confirme ce massacre, précise, toutefois qu’uniquement une dizaine de corps, à moins de nouvelles trouvailles, ont été ramassés par les services de sécurité dépêchés sur les lieux. A la mi-mai 2015, il est fait étatde plus 400 personnes, parmi lesquels plusieurs enfants, massacréespar des hommes armés depuis début octobre 2014 dans les localités du territoire de Beni situé dans le Nord-Kivu. A propos d’effets consécutifs à ces massacres, le tableau n’est guère brillant. Il est fait état, en effet, des milliers de déplacés. En Ituri dans la Province Orientale, se sont réfugiés plus de 3 500 déplacés venant Nord Kivu depuis octobre 2014, constitués en grande partie des femmes et des enfants. A Komanda, à 80 km au sud-ouest de Bunia, où ces réfugiés se sont établis privés de tout pour avoir tout laissé dans leur fuite subite, leurs récits des peines endurées décrivent des scènes funestes d’une rare sauvagerie vécues. Cependant l’histoire tueries de la population du territoire de Beni fait penser à toutes celles survenues dans le grand Kivu depuis l’arrivée, en 1994, des réfugiés Hutus rwandais. Cet effort de mémoire permet de se rendre compte de combien les Congolais du grand Kivu font l’objet des tueries. Dans les récents massacres, ce sont les rebelles ougandais d’ADF Nalu qui sont sur le banc des accusés. Les politiques congolais se sont mêlés de ces tueries pour élaborer des théories explicatives à base d’impostures ou d’intox ou en font carrément des fonds de commerce politiciens pour essayer de rebondir politiquement. Au nombre de ces politiques, des noms comme Vital Kamerhe, Mbusa Nyamwisi et d’autres noms des opposants sont cités. La prise de position de ces politiques amène à se poser la question pour connaître les bénéficiaires de ces tueries. Le Gouverneur du Nord-Kivu et certains députés de l’opposition battent en brèche le Premier-ministre accusé de ne s’occuper que de l’économie sans se soucier du sort du peuple de Béni. Par le passé, les Hutus ayant élu domicile à Goma tuaient les Zaïro-congolais. Il a été rapporté que les rebelles Hutus avaient la gâchette facile puisque parmi les Zaïro-congolais comme il y avait des personnes armées parmi ceux-là. Dépuis des années Beni térritoire traverse une situation sociale très déplorable pour la population.

Attaques de Beni : « Ce ne seraient pas les ADF ! » Les récentes attaques dans la région de Beni au Nord-Kivu ont à tort ou à raison été attribuées aux insurgés et islamistes. Territoire de Beni (Nord-Kivu) : Six kidnappés abattus par les ADF/Nalu. C’est en hauteur de la rivière Semliki sur la route Mbau – Kamango à l’extrême Est du secteur de Beni/Mbau que les corps sans vie des civils enlevés dans les environs de la localité de Mbau ont été découverts. Ces actes on ne peut plus ignobles survienne une semaine après le carnage attribué aux mêmes ADF/Nalu dans cité d’Oïcha et environs à une trentaine de km de la ville de Beni. « Les victimes, dont le plus jeune âgé de quelques mois seulement – avaient été tués avec une extrême brutalité, pour la plupart à l’arme blanche. Trois filles mineures avaient été violées par les assaillants avant d’être décapitées. Le corps mutilé et démembré d’un enfant avaient aussi été retrouvés sur un arbre, dans le village de Musuku« , d’après une source de la société civile. Toutes ses exactions sont ou seraient l’œuvre des milices de l’ADF-Nalu accusé aussi de meurtres, enlèvements et pillages. La rébellion de l’ADF-Nalu sévit dans la partie nord de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Édouard. Il y a six jours, les populations de May-Moya, Kisiki et Maibo ont vidé leurs villages en direction d’Oïcha (chef-lieu du Territoire de Beni) au sud et d’Eringeti au nord. « Ce qui risque à nouveau de créer un drame humanitaire« , avait estimé Guy Kibira Ndoole, président de lu parlement des jeunes du Nord Kivu. Aussi comme il l’a soutenu dans sa récente déclaration, le Gouvernement congolais et la MONUSCO doivent agir, car l’heure est grave, très grave même. Les ADF-NALU défient dans toute flagrance l’autorité de l’Etat et narguent les FARDC en sabotant les localités dites libérées par l’armée régulière. Actuellement composée d’islamistes, les forces de l’ADF-Nalu sont dirigées depuis 2007 par Jamil Mukulu, un chrétien converti à l’islam. Les États-Unis les ont placées sur leur liste d’organisations terroristes dès 2001 et Jamil Mukulu est visé par des sanctions de l’ONU depuis 2011, et de l’Union européenne depuis 2012. Pourquoi s’apprendrait-il à des congolais et non à des ougandais ? Seuls « ceux-là » peuvent répondre…Ces corps des victimes étaient en état de décomposition très avancée, à en croire Jean-Paul Ngahangondi, acteur de la société civile et président de l’ONGDH CRDH actif dans le territoire de Beni. Il s’agit des corps sans vie de six de 10 civils enlevés la semaine dernière dans les environs de Mbau, chef-lieu de la chefferie de Beni/Mbau par des présumés rebelles ADF/Nalu. Il s’agit essentiellement des hommes, agriculteurs pour la plupart, enlevés dans les environs de la localité de Mbau et découverts morts en décomposition la journée du 24 juin par leurs membres de famille, précise-t-il. D’après la même source, 4 de ses kidnappés avaient réussi à se retrancher des mains de leurs ravisseurs avant l’accomplissement de ce forfait macabre à quelques mètres de l’endroit connu sous le nom de Kasenyi, une pêcherie de fortune située non loin de la rivière Semliki sur l’axe routier Mbau – Kamango, entre le secteur de Beni/Mbau et la chefferie de Watalinga. Cette nième découverte macabre vient ressusciter la douleur causée par l’assassinat la semaine dernière d’un chef de localité et de son collaborateur dans la même contrée. Pour rappel, cet assassinat dont seraient auteurs les militaires loyalistes en connivence avec les services de renseignements, d’après les chaines locales, a suscité un ras-le-bol les journées du 23 au 24 juin dernier dans la partie nord-est du territoire de Beni, conduisant à une suspension momentanée des activités dans cette région et à l’arrêt par l’autorité des services de renseignement des émissions de la Radio Muungano Beni – antenne d’Oïcha et de trois de ses journalistes pour avoir diffusé des informations jugées subversives à ce propos et remettant en claire une certaine implication des services de sécurité dans ce forfait. Pour rappel, ces rebelles ADF/Nalu ne sont pas à leur premier forfait du genre dans la région. Ils détiennent encore quelques 800 otages non encore libérés par ce mouvement terroriste, même au lendemain des opérations militaires SOKOLA menées conjointement avec la MONUSCO. Le 20 juin dernier, le collectif des parties civiles du Nord-Kivu (CPCNK) avait fustigé le laxisme du gouvernement congolais face à des répétitifs cas d’insécurité dont seraient auteurs les terroristes ougandais ADF/Nalu et quelques éléments brebis galeuses des forces loyalistes. Dans une lettre ouverte adressée au président de l’assemblée nationale, le CPCNK en avait demandé à l’intervention urgente de la chambre basse du parlement, organe de représentation du peuple, afin que soient tirées aux clairs les zones d’ombres qui planent encore sur ce que sont devenus nos compatriotes détenus en otages par les ADF/NALU.

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