HISTOIRE D’INTERNET EN AFRIQUE : Bien qu’il soit encore une technologie nouvelle, l’Internet a exercé un profond impact sur le monde au cours de son existence dans les dernières décennies. L’un des chapitres les plus intéressants de cette brève histoire a été son développement en Afrique. Dans cette section, nous vous proposons de découvrir les temps forts à partir d’un ensemble de sources diverses concernant le développement de l’Internet sur le continent et en rendant hommage à certains pionniers, aux organisations et aux technologies qui ont rendu tout cela possible. Visualisez les outils infographiques interactifs sur le continent africain dépuis des années. Remerciements Nous remercions particulièrement Pierre Dandjinou et l’équipe qu’il a constituée afin de compiler le rapport de référence utilisé pour créer ces infographiques ainsi que tous nos membres pour les informations qu’ils nous ont soumises, sans oublier « Internet en Afrique aujourd'hui » En 1994 on ne comptait que deux pays possédant un réseau internet : l' Afrique du Sud et l' Égypte . La liste s'allongea rapidement pour qu'en 2000 la quasi-totalité des pays puissent avoir un accès au web. Cependant, les premières lignes étaient lentes (entre 9,6 et 64 kb/s) et très rares, l'accès se limitant aux capitales ou aux grands centre urbains, ce qui avait pour effet des prix élevés de G1. En l'an 2000, on comptait une connexion pour 2500 habitants au Sénégal, alors qu'en Europe, ce taux s'approchait du tiers, et parallèlement, 100 000 des pages internet mondiales étaient d'origine africaine . En 2010, on comptait 86 217 900 utilisateurs d'internet, soit un taux de pénétration de plus de 8 %, ce qui correspond à 4,8 % des utilisateurs sur le monde . Durant cette période, plusieurs projets ont été avancés, notamment pour connecter par câble de fibre optique l'Algérie et plusieurs pays d'Afrique Centrale . Les enjeux colossaux d'internet et de la téléphonie mobile en Afrique : À la fin des années 2000, les pays du Maghreb disposaient d'un réseau relativement bien connecté au reste du monde, mais que les manques d'infrastructures étaient les plus marquées en Afrique subsaharienne. Si le continent africain est relié par plusieurs câbles sous marins dont certains à la fibre optique, la distribution de lignes peine à pénétrer à l'intérieur des terres, et se limite aux côtes. Le Taux de pénétration d'Internet en Afrique est marquée par un important retard de développement, et un accès à un réseau lent . Malgré cette situation difficile, le déploiement de réseau progresse. L’Afrique avance à pas de géants dans les usages de la téléphonie mobile . Avec l’espoir de bénéficier prochainement d’une couverture d'internet aussi importante ? . L’Afrique est en train de réaliser un véritable saut quantique en passant directement au téléphone mobile sans passer par la case du téléphone filaire . Point qui viennent de réaliser une étude intitulée , les enjeux des télécoms dans les pays émergents . Mais l’internet via haut débit fixe demeure peu développé en Afrique. Il s’agit même du continent qui a le plus de retard dans ce domaine, car l’Afrique représente moins de 5% des utilisateurs internet dans le monde . Nous sommes convaincus que dans le domaine de l’internet, l’Afrique va connaître le même "saut quantique" que dans la voix avec le développement accéléré de l’Internet mobile . C'est grâce aux opérateurs de téléphonie mobile Fournisseurs d'Accès àl' Internet, en téléphonie mobile que les africains essayent petit à petit de se connécter àl'internet mobile . Un opérateur de réseau mobile est une compagnie de télécommunication qui propose des services de téléphonie mobileou d’accès mobile à Internet. L'opérateur fournit une carte SIM pour ses clients qui l'insère dans son téléphone mobile ou sa tablette tactile pour avoir accès au réseau cellulaire de l’opérateur (normes: GSM, CDMA, UMTS, WiMAXou LTE). 90 % utilisent les réseaux sociaux comme Facebook , Twitter ,Google+ et autres , etc... Jusque là quelques personnes disposent leurs propre sites Web et des Blogs. Aujourd' en Rdcongo les oppérateurs des téléphones mobile se retrouvent au sein d’une concurrence somme toute bénéfique pour les consommateurs de nos jours. Ainsi, selon cette étude, en 1992, « 75% des pays africains n’avaient aucun réseau mobile et les 25% restants étaient en situation de monopole. Cinq ans plus tard, on retrouvait 95% des pays avec un réseau mobile, mais 75% étaient encore en monopole. « NTIC » chez nous en République démocratique du Congo (RDC) connait un taux de pénétration mobile de 49% pour le premier trimestre del'année 2015. Le directeur général de l’Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPTC), Oscar Maninkunda, a livré jeudi 4 juin ces statistiques, à l’occasion de la journée mondiale des télécommunications. Selon lui, les abonnements à l’Internet mobile 3G s’élèvent à environ 6 000 000 d’abonnés, soit un taux d’accroissement annuel de l’ordre de 150% .

Internet développe le monde, d' aujourd' hui : Avec accélération des technologies del'information et la disponibilité croissante d’Internet, et brouillé la différence entre l’émetteur et le récepteur de l’information. Les flux d’information sont dorénavant étendus, diversifiés, réversibles et accessibles. La capacité de tout un chacun à créer un site Internet et à publier des contenus écrits ou audiovisuels a provoqué des changements radicaux dans les médias. Les entreprises et les individus peuvent publier n’importe quel contenu, textes, images ou vidéos, grâce à la technologie numérique à haut débit et à large bande passante. Ils peuvent les diffuser directement sur des ordinateurs et des appareils mobiles dans le monde entier. NOUVEAUX MEDIAS Le développement technologique a provoqué à la fois l’expansion et la réduction des médias. La transmission numérique a créé des opportunités plus nombreuses et moins coûteuses pour les radiodiffuseurs, et un choix plus vaste pour les utilisateurs, d'internet.
Ce que l'Internet et les technologies del'information avec G3+ mobiles ont changé, aujourd' hui, partout dans le monde. Mais, à l'époque, dire que ces informations faisaient partie de l’esprit humain était encore tiré par les cheveux. La distinction était nette entre ce que nous savions, et ce que nous pouvions savoir, si nous nous en donnions la peine. Avec l'acquisition du langage, nos ancêtres ont non seulement remanié leur façon de communiquer, mais aussi leur façon de penser. Les mathématiques, l'imprimerie et la science ont étendu encore un peu plus l'amplitude de l'esprit humain et, au cours du XXesiècle, des outils comme les téléphones, les calculatrices ou l'Encyclopedia Britannica ont permis un accès courant à une quantité de connaissances surpassant tout ce qu'une personne pouvait assimiler au cours de sa vie. En matière de devinettes, la différence entre un authentique puits de science et un technophile moyen est peut-être l'affaire de 5 secondes. Et la victoire du robot Watsoncontre Ken Jenningsau Jeopardy! laisse entendre que ce laps de temps pourrait même disparaître –en particulier si vous utilisez des technologies «vestimentaires», comme les Google Glass. La distance entre nos esprits et le cloud n'a jamais été aussi négligeable. Si je vous demande quelle est la capitale de l'Angola, il n'importe quasiment plus que vous le sachiez de mémoire, ou non. Sortez votre téléphone et répétez la question en utilisant Google Voice Search: une voix robotique vous répondra «Luanda». L'Internet et les technologies mobiles ont commencé à changer la donne. Aujourd'hui, les smartphones font partie de notre vie quotidienne et des réseaux à grande vitesse tapissent le monde développé. Pour Clark et Chalmers, l'esprit humain moderne est un système qui transcende le cerveau afin d'appréhender des éléments de notre environnement externe. Selon les philosophes, certains outils technologiques –la modélisation informatique, la navigation par règle à calcul, la division longue posée avec un papier et un crayon– peuvent faire tout autant partie intégrante de nos opérations mentales que les fonctionnements internes de nos cerveaux. Ils écrivaient: Quinze années plus tard et au cœur d'une culture Google bien développée, la pertinence de l'esprit étendu semble bien plus manifeste aujourd'hui. « Ned Block[professeur à la NYU] aime à dire: “votre thèse était fausse quand vous avez écrit votre article –mais elle est devenue vraie depuis”», s'amuse Chalmers. Avec le projet MyLifeBits, radical et précurseur, Microsoft visait un stockage de l'information fluide et exhaustif, inspiré par le memex, conceptualisé par Vannevar Bushen 1945. Pour Bush et son article ô combien prémonitoire de l' Atlantic Monthly, le memex était«un dispositif permettant à un individu de stocker mécaniquement tous ses livres, archives et communications, afin de pouvoir y accéder très rapidement et avec une flexibilité totale. Il s'agit d'un supplément personnel et augmenté de sa mémoire». Nos cerveaux sont champions pour stocker et retrouver des informations qui nous sont viscéralement importantes, comme le sourire d'un être aimé ou l'odeur d'un aliment qui nous donne la nausée, explique Maureen Ritchey, post-doctorante à UC Davis et spécialisée en neuroscience de la mémoire. Mais ils n'aiment pas s’embarrasser de détails abstraits, comme le titre du livreque nous voulions lire, ou le truc qu'il fallait absolument acheter en rentrant du boulot. Evernote n'est évidemment qu'un exemple parmi toutes les applications mobiles vous permettant d'accéder à des informations que vous ne pouvez pas dénicher avec une simple recherche Google. Soundhoundou Shazam«écoutent» quelques secondes d'une chanson et vous listent le nom du groupe, de l'album et toutes les paroles. Checkmarksait si vous passez à proximité d'une boîte à lettres et vous rappelle que vous avez du courrier à poster. D'où ce second test: que faisiez-vous au soir du 8 février 2010? Quels sont les nom

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