RDC BENI TÉRRITOIRE : DÉPUIS QUELQUES MINUTES, ENCORE LOCALITÉ DE MAY MOYA SERAIT SOUS LA PLUI DES BALLES, ET DES CRÉPUTEMENTS DES ARMES LÉGÈRE, ET AUTOMATIQUE. Le dimanche 07 février 2016 on nous signale un nouveau combat entre les térroristes augandais du groupe des Adf-Nalu et les Fardc qui sont basé sur place. d'autres sources indique il ya interuption des passages et des trafics sur la route N¤4 le troçon routier, Beni Kisangani pour raison de ces afrottements en cours dans cette parti du térritoire de Beni. May-Moya est une Localité situé à 12 km au nord dela commune rurale d' Oicha sur axe routier Beni Luna, dans le groupement de Bambubha-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau. Mais des sources locale signalé, que les forces loyalistes résistent avec force contre ces aventuriers qui troublent encore la région de Beni. Cela arrive après un autre combat hier dans la soiré le samedi 06 février del' année en cours, qui s'est soldé par l'échec des rébélles qui voulaient se ravitallé des nourritures, et des munitions peut être. Bilan était de deux Adf-Nalu tué par les Fardc basé sur place dans cette localité de May Moya. Cette tentative a echoué grâce àl'intervation musclé des Fardc qui ont réagie avec des armes lourde et automatique, confirne un civile dela place cela a créé une panique totale au sein des habitants de cette localité craignant leurs vie sociale en danger des térroristes qui massacrent la poulation civile de Beni ville et térritoire. Dans ces jours, les rebelles des ADF-Nalu attaquent les localités, des grandes aglomerations de Beni térritoire, ou une position des FARDC, dans l'objectif de trouver des munitions, et de s'enprovisioner en nourritures, médicaments, chèvres ,poules ,canards des habits et autres. La société civile de de Beni térritoire déplore la situation et demande une plus grande implication des autorités en vue de sécuriser la population. Selon de source millitaire le Fardc, continue de traquer les inciviques avec le ratisage, après l' échec de leurs forfait à May-Moya mais jusqu'en présent difficile de savoir ce qui se sur la ligne des combat. La population civile de la collectivité-secteur de Beni-Mbau, et celle de Beni ville, térritoire àl’est de la république démocratique du Congo, sont régulièrement la cible de massacres, pillage, viols, incendies, victimes se comptent par centaines depuis le mois d’octobre. Dans la nuit de samedi à dimanche, des villages de la zone ont été de nouveau attaqués et plus d’une trentaine de personnes ont été tuées à l’arme blanche. Les deux premiers villages, Ahili et Manzanzaba, sont situés à une dizaine de kilomètres de Oicha dans le secteur de Béni. Il fait déjà nuit ce samedi, tout est calme et les habitants dans leurs cases se préparent au repos. C’est alors qu’arrivent des hommes munis d’armes blanches qui s’introduisent dans chaque case, une après une, et assassinent hommes, femmes et enfants. Deux heures plus tard, les assaillants repartent tranquillement laissant derrière eux plus de trente personnes tuées, pour la plupart à la machette. Onze cadavres calcinés sont retrouvés à Manzanzaba, l’un des deux villages, dans la maison incendiée du chef de groupement. On a appris un peu plus tard qu’un troisième village de la région, Moulobya, a été également la cible d’exactions. Depuis plusieurs semaines, le territoire de Béni fait l’objet de nombreuses attaques attribuées aux ADF-Nalu par la société civile, les autorités et l’armée. Jusque-là ces deux villages n’avaient pas été touchés. Les villageois survivants attendent une réaction des autorités. « Nous avons donné des recommandations au chef de l’Etat quand il était de passage à Beni, aux ministres et députés et à la délégation de la communauté internationale, de fournir des efforts pour que les massacres cessent, mais apparemment, ça n’a pas cessé. C’est pour cette raison que nous avons décidé de faire des actions contraignantes pour que le gouvernement puisse s’impliquer », a affirmé le chargé de communication de l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (Asadho)/Beni, Kizito Bin Hangi. Plus de 400 personnes, d’après le bilan de la société civile de Beni, ont été massacrées en ville tout comme en territoire de Beni. Cette structure citoyenne pointe du doigt la défaillance des services de sécurité. Kizito Bin Hangi affirme que l’Asadho avait sollicité une « mutation au niveau de commandement Sokola 1. Parce que, les massacres se passent à côté des positions FARDC ». Dans une interview à Radio Okapi, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, a demandé à Matata Ponyo à se concentrer désormais sur les aspects sécuritaires dans l’Est de la RDC, comme il le fait pour le secteur de l’économie. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a indiqué que les institutions nationales ont envoyé l’armée pour se battre dans l’Est afin de mettre fin à l’insécurité. En avril dernier, la société civile de Beni avait aussi organisé deux journées “ville morte” pour dénoncer l’insécurité.

Un massacre de civils a été perpétré dans la nuit du mardi à mercredi 12 mai par des hommes armés à Mapiki et Sabu, deux villages du secteur de Beni–Mbau situés à près de 30 Kilomètres au nord-ouest de la ville de Beni (Nord-Kivu). Selon la société civile locale, une vingtaine de personnes ont été tuées à la machette. Sur place le mot d’ordre de ville morte est toujours observé.
C’est aux environs de 19 heures locales mardi, que des hommes armés ont fait une incursion à Mapiki et Sabu. Selon des sources locales, les assaillants ont découpé à la hache et à la machette plusieurs habitants causant la mort d’une vingtaine d’entre eux.
Sept civils ont ainsi été tués à Mapiki et quinze à Sabu, selon un bilan livré par Teddy Kataliko, le président de la société civile du territoire de Beni.
L’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, confirme ce nouveau massacre. Mais il précise que jusque-là, seule une dizaine de corps ont été retrouvés par les services de sécurité dépêchés sur les lieux.
L’administreur Kalonda appelle par ailleurs les populations de sa juridiction à quitter rapidement les zones reculées et à se rapprocher des positions des Forces armées de la RDC.
Appel à la vigilance
Ces nouvelles tueries interviennent moins de 24 heures après le séjour du vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur à Beni, Evariste Boshab, qui était en mission d’évaluation de la situation sécuritaire dans la région.
A la fin de sa mission mercredi à Beni, le vice-premier ministre et ministre de l’intérieur a appelé la population locale à la vigilance pour faire obstacle aux groupes armés qui endeuillent les familles de cette partie du Nord-Kivu.
Evariste Boshab, qui n’a pas révélé aux médias les mesures prises par le gouvernement pour stabiliser la région, a affirmé mercredi avant son départ de Beni que le bilan de sa mission dans cette ville est positif.
Implication de la société civile
Sur place à Beni, la société civile locale suggère la signature d’une feuille de route conjointe avec le gouvernement en vue d’assurer la protection des civils dans ces entités. Le président de la société civile de Beni, Teddy Kataliko, est d’avis que cette démarche pourrait définir les responsabilités dans la recherche de la paix dans cette région:
«Nous avons présenté l’analyse du contexte en ville comme en territoire de Beni qui est caractérisé par les massacres des civils, mais aussi des incursions de par les pays voisins et qui implique quelque part un questionnement sur l’efficacité de nos forces de sécurité en ce moment précis […] Et ensemble, on s’est mis d’accord sur une feuille de route pour l’évaluation et cette feuille de route devrait être approuvée par les deux parties ; donc dans le cadre de partenariat entre l’Etat et la société civile».
La proposition d’un cahier des charges sur la question a été présentée mercredi par la délégation de cette structure citoyenne Evariste Boshab lors de ses rencontres avec les forces sociales locales.
Ville morte
Sur place à Beni, le mot d’ordre de journées villes mortes lancé par la société civile pour protester contre l’insécurité est suivi. Le marché central Kilokwa et les commerces dans la ville n’ont pas ouvert malgré l’appel à la reprise d’activités lancé mercredi par le gouverneur Julien Paluku.
Dans les différentes agglomérations au Nord de la province, les habitants disent observer la ville morte pour compatir avec la population victime de Beni et exprimer leur consternation face à ces massacres récurrents.
Pour la cité d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni, ce jeudi est le deuxième jour des journées ville morte et de deuil. Selon la société civile locale, la colère gagne toute la population locale.
Depuis tôt ce matin, un grand nombre d’habitants s’est dirigé vers la morgue d’Oïcha pour vérifier si un ressortissant de leur coin figure parmi les victimes de la nuit dernière. Toutes les activités sont restées paralysées et plusieurs familles continuent de se déplacer pour se réfugier vers la cité et la ville de Beni.
A Butembo, les activités tournent au ralenti depuis ce matin. Dès l’annonce du dernier massacre, certaines boutiques ont commencé à fermer leurs portes et une psychose se lit sur les visages des habitants.
D’autre part, dans la localité de Bunyatenge, c’est le troisième jour ce jeudi qu’on observe un arrêt des enseignements dans les écoles catholiques. Toutes les activités socio-économiques sont à l’arrêt. La société civile de Beni a lancé une opération d’identification des personnes et familles victimes des atrocités des rebelles ougandais des ADF. Le président de cette structure citoyenne, Gilbert Kambale, l’a annoncé mercredi 15 juillet à Radio Okapi. Selon Gilbert Kambale, l’objectif est de se constituer en partie civile pour pouvoir demander une indemnisation des victimes pendant le procès du chef rebelle des ADF Jamil Mukulu détenu en Ouganda c'est depuis le 20 avril qu’il a été arrêté à la frontière entre le Kenya et la Tanzanie, après avoir échapé.

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