Rdc des térrorisme àl' est du pay sur toute l’étendue, tout acte de violences, et crimes contre l'humanité, dont beaucoup des civiles, sont victimes dela par des hommes armées, doit être dénoncé selon Nations-Unies à l’Etat congolais de condamner ces différents actes. Les auteurs seront déférer devant la justice selon la loi dela république avec l' appuit du gouvernement

A Kinshasa, par exemple, ces violeurs s’en prennent beaucoup plus aux petites filles dont l’âge varie de 0 à 10 ans afin de satisfaire leur désir sexuel. Mais également aux jeunes filles par diverses occasions. Dans la ville capitale, la plupart de cas sont signalés après un vol par un groupe des inciviques qui après avoir cambriolé une maison, violent et les femmes et les jeunes filles.
Hélas que, ces inciviques, violeurs, escrocs, malfaiteurs, ou encore voleurs après avoir été présentés aux autorités compétentes par la police sont souvent relâchés quelques temps après. Face à cette situation récurrente et inexplicable, la population se pose toujours des questions concernant la mise en liberté de toutes ces personnes inciviques.
Quelques chiffres contenus dans le rapport de l’ONU
4194 enfants dont 41 filles ont été recrutés et utilisés par les groupes et forces armées, 206 enfants ont été tués et mutilés comme conséquence directe des violences liées aux conflits, 867 enfants ont été enlevés, 180 écoles et 83 centres de santé attaqués ou utilisés pour des objectifs militaires, au moins 900 enfants ont été exposés aux violences sexuelles par les parties aux conflits. Sur les enfants recrutés, environ un tiers avaient moins de 15 ans, ce qui constitue un crime de guerre. D’après les analystes faits par les Nations Unies, une diminution progressive dans les recrutements par les forces armées a été documentée pendant la période sous examen et plus de 16000 victimes des conflits ont reçu une assistance de la part de l’Unicef et ses partenaires.
La République démocratique du Congo est aujourd’hui, après l’Afghanistan, le pays le plus dangereux au monde pour les femmes et jeunes filles pour ce qui est de viol et de violences sexuelles. Elles demeurent un problème très sérieux qui a fait des milliers de victimes, surtout dans l’est du pays. On estime que 1150 filles et femmes sont chaque jour violées en RDC. Dans l’Ex province du Nord-Kivu, et notamment dans la ville de Goma qui est en crise profonde depuis près de 20 ans, les populations vivent dans une insécurité chronique.
Les effets psychologiques et physiques sur les femmes qui survivent aux violences sexuelles sont terriblement dévastateurs. Fistule, descente d’organes (prolapsus), SIDA, mutilations, fractures, infections de tous genres figurent au tableau des conséquences des sévices subis.
Malheureusement, les auteurs de telles violences restent souvent impunis. La pauvreté, la peur des représailles, ainsi que le manque de connaissances de leurs droits n’incitent en effet pas les femmes à engager des poursuites légales contre leurs agresseurs.
En cette période de reconstruction, la RDC étant longtemps mise à genoux par les décideurs, il serait mieux que chacun accomplisse correctement sa tâche afin de lui permettre de se réveiller de ce profond sommeil. Il est bon que chaque acte que nous posons puisse accompagner la RDC à devenir une nation émergente comme nous le souhaitons tous et non, de chercher à mettre des bâtons dans les roues de ce processus de développement qui a été déjà déclenché par le Gouvernement de la République.
Il n’y a pas d’excuses pour les violences sexuelles, et l’impunité généralisée crée encore davantage d’injustice. Le gouvernement doit prendre toutes les mesures nécessaires pour faciliter l’accès des victimes de violences sexuelles à la justice et pour garantir leur sécurité. Nous savons tous que, toute sorte de violences, ici dans un cas plus particulier la violence faite à la femme et à la jeune fille est condamnable aux yeux de l’Etat. Et que toute personne qui commet cet acte est sensé répondre devant les cours et tribunaux. Raisons pour laquelle, nous ne cessons de sensibiliser la population congolaise en général et la population kinoise en particulier de dénoncer tout acte de violences qui est condamnable auprès de l’Etat.
A cet effet, si vous tombez victime de violence sexuelle en ce temps, il est conseillé d’éviter les arrangements à l’amiable mais plutôt dénoncer. Parce que ces arrangements soit disant à l’amiable, est une façon de protéger le violeur. D’où, il faut le dévoiler au grand public afin qu’il soit arrêté par la police. Les viols portés devant les tribunaux ont baissé d'environ 25% en 2015 en République Démocratique du Congo, selon des chiffres livrés par le gouvernement congolais. En 2015, 2 414 cas des viols ont été rapportés devant les cours et tribunaux civils et militaire, contre 3 061 cas en 2014.
Ces chiffres ont été révélés lundi 25 janvier à Kinshasa grâce à la veille judiciaire réalisée par le bureau de la représentante personnelle du chef de l’État chargée de la lutte contre les violences sexuelles et le recrutement des enfants avec le ministère de la Justice et des droits humains.
D’après ces statistiques, la ville de Kinshasa enregistre le plus de viols rapportés devant les juridictions civiles. Pour les cas rapportés devant les juridictions militaires, la province du Nord-Kivu vient en tête.

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