Un nouveau massacres des civiles enrégistré en térrtoire de Beni : Bilan, 11 morts décapités a la machette, des maisons incendiées et des disparitions des personnes, des médicaments emporté, plusieurs biens des malades pillé dans nuit du dimanche a ce lundi 29/02/2016 dans le village de Ntombi, Mambambiyo, et Mabatundu, situe entre 3 et 4km de Maymoya route Samboko en secteur de Beni-Mbau. Les infirmiers du Centre de Santé de la place seraient aussi portes disparu. Cela intervient, après une nouvel embuscade attribué aux même rébélles augandais des Adf-Nalu dans l' après midi du samedi 27 février 2016 vers 16 heures trente à Linzosisene localité situé à plus de 40 km au nord de Beni Ville, sur axe routier Beni Kisangani, dans le groupement de Bambubha Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau. Ce jour là, un taximan est son passager à bord d' une moto taxi, tout les deux sont, tombé aux mains des térroristes ougandais des Adf-Nalu à Linzo. Bilan, trois morts. Deux conté civile, et un conté millitaire Fardc.

Dans leurs passage, ces présumés rebelles ADF ont également emporté des chèvres et autres animaux de la basse-cour et ont tout pillé comme un dépôt où sont gardés les matériels de plantation de cacao.
Les responsables militaires et administratifs locaux sont arrivés tôt ce matin pour constater les dégâts. Les corps des victimes ont était visible sur le lieu du drame. C'est suite, après une attaque des rébélles des Adf-Nalu, lourdement armée, qui ont encore oppéré, dans la nuit du dimanche à lundi 29 février 2016. Les massacres, des civiles qui est devenues quasi-quotidiennes, indique un communiqué du CEPADHO parvenu à notre rédaction. Les habitants de ces trois villages, ont passé leurs nuit sous les étoiles. Pendant ce temps, des informations font étant d’une panique généralisée qui a envahi cette localité, suite à une nouvelle attaque des faut ADF-Nalu vers 03:00. Craignant leurs vie en danger, les civiles ont fuit dans les quatres conté de cet Village situé, à l' ouest dela localité, de May-Moya. Les mouvements, signalés a concerné aussi bien les femmes, les enfants, les jeunes et les hommes. Ils ont fuit nuitamment, alors que ça tirait dans tous les sens. Nombreux sont ceux qui ont pris la diréction de May-Moya. Les autres àla destination d’Oicha via Ahili, Kithevia. «Au niveau de la société civile, on est très consterné, en voyant que les carnages continuent. On est à plus de 300 personnes tuées à la manchette sur une période de cinq mois. C’est trop, c’est interpellant. Nous demandons à ce qu’il y ait une introspection par rapport à ce qui se passe», a indiqué Teddy Kataliko.
Il y a trois semaines, où la même société civile avait fait état de dix-huit mortsà Matiba et Kinzika, localités du secteur de Beni-Mbau, en territoire de Beni (Nord-Kivu).
L’appel de l’Asadho
Dans son communiqué de presse publié samedi 9 mai, l’ONG Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho), section de Beni, se dit préoccupée de la détérioration de la situation sécuritaire au jour les jours dans la ville et territoire de Beni (Nord-Kivu).
Cette structure l’a dit au lendemain de l’assassinat de sept civils par des présumés rebelles ADF dans ce territoire, situé à plus de 350 km au Nord de Goma (Nord-Kivu).
Cette association des droits de l’homme se dit inquiète du fait que la population civile continue à être massacrée à la machette alors que la contrée est sur militarisée par les forces loyalistes.
L’Asadho dit avoir répertorié plus de 38 personnes tuées en l’espace de 20 jours en ville et territoire de Beni, au cours de ce mois de mai.
Selon cette ONG, plus de 400 personnes ont été massacrées depuis octobre 2014 dans ce territoire du Nord-Kivu et demande au gouvernement congolais et à la Monusco de prendre la situation à bras le corps pour protéger les populations civiles. Qui pourra arrêter les massacres à répétition dans la région de Beni, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) ? La longue litanie des attaques d’hommes armés contre les populations civiles vient encore de s’allonger cette semaine dans ce territoire du Nord-Kivu. Dernier massacre en date : 23 personnes tuées dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 mai à Mbau, une localité située à une vingtaine de kilomètres de Beni. Le 12 mai, 5 civils étaient massacrés à la machette et à la hache, toujours près de Beni. Le 8 mai, ce sont 7 personnes qui ont été tuées à l’arme blanche à Mulekera, encore en territoire de Beni. Enfin, il y a trois semaines, fin avril, la société civile du Nord-Kivu dénombrait 18 morts à Matiba et Kinzika. Et la liste ne s’arrête pas là. Depuis l’automne 2014, plus de 400 personnes ont été massacrées par des hommes en armes. Sur le banc des accusés : les miliciens des ADF-Nalu, une rébellion ougandaise, qui sévit dans la région depuis une vingtaine d’années… dans l’indifférence générale.
La colère gronde
Le regain de violence dans la zone de Beni suscite la colère des populations locales qui ont le sentiment d’être délaissées par les autorités congolaises et les casques bleus des Nations-unies. (Monusco). Depuis trois jours, Beni est déclarée « ville morte » par la société civile, qui proteste contre l’impuissance du gouvernement. Et la colère se propage dans toute la région. Les villes d’Oicha et de Butembo ont rejoint la contestation. A Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu, ce sont les étudiants qui sont descendus dans la rue ce jeudi 14 mai. «L’opération « ville morte » va durer jusqu’à ce que le gouvernement trouve des solutions à la problématique de massacres à répétition des civils», indique le communiqué de la société civile.
« Définir les responsabilités »
Sous le feu des critiques, le gouvernement congolais a dépêché son ministre de l’Intérieur, Evaristo Boshab, sur place, mercredi 13 mai. Le ministre entend prendre rapidement des mesures pour lutter contre l’insécurité grandissante dans la région. Mais la visite du président Joseph Kabila à Beni, après une série de massacres fin octobre 2014.

Commentaires