À vraie dire, les élections prévue vers la fin del' année 2016, sera organiser par la CENI ? Dans ces jours, on assiste à des manipulations au sein des classes politique de part et d' autres. Les autres parlent d' une trasition de deux ans pour mieux organiser les élections dans un climat politique apaisé del ' autre conté, la classe politique sont divisée, sur le dialogue national proposé par Joseph Kabila. La classe politique réagit diversement au dialogue national, préconisé par le président Joseph Kabila. Les uns sont pour et les autres le jugent inopportun. Le débat se développe depuis que le chef de l’Etat a récemment envoyé un émissaire notamment dans les états-majors de l’UDPS, MLC et l’UNC, trois grands partis politiques de l’opposition. Pour eux, «Nous devons aller aux élections pour sortir les députés provinciaux, les sénateurs et le gouverneurs. Par après, on ira tout en 2016 pour élire le président de la République au mois de novembre et les députés nationaux [...] Je refuse de penser que vous.»

Dans la région des Grands Lacs Africains, plusieurs régimes en fin de leurs mandat, se retrouvent dans ce cas d’espèce l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi, le Congo et le Congo-Kinshasa.
Au sujet du Congo-Kinshasa, la nomination de l’Américain Thomas Perriello comme envoyé spécial US suscite quelques appréhensions. A tort ou à raison. En essayant de parcourir la carrière internationale de ce monsieur, nous nous rendons compte qu’il a été un consultant dans certains pays où la justice transitionnelle a été mise en marche ( ?) après une langue période de guerre (ayant conduit, pour certains, à leur balkanisation) ; Kosovo (2003), Darfur (2005) et Afghanistan (2007).
Pour rappel, récemment, la possibilité de l’implosion et de la balkanisation du Congo-Kinshasa fut évoquée par les élites universitaires américaines vers les années 1996. C’est-à-dire quelques six ans après le début de la guerre du FPR et son extension à toute la région des Grands Lacs Africains. Et plusieurs entreprises transcontinentales trafiquant les matières premières stratégiques du Congo-Kinshasa sont américaines.
A tort ou à raison, nous estimons que la nomination de Thomas Perriello comme envoyé spécial US dans cette partie des Grands Lacs Africains risque d’être porteuse d’un triste message : la fin du Congo-Kinshasa comme un pays ayant 2.345.000.000 Km2.
Il y a déjà eu un signe avant-coureur : la création du marché englobant 26 pays africains du Cap ou Caire. Ce «marché de l’Afrique de l’Est» n’est pas un projet africain. Non. C’est la réalisation du rêve de Cecil Rhodes par « les nègres de service» des anglo-saxons dont il est l’ancêtre. Il se pourrait que cette partie de l’Afrique éclate en de « petits morceaux » et qu’il y ait quelques gendarmes pour en assurer la protection mercantiliste. Claude Mashala : «La prochaine élection n'est pas en 2016» Le secrétaire national du Parti du peuple pour la reconstruction et le développement (PPRD), Claude Mashala, a initié une pétition pour changer la constitution de la RDC. Ce haut cadre du parti présidentiel estime qu’il faut ouvrir la voie à plusieurs mandats au chef de l’Etat, Joseph Kabila, afin de lui permettre d’achever son programme de gouvernance dénommé « révolution de la modernité ». Claude Mashala, qui se définit comme un «Kabiliste de l’aile dure et pure», prévient en outre que l’organisation de la prochaine élection présidentielle, attendu en 2016, est techniquement impossible. Dans cet entretien, il répond aux questions d’Innocent Olenga.
Radio Okapi : Claude Mashala, bonjour.
Claude Mashala : Bonjour mon frère.
R.O. : Vous initiez une pétition pour la révision de la constitution. Qu’est ce que vous visez avec votre démarche et où comptez-vous avoir les signatures?
C.M. : J’aimerai d’abord apporter une précision. Il ne s’agit pas d’une pétition pour la révision de la constitution. Il s’agit du changement de la constitution parce que, si vous la lisez très bien, cette constitution là, vous allez voir que nulle part elle n’interdit à un groupe de citoyens, ayant constaté des iniquités contenues dans cette constitution là, puisse aussi demander, au lieu qu’elle soit révisée, mais qu’elle soit carrément changée.
R.O. : Devrait-on changer toutes les dispositions de la constitution, en partant du premier article au dernier? Au besoin, remonter jusqu’au déluge?
C.M. : Je ne pense pas qu’il y aura de déluge. S’agissant de la constitution elle-même, quand vous me dites que vous pensez changer les choses du premier au dernier article, mais pourquoi pas? Parce que d’entrée de jeu, si vous lisez l’article 2 de cette constitution, il dit que la République démocratique du Congo est composée ou constituée de 25 provinces plus la ville province de Kinshasa. Ce qui fait 26. Point. Et on énumère. On cite ces 26 provinces. Dites-moi, au jour d’aujourd’hui, un investisseur qui vient d’Indonésie, qui descend à l’aéroport de Ndjili, vous pose, vous Radio Okapi, la question : écoutez, j’aimerai prendre mon vol pour la province de la Mongala. Vous savez où se trouve la province de la Mongala ? Existe-t-elle? Il y a un gouverneur? Vous voyez des iniquités pareilles!
Et plus loin, dans l’article 4 de cette fameuse constitution toujours – nous l’appelons fameuse, je vais vous expliquer pourquoi – il est dit, dans le cadre des provinces à créer, on pourra faire soit un regroupement. Fini le suspens l'élection présidentielle de Novembre 2016 en RDC va subir une légère modification de date, c'est Corneil Nanga président de la CENI qui l'a dit depuis les USA où il est allé rentré les autorités du département des états-unie d' Amérique peut être pour balisage du chémin vers, un glissement, ou encore, pour une trasition de deux ans, selon d' autres sources proche dela majorité présidentiel. Jusqu' aujourd' hui, la Ceni ne précise pas la date, exacte de cette présidentielle le successeur de l'abbé Malumalu affirme qu'une requête sera introduite à LA COUR D'APPELLE par son institution pour officialiser ce repport.

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