ADF-NALU OU FAUT ADF : qui trompe qui à vraie dire : en ces jours en Beni Ville comme dans le térritoire, beaucoup des ONG de défence des droits del' homme, parlent dela présence des Faut rébélles Adf. D'autres sources, dénocent la présence du groupe armée, des vraie Adf-Nalu, dans le térritoire de Beni. Quelle menace les ADF-Nalu posent-ils ? Outre sa puissance militaire croissante, l’ADF-Nalu est considérée comme une force potentiellement déstabilisatrice dans la région des Grands Lacs en raison de ses liens présumés avec des islamistes radicaux. Le gouvernement ougandais a longtemps soutenu que le groupe était lié à Al-Qaida et au mouvement islamiste somalien Al-Shabab. Ce groupe des hommes armée est arrivé en RDC, alarme fin del' année 1986. Les tentatives de neutralisation des ADF-Nalu en 2005 et en 2010 ont été infructueuses. « Ce groupe armé congolo-ougandais fait preuve d’une extraordinaire résilience qui tient à sa position géostratégique, son insertion dans l’économie transfrontalière et la corruption des forces de sécurité », a expliqué International Crisis Group (ICG) dans un rapportde 2012. Selon le rapport des experts des Nations Unies, les ADF-Nalu disposent de plusieurs camps d’entraînement dans l’est de la RDC et d’équipements tels que des mortiers, des mitrailleuses et des grenades à tube. La milice a accru ses effectifs grâce à des campagnes d’enrôlementet des enlèvements. Entre juillet 2010 et novembre 2013, la société civile de Beni a recensé 660 enlèvements par les ADF-Nalu, dont 382 en 2013. D’après la société civile, la milice aurait récemment tiré sur des hélicoptères de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO) en reconnaissance.

La répétition des massacres à Beni est la résultante d’une crise de leadership au sein. Certes la problématique de leadership continue de susciter des débats et d’attirer des lieux communs partant des axiomes de la pensée et de l’action. L’absence de leadership rend la situation d’insécurité dans le territoire de Beni très dangereuse. Un président qui n’a pas de plomb dans la cervelle et qui est complice du complot ourdi contre la Rdc, peut-il œuvrer dans le sens à ramener la paix ? On a vu dans l’histoire des personnes déficientes devenir dans la suite de leurs parcours politiques des figures quasi mythiques, passionnant les foules. L’absence de volonté politique met le pays en danger et il n’ y a rien à espérer d’un président quand il n’est pas seulement d’un pays, mais aussi quand il n’appartient pas à ce pays, il faut comprendre l’ampleur des dégâts. Les nouvelles provenant du territoire de Beni ont toujours été très sombres et il est illusoire d’espérer aujourd’hui dans cet océan de massacres à répétition à des lendemains meilleurs. théâtre des affrontements entre les FARDC et les groupes armés étrangers
Les FARDC poursuivent leurs opérations contre les rebelles ougandais de l’ADF-Nalu dans le nord du territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu. Ce qui explique une forte concentration des troupes de l’armée congolaise dépuis l' année, 2013 dans le térritoire de Beni au Nord dela province du Nord-Kivu, selon des habitants de ces contrées.
Celle-ci consiste à poursuivre les ADF-Nalu dans la partie nord du territoire de Beni après avoir démantelé leurs bases dans la partie Est des Beni térritoire, a-t-il précisé.
Cependant, ces opérations ont déjà provoqué un déplacement massif des populations en provenance des zones de combats.
Une dizaine de villages entre Eringeti et Oicha sont maintenant déserts.
La société civile de Beni parle maintenant de plus de 50.000 déplacés sans assistance à (Oicha), chef-lieu du territoire.
Par ailleurs, selon la même source, les corps de deux policiers et deux autres civils tués par les rebelles ADF-Nalu lundi 12 juillet dernier étaient encore, présent, dans la localité de Mamudjoma, à 50 kilomètres, au nord-est de Beni. En ces jours dans le, territoire de Beni, les Fardc pilonnent dépuis plusieurs jours, à l’arme lourde les positions de des rebelles Ougandais de l’ADF dans le secteur de Beni-Mbau. Selon des sources du commandement de l’opération Sokola 1, l'objectif dela traque des rébélles c'est de finir avec la phénomène des Adf-Nalu qui térrorisent les habitants pendant beaucoup des jours dans la région. Soulignons ici bas que, des massacres perpétrés par des éléments armés identifiés par certaines sources comme ADF, et par d’autres sources comme une nouvelle milice jusque là non encore identifiée, ont plongé ce dernier temps les populations du Nord Kivu dans une telle terreur que des familles entières ont décidé de quitter leurs ménages, vivres ailleurs, parfois sans assistance, pourvu d’échapper aux massacres. Les parties les plus touchées s’enclavent dans le Nord du Territoire de Beni, en groupement Bambuba Kisiki. Ces trois, derniers, années, les massacres sont entrant de toucher progressivement les autres groupements du Secteur Beni Mbau, notamment Banande Kainama et Batangi Mbau, des groupements situés aux alentours de Bambuba Kisiki. Mme SIVALEGHANA est l’une de ces déplacées. Elle déplore que depuis qu’elle est en déplacement et installées dans ce site avec les autres, il n’a pas une assistance adéquate de la part des humanitaires et du gouvernement Congolais. Fataki Tembo Kidubai a perdu ses 3 amis à Mukoko et n’a pas oublié le tableau des massacres. Il raconte que c’était la nuit du 02 au 03 octobre 2014 que les assaillants sont arrivés dans les villages. Il attendait comme si c’était des patrouilleurs de l’armée régulière qui arrêtaient et tabassaient des promeneurs de la nuit. C’est le matin qu’ils ont été surpris de retrouver des dépouilles jonchées dehors. Alors il a décidé de quitter le village.
Même des populations pygmées touchées comme jamais au paravent.
Parmi ces déplacés, des populations pygmées en provenance des zones touchées par les massacres. Kiduani Tambala est l’un d’entre eux. Il vient de Mitimiti, vers Makiba et décrit une situation horrible jamais vécue dans la communauté pygmées. « Ils ont découpé à la machette nos frères et les ont mangé» explique cet homme d’une soixantaine d’année, tête de 19 ménages. Il vient de passer un mois dans le camp. Kiduani Tambala lance un appel à l’aide à tous en invitant les autorités à fournir davantage d’efforts à sécuriser leurs milieux d’origine. Ces dernières semaines, la plupart des familles pygmées se sont déplacées de leur milieu naturel, les forets pour s’installer en Ville et dans des agglomérations non favorables pour leur vie. Cette catégorie de population est plutôt habituée à la pèche, la cueillette et la chasse, une activité de subsistance à la quelle ils se livraient en brousse.

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