Une accalmie de douleur s' observe dans, les Villages de Mambabiyo, Ntombi et Makisabho. C'est sute à un nouveau carnage des civiles tué par un groupe des rébélles identifié aux Adf-Nalu, dans la nuit du dimanche à lundi 29 février 2016. Ce jour là, 13 personnes ont étaient décapités a la machette, des maisons incendiées, 4 disparitions des civiles enrégistré, des médicaments du centre de Santé dela place emporté, et plusieurs biens des malades pillé, par les faut Adf-Nalu. Beaucoup d' habitants de cette contré ont passé la nuit, à belle étoile dans la brouse sous les arbres craigant leurs vie en danger. Dépuis hier on costante un mouvement de déplacement dela populations en majorité, des hommes, femmes et des enfants, avec des bétails, et se dirigent vers MAY-MOYA et OICHA. la tuerie à eu lieu à 6Km du camp de la Monusco et de Fardc présent à May-Moya. Les paysans fouient l'odeur du sang humain verser par les térroristes meme les malades ont abandonné les lits de la seule structure de santé casser et pillé.

Le porte parole des opérations Sokola 1, le lieutenant Mak Hazukay qui confirme cette attaque et la mort des civils précise que l’attaque a été perpétrée à environ 20 kilomètres de la plus proche position des FARDC située dans le village de Samboko.
Il indique avoir dépêché d’urgence une unité des Forces armées de la RDC (FARDC) à Mambabio-Ntombi pour évaluer la situation. 
Les militaires déployées ont retrouvé des tracts sur le lieu du carnage. Des tracts dans lesquels les ADF revendiquaient cette attaque, évoquant des représailles contre les civils à la suite des bombardements de leurs positions par les FARDC, a rapporté le commandant des opérations Sokola 1. A en croire la même source, dans le même document, les rebelles ougandais somment l’armée d’arrêter ses bombardements.    
Les rebelles ougandais des ADF sont accusés de la mort de plusieurs centaines de personnes depuis plus d’une année dans le territoire de Beni. Pour sa par la société civile de Beni térritoire déploire la multiplicité des attaques des Adf-Nalu contre des villages et des grandes aglomérations en ce jours, surtout dans le Sécteur de Beni-Mbau. De son conté mr Jean Paul le président nationale d' une ONG connue sous le nom de CRDH en Rdcongo, confirme que
la situation actuelle des droits de l'homme en Territoire de Beni est caracterisée par les assassinats, les meurtres, les viols, les kidnappings, les bracages d'armes contre les civiles inocente. Les ADF-NALU ne sont autres que de véritables diables rebelles ougandais musulmansqui ont envahi l’est du Congo. Là encore je suis désolé que le motmusulmansrime toujours avec la violence et le terrorisme. Les ADF sont des terroristes dont la différence est qu’ils ne se font pas exploser par des ceintures d’explosifs comme Boko haram ou les shebabs. L’arme favorite des ADF-NALU c’est la machette,le pilon, etc... Leurs album photos dans l’est de la RDC ne présente que des civils congolais égorgés, violés, décapités brulés vifs… Sans compter les cases incendiées.
A quoi ressemblent finalement les attaques perpétrées, par les rebelles ougandais des ADF-Nalu, sur l’axe Béni-Mbau, et qui ont provoqué la mort d’au moins une vingtaine de personnes? Décryptage d’une nouvelle flambée de violence.
On peut bien parler d’octobre noir pour le territoire de Beni, surtout avec ce qui vient de se produire sur l’axe Beni-Mbau, dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu. Pendant plusieurs jours, la vie a été complètement perturbée dans ce territoire après les attaques meurtrières perpétrées par les rebelles Ougandais de l’ADF-Nalu. Au moins une vingtaine de personnes sont mortes de la série de quatre attaques menées par les ADF-Nalu. Sans compter les personnes blessées et celles qui ont été enlevées à la suite des incursions des rebelles ougandais.
Derniers soubresauts ?
S’agit-il de derniers soubresauts pour un groupe armé, en perte de vitesse ? S’agit-il alors, dans le chef de ce mouvement rebelle, d’une volonté bien affichée de se reconstituer à nouveau et de continuer, de la sorte, à répandre la mort au sein les populations civiles...? On peut bien se trouver devant l’une ou l’autre éventualité mais ce qui est au moins vrai, comme l’a assuré dernièrement le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse porte-parole militaire de la Monusco à Kinshasa, les miliciens de l’ADF sont « sérieusement affaiblis », notamment du fait de l’opération « Sokola 1 » qui leur a été lancée par les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), avec le soutien de la Monusco. Decor Basés en République Démocratique du Congo (RDC) depuis la fin des années 1990, les ADF ont attaqué, dans la soirée du dimanche 5 octobre 2014, un village situé à une trentaine de km au nord de Beni, une zone contrôlée, en principe, par les FARDC. En tout 8 à 9 civils ont été tués, plusieurs personnes kidnappées et plusieurs autres blessées.
C’est de partout, a Béni et dans les environs, que l’on a élevé des protestations pour dénoncer ce regain de violence. Notamment de la Société civile, du Nord-Kivu par le biais de Me Omar Kavota, qui en assume les fonctions de vice-président et de porte-parole. Ce dernier a demandé en effet au gouvernement et à l’armée une riposte, face à une situation qui ne pouvait qu’inquiéter plus d’un. Surtout que d’ennemi n’est pas encore complètement anéanti », comme l’a indiqué Me Omar Kavota, à RFI (Radio France Internationale). Dans l’opinion, on est au moins rassuré que la riposte va vite intervenir, dans la perspective de neutraliser une fois pour toutes les rebelles de l’ADF.
En finir avec cette comptabilité macabre.
Les rebelles ougandais se sont donc illustrés par une série d’incursions au cours desquelles ils ont tué, blessé kidnappé et pillé plusieurs habitations. Dans leur viseur, les localités de May-Moya, Kisiki et Maibo, sur la route d’Eringezi. La veille de l’attaque du 5 octobre, une autre incursion des ADF a été signalée dans le même territoire de Béni. Même chose dans la localité de Linzo Sisene.

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