De forte pluie, accompagné des vents violent, s'est abatue sur la Commune rurale d' Oicha et, dans une parti du térritoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo, vers 15 heures 40" dans l' après midi du vendredi le 22 avril 2016. Des dégats matériel sont enrégistré, après le passage de cette catastrophe naturel, dans une stricture dela dela zone de Santé d' Oicha, àl' institut d' Oicha, E.P Mwangaza, École primaire Wakalire, Église EERA, et quelques habitations des civiles détruite. Àl' Institut d' Oicha par éxemple, la toiture de quatres salles été emporté, par les vents. À l' école primaire Mwangaza aussi, les dégats de pluie, sont enrégistré avec l' enlévement dela toiture du Bureau de cette école, et celle de quatres salles de classse souligne, une source du Directeur d' école Mwangaza Kayenga-Mbela. Cela est arrivé, après une forte pluie, qui a causé l' instabilité sociale des habitants d' Oicha dans, l' après midi du vendredi, 11 mars 2016 où, les toitures de plus de sept cents maisons d' habitantion, les écoles primaire et sécondaire, les Églises ont étaient emporté par l' Ouragan ce jour là. Cette forte pluie accompagnée des vents violents aussi, qui s’est abattue, l’après midi de vendredi 11 mars, sur l’ensemble de la commune rurale d’Oicha a causé des dégâts matériels énormes. Des centaines des maisons d’habitations se sont écroulées, des toitures d’écoles et des temples des églises emportées, des poteaux électriques renversés par terre, des enclos des particuliers tombés, voilà autant des dégâts matériels qu’a causés cette pluie qui n’a duré que quelques dizaines de minutes. Parmi les écoles détruites nous pouvons citer les instituts Mabalako, Maendeleo, Mube, Amani, Maleki, Mamiki ; les écoles primaires Muungano, Maendeleo, Amani, Mube, Mamiki, Maleki situées en plein cœur de la cité. Au centre commercial, des nombreuses boutiques sont aussi détruites et le temple de l’Eglise de la 8ème CEPAC situé au quartier Bakaiku effondré jusqu’à sa fondation, la toiture de la Clinique Joseph Dawa située au quartier Masoso emportée, bref des dégâts matériels inestimables. Par ailleurs, sur avenue du Marché une vieille femme d’une septantaine d’années qui se trouvait à l’intérieur d’une maison a été grièvement blessée lorsque des vents violents ont emportés la toiture. Conséquences, des milliers des populations restent désormais sans abris. Elles passent la nuit à la belle étoile et des écoliers ne savent plus accéder à leurs salles de classe dans les écoles détruites. Le matin du samedi 12 mars, quelques autorités civiles locales ainsi que des inspecteurs de la sous-division d’Oicha ont été visibles sur les sites détruis pour constater les dégâts et faire rapport à leur hiérarchie. Pendant ce temps, la coordination territoriale de la société civile a plaidé pour une assistance humanitaire. Plus des victimes et beaucoup d’ entre eux étaient en danger, s’inquiètent les habitants dela place. Pour la plupart, ont passé la nuit à la belle étoile. Le trafic, tout près du centre d' Oicha, sur le tronçon routier Beni Bunia, a été interropu momentanément, empêchant ainsi tout passage, selon les témoins. La plupart des sinistrés ont trouvé refuge dans des églises et des écoles. Ils demandaient aux autorités du gouvernement centrale, et aux humanitaires de leurs venir en aide le plus vite. A oicha, c’est les quartiers comme, Bakaiku, Masosi, et Pakanza qui ont enregistré le plus de dégâts, avec la déconstruction, des maisons. D' après une source des différents chefs des quartiers, plusieurs toitures, dont celles de trois écoles, à savoir: Institut Mabalako, Babwisi, et école primaire, Muungano ont été emportées par un vent violent qui a accompagné cette pluie a fait plusieurs dégâts matériels. Des dizaines de bâtiments se sont écroulés. Deux hommes sont également étaient blessés, par des chévrots de part et d' autres. Des tôles des quelques, Cliniques, emporté, des malades démoralisé, des médecins aussi victime de cette catastrophe.

La Commune rurale d' Oicha est dévenu le passage des vents violent, accompagné, des forte pluies. Douze personnes ont été blessées à la suite de la pluie qui s’est abattue, vendredi le 12 mars 2016, dans la cité de d’Oïcha.
Selon la société civile de Beni, cette pluie a également endommagé quatre-vingt-quatre salles de classe, quatre structures de santé, dont le centre pour handicapés et deux cent vingt-cinq maisons.
Le président de cette structure, Teddy Kataliko avait invité les autorités politiques et les humanitaires à venir en aide aux sinistrés:
«Nous appelons le gouvernement tant provincial que national à une intervention urgente et aux humanitaires de procéder à une évaluation de besoins dans l'urgence».
Il se plaint que l’autorité locale n’ait pas encore installé un comité de crise pour suivre cette situation de près.
Pour Teddy Kataliko, les personnes blessées ont étaient admises à l’hôpital général de référence d’Oïcha nécessitent de l’aide.
Il a par ailleurs signalé que les élèves des écoles primaires touchées passeront les examens de deuxième trimestre en dehors de leurs de salles.
Aujourd' hui, le térritoire de Beni est également en proie à l’insécurité, entretenue par les rebelles ougandais des ADF.
En décembre dernier, toutes les activités étaient paralysées à Oicha et dans le secteur de Beni-Mbau, à la suite du mot d’ordre de la société civile du territoire de Beni qui dénonçait l’insécurité dans cette partie du Nord-Kivu. Dix ans plus tars donc le 08 mars 2006 une pluie abondante accompagnée de vents très violents (ouragan) s’est abattue sur la plupart des villes, villages et cités dans le térriroire de Beni. Les effets de cet ouragan après la pluie été très particulière dramatique en vers la population dans la cité de Oïcha, chef lieu du territoire de Beni, ainsi que dans tous les villages avoisinants et ceux situés le long de l’axe Beni – Bunia, à savoir May-Moya, Kokola, Eringeti…
Rapport de la mission d’Evaluation à Oïcha après la Catastrophe du 08 mars 2006
Contexte :
Le mercredi 08 mars 2006 la Journée Mondiale dela Femme à été célébré de façon très tragique dans une grande partie du Nord-Est dela République Démocratiqued Congo. Une pluie abondante accompagnée de vents très violents (ouragan) s’est abattue sur la plupart des villes, villages et cités de cette partie géographique. Les effets de cet ouragan ont été particulière dramatique dans la cité de Oïcha, chef lieu du territoire de Beni, ainsi que dans tous les villages avoisinants et ceux situés le long de l’axe Beni – Bunia, à savoir May-Moya, Kokola, Eringeti…
C’est cette situation qui a motivé l’organisation d’une mission d’ Evaluation urgente dans cette partie sinistrée ce mercredi 15 mars 2006.
La Caritas Butembo-Benia été accompagné dans cette mission par les Ingénieurs du Bureau d’Etudes et de Construction du Nord-Kivu, BECNK sprl, une entreprise de construction qui travaille dans la région.
Constat :
Le vent a causé d’énormes dégâts matériels et humains dans la région. La cité de Oïcha est particulièrement touchée. On peut voir partout dans chaque quartier des maisons en matériaux durables ou en semi-durables dont les toitures sont emportées, ou alors les murs et les toitures sont complètement détruits.
Ainsi plusieurs milliers de familles sont restées sans abris depuis cette journée apocalyptique. L’Hôpital de Oïcha a été sérieusement endommagé. Presque toutes les écoles de la contrée ont été touché ; elles étaient d’autant plus fragiles qu’elles sont construites avec des moyens vraiment très locaux, c’est-à-dire avec des murs en bois et des toitures soit en chômes soit en tôles. Quand les murs sont en briques, ils manquent très souvent de laitons pour protéger la toiture. En fait ce sont des bâtiments construits par la population sous l’impulsion des autorités locales et de l’Eglise. Plusieurs se sont également écroulées, ainsi que des bâtiments abritant les services publics de l’Etat. Évaluation de l’ampleur du sinistre :
Une enquête pilotée par le Bureau dela Zone de Santé de Oïcha avec l’ISTM Oïcha a été diligenté pour mesurer l’ampleur des dégâts causés par cet ouragan. Les Etudiants de l’ISTM ont été mis utilement à contribution dans ce travail qui s’est effectué de façon plus ou moins systématique. Voici en résumé les résultats de ce travail dont les détails se retrouvent en annexe :
*.Morbidité et mortalité : 3 cas de décès :une fille de 25 ans, une fillette de 6 ans et une autre de 3 ans ; 72 blessés dont 19 enfants et 53 adultes ; 93 de chocs émotionnels.
*.Ecoles : 39 écoles détruites gravement ou partiellement entre et Eringeti.
*.Hôpital de Oïcha : plusieurs bâtiments et locaux : dentisterie, polyclinique, pharmacie avec la grande parie de son contenue (médicaments, matériels…), Green House, habitation des médecins et de l’ITM…
*.Résidences privées : 3179 maisons d’habitations détruites, 62 maisons commerciales, 653 latrines…
*.Sur l’axe Oïcha-Eringeti il y a encore plusieurs sites de déplacés de l’Ituri.

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