DÉCOUVERTE MACABRE A KISALALA SUR LA ROUTE BUTEMBO-BENI Un corps sans vie d'un homme d'environ 35ans a été découvert à 30m du pont Kisalala le matin de ce mercredi 6/04/2016 sur la route N¤2 à quelques 30m de la position de la PNC. Selon le constat de la PNC Maboya, Société Civile de BUTEMBO et la population locale sur terrain, cet homme sans pièce d'identité a visiblement reçu 1 balle. Suivant la piste dans la brousse on a trouvé 2 machettes,1 épée ,1carte sim,1 pièce d'identité, 3 cartes photos... Jusqu'à présent les auteurs de ce crime courent dans la nature et le corps a été conduit a Butembo. La SOCIÉTÉ Civile de BUTEMBO , exige que les enquêtes se poursuivent jusqu'à l'identification de présumés auteurs et aux autorités de renforcer la sécurité de la population selon Paluku Édgar Mateso un membre dela société civile urbain de Butembo qui est notre source dela place. Cela est arrivé après une PARALYSIE D'ACTIVITES EN VILLE DE BUTEMBO le mardi 05 avril 2016. Tout est parti d'un accident commis par un taximan qui transportait une dame. Les Fardc qui se trouvaient à ce lieu ont voulu conduire le conducteur de moto à l'auditorat militaire garnison de BUTEMBO. Les collègues de ce taximan ont plutot exigé que ce dossier soit traité soit à leur Bureau de L'ATAMOV, soit à la PCR (Police de Circulation Routière). Arrivés au Bureau Atamov, un des militaires qui étaient déjà nombreux a tiré dans les jambes du pauvre taximan. Cette situation a suscité la colère des tous les motards de la ville, qui ont commencé à barricader les routes. Alors que la PNC tentaient de négocier pour rétablir l'ordre public. Un échange de jet des projectiles et des coups de balles réelles s'en est suivi. Le pauvre taximan s'appelle Rodric MUMBERE MUTATSINDUKA. Consécutivementà cette situation, la Coordination Urbaine de la Société Civile de Butembo qualifie d'inadmissible l'acte qu'a commis le militaire Fardc qui a tiré à bout portant sur un taximan dl'ATAMOV/Bbo le matin de ce mardi 5/04/2016 au bureau de leur association. A cet effet elle exige que soit arrêté ce militaire indiscipliné, auteur afin qu'il réponde publiquement de ses actes dans un délai le plu cours. Tout en compatissant avec les conducteurs des taxis, la coordination appelle les taximen au calme afin que pareil situation ne soit une occasion d'infiltration de la ville étant donné que les moments que nous traversons sont durs. EDGAR, 1er V-Président.

La résurgence de l’insécurité affecte l’économie à Beni et Butembo en ces jours presque dans tout les deux térritoire. Les journées « ville morte » organisées depuis le 11 mai ont négativement affecté le secteur économique dans les villes de Beni et Butembo dans la province du Nord-Kivu. Meurtres, vols à main armée et pillages sur la route Butembo-Goma et dans la ville de Beni au Nord Kivu sont devenus monnaie courante, constate la société civile.
Le marché de Butembo, cible aussi d'attaques criminelles
Elle condamne ce regain de violence et appelle les autorités à assurer la protection de la population et ses biens.
Le dernier meurtre remonte à la nuit de samedi dans la ville de Butembo, au quartier M’siri, annonce la société civile dans un communiqué remis à la presse.
Mardi, c’était le tour de Hubert Matendo, gérant de la Coopérative d’épargne «La Semence », d’être abattu par deux hommes en armes en son domicile, à 20 heures. Les meurtriers ont emporté un ordinateur ainsi que 2 téléphones portables, indique la même source.
Une dame de 46 ans a été criblée de balles à Beni vendredi dernier à 5 heures du matin devant son domicile par des hommes armés.
Par ailleurs, la société civile signale des cas de criminalité sur la route Butembo-Goma, surtout entre Lubero et Katendi. En l’espace de 4 jours, 5 véhicules ont été la cible des coupeurs de route.
Un chauffeur et les passagers ont été tués. Des marchandises et une somme d’environ 20 000 dollars ont été emportées par ces inciviques.
Devant ce regain de criminalité, la société civile appelle les autorités administratives, militaires et policières à plus de responsabilité dans la sécurisation des personnes et de leurs biens. Deux présumés insurgés ont été mis aux arrêts ce dimanche 8 novembre 2015 au parking La Victoire et à Kangote. KAKULE SYAHAVA Jean-Marie Vianney, 23 ans et KAKULE WAZIWAZI, 27 ans ont été cueillis alors qu’ils comptaient regagner leur maquis installé dans le Graben depuis quelques mois.
Ils possédaient l’arme AK 47 portant le numéro 29 02 149 et 32 munitions. Leur arrestation a été rendu possible grâce à la vigilance des membres de la Véranda Mutsanga appuyés par des taximen de la place. Les présumés insurgés témoignent qu’ils venaient de passer 5 jours de séjour à Butembo. Ils sont venus du Graben dans une mission de récupérer une arme AK 47 qui leur servirait dans leurs activités rebelles. Pour réaliser leur mission, KAKULE SYAHAVA Jean-Marie Vianney et KAKULE WAZIWAZI ont pris en location une maison à Mavono. Ils avaient donné à leur bailleresse 25 dollars en raison du loyer pour 5 mois. Les deux hommes avaient convaincu leur bailleresse qu’ils sont obligés de louer une maison à Butembo. Le temps pour eux d’attendre le véhicule qui transporte leurs marchandises de Beni pour Goma. Selon eux, le véhicule imaginaire était embourbé à Kabasha. Interrogé par le reporter de la RMBB, KAKULE SYAHAVA Jean-Marie Vianney a témoigné s’être enrôlé dans le mouvement rebelle en cours d’organisation dans le Graben car ses initiateurs avançaient que le mouvement visait à barrer la route aux assaillants qui tuent par machette et hache des innocents en ville et territoire de Beni. En effet, ce groupe se trouve dans le Graben sous la direction d’un certain KATEMBO. Il aurait des ramifications en territoires de Lubero et Rutshuru. Pour preuve, KAKULE SYAHAVA Jean-Marie Vianney et KAKULE WAZIWAZI attestent que l’arme AK 47 récupérée leur est parvenue à Butembo par le truchement d’un certain AMANI aussi membre de ce groupe rebelle. Cet homme est en fuite. Si la culpabilité KAKULE SYAHAVA Jean-Marie Vianney et KAKULE WAZIWAZI est avérée, ils risquent la peine de mort pour appartenance à un mouvement insurrectionnel, note un magistrat qui préfère rester anonyme. Entretemps, l’Agence Nationale de Renseignements, ANR Butembo-Lubero poursuit l’instruction de ce dossier. De l’autre côté, des bandits en arme ont tenté d’opérer en cellule VATOLYA du quartier Mutiri au domicile de l’opérateur économique KABOSYO. Le fait remonte à la nuit du samedi dernier à 19 heures 20. Il s’est agi de 3 personnes vêtues en tenues similaires à celles d’une société de gardiennage de la place. Elles étaient porteuses de trois armes à feu. Aussitôt qu’ils tentaient de pénétrer l’enclos ciblé, l’alerte de voisins les a déstabilisés. L’intervention des services de sécurité dont les agents sont arrivés sur place les a dissuadés complètement en dépit de leur fuite.
Par ailleurs, l’Agence Nationale de Renseignements, ANR Butembo-Lubero a intercepté 4 sacs de chanvre ce dimanche 8 novembre 2015. L’opération d’interception de ce produit interdit de vente et de consommation a commencé depuis quelques jours. Ce chanvre était transporté dans un véhicule qui aurait traversé la barrière de Lubero avec la complicité de certains agents publics. Selon des sources sures, ce chanvre serait venu de Miriki où la culture de ce stupéfiant serait pratiquée par des retournées installés dans cette contrée.

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