Une nouvel présence des hommes armée signalé àl' Est de Beni térritoire : des sources très sûres venant d'un proche ami dela Chefferie de Watalinga, lundi le 25 mars 2016 vers 10h00" il ya eu échange des tirs entre les Fardc, forces armée congolaise, contre des hommes non autrement idatifié avec des armes de guerre. Jusque présent, une série des tensions s' observe dans plusieurs localité du Sécteur de Rwenzorie dans une parti frontalière avec l'ouganda. Les forces congolaises et onusiennes ont été visible vers 11h00' dans la Commune rurale de Nobili selon une source locale d' un habitant dela place. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Victimes il y a quelques jours d’une attaque meurtrière de la part des rebelles ougandais de l’Alliance des forces démocratiques (ADF), les populations d’Oicha, localité du territoire de Beni, dans la province du Nord Kivu, regagnent progressivement leurs domiciles respectifs. La coordination provinciale de la Société civile du Nord Kivu qui fait ce constat, précise que, malgré ce retour timide, les activités socio-économiques sont quasiment à l’arrêt. Seuls quelques commerces ont rouvert. Selon des sources locales, l’accalmie qu’on observe actuellement va certainement permettre aux opérateurs économiques encore hésitants de reprendre leurs activités.
Des migrations clandestines s’effectuent entre Ruchuru et les forets Beni via NYAKAKOMA !
Quand nos frères sont massacrés en territoire de Beni, il nous est demandé de ne pas parler, de ne pas crier, et de ne pas pleurer en nous taxant d’intoxications, de la xénophobie, d’incitation à la haine tribal, à la révolte….. !
Faut-il les laisser nous massacrer, et restez bouches cousues !
Alors que, les pauvres citoyens de Beni territoire quittent leurs villages en fuyant l’insécurité, eux aussi y pénètrent clandestinement.
L’une de nos sources les plus informées, rapporte ce qui suit :
« WATU WANATOKA RUTSHURU WANAPITA NYAKAKOMA NDANI YA ZIWA NA KUINGIA KWA MISITU YA BENI WANAJUA LAKINI HAWAPENDE SEMA KWELI » !
Et tout cela se passe sous les yeux des autorités qui ne veulent pas stopper cette migration.
Nous exigeons au gouvernement d’arrêter cette migration car ça risque de créer une situation qui sera difficile à gérer, pensent les personnes averties.
Nous n’allons pas nous taire devant cette légèreté avec laquelle le gouvernement s’intéresse aux massacres des YIRA en Beni-Lubero. Depuis le mois de septembre dernier, alors que se déroulait le procès militaire destiné à donner la lumière sur la mort du Colonel MAMADOU MUSTAFA NDALA, plusieurs tracts ont circulé à BENI annonçant des massacres contre les populations locales en raison de 120 par mois. Comme cela était planifié, début octobre 2014, les terroristes jusque là inconnus ont lancé une vaste boucherie humaine en posant des actes de carnage à la machette, la hache, à l’arme blanche dans plusieurs villages du territoire de BENI ; puis, ils sont allés poser les autres actes de carnage en ville de même nom, emportant à ces jours environ 300 personnes tuées.
Contrairement à la version officielle qui est loin de recevoir la confirmation de la MONUSCO et qui prétendait que les terroristes qui tuaient avec cette féroce brutalité qui trahit une haine forte et cachée seraient des ADF-NALU, les rédacteurs de la présente pétition sont en mesure au regard des faits qui procèdent du terrain à préciser avec certitude que les assaillants sont essentiellement des sujets Hutu, parlant le Kinyarwanda et agissant dans le même mode opératoire similaire au génocide rwandais des années 1994. Les rescapés de l’enlèvement du 3 septembre 2015 en localité Tingba, Groupement de Bahumu, Chefferie des Watalinga, en Territoire de Beni affirment avoir été otages pendant une semaine des ravisseurs armés rwandais occupant actuellement un ancien camp d’ADF/NALU. Cet ancien camp d’ADF/NALU est situé au confluent des rivières Bangu et Semuliki, en territoire de Beni, à la frontière avec l’Ouganda.
Interrogés sur le nombre de ces rwandais armés, les ex-otages disent qu’ils peuvent être plus de 500 dans un camp bien construit et que certains parmi eux s’expriment assez bien en langues et dialectes de la région.
Ces rescapés auraient déjà communiqué cette information aux commandants Fardc de la chefferie des Watalinga afin que ces derniers lancent, sans tarder, un assaut sur ce camp de Tingba où l’ennemi ne serait plus l’ADF/NALU mais une nouvelle rébellion rwandaise qui n’aurait pas encore dévoilée son nom au grand public.
Cette information coïncide avec la folle rumeur qui circule sur les médias sociaux (tel la Voix de l’Afrique au Canada : http://vacradio.com/author/kienge/) faisant étant de la prochaine installation de Joseph Kabila dans ses résidences de Beni-Ville et Kabasha en Beni-Territoire, et Musienene en Territoire de Lubero. Selon la même rumeur, les travaux d’adaptation de ces résidences à leur future fonction présidentielle seraient sous la supervision de Marcellin Cishambo, gouverneur du Sud-Kivu. La sécurité de Joseph Kabila qui ferait du Nord-Kivu l’équivalent de Gbadolite de feu Joseph-Désiré Mobutu serait assuré par l’armée rwandaise.
Notez aussi qu’il y a 4 mois le Gouverneur du Nord-Kivu avait dénoncé sur les antennes de la radio onusienne Okapi ( www.radiookapi.net) l’entrée des troupes rwandaises au Nord-Kivu. Comme Il n’a jamais parlé de leur retour au Rwanda, ou d’une opération militaire les expulsant du Nord-Kivu, on peut conclure que ses troupes rwandaises opèrent toujours au Nord-Kivu et, par conséquent, elles peuvent être celles signalées en chefferie des Watalinga, Territoire de Beni, en préparation de l’installation de Joseph Kabila à Beni-Lubero. Aussi, s’interrogent les observateurs, l’installation de Joseph Kabila au Nord-Kivu sous haute sécurité rwandaise, n’est-elle pas une nième tentative de balkanisation de la région au profit du Rwanda, une balkanisation qui se bute depuis 19 ans au patriotisme de la population congolaise très attachée à l’intégrité territoriale de la R.D. Congo ?
L’info de la présence des rwandais armés en territoire de Beni et la rumeur d’une prochaine installation de Joseph Kabila en Territoires de Beni et de Lubero, rajoutent au grand suspens qui entoure l’avenir de la R.D.Congo entre septembre 2015 et Décembre 2016.
Quand nos frères sont massacrés en territoire de Beni, il nous est demandé de ne pas parler, de ne pas crier, et de ne pas pleurer en nous taxant d’intoxications, de la xénophobie, d’incitation à la haine tribal, à la révolte….. !
Faut-il les laisser nous massacrer, et restez bouches cousues !
Alors que, les pauvres citoyens de Beni territoire quittent leurs villages en fuyant l’insécurité, eux aussi y pénètrent clandestinement.
L’une de nos sources les plus informées, rapporte ce qui suit :
« WATU WANATOKA RUTSHURU WANAPITA NYAKAKOMA NDANI YA ZIWA NA KUINGIA KWA MISITU YA BENI WANAJUA LAKINI HAWAPENDE SEMA KWELI » !
Et tout cela se passe sous les yeux des autorités qui ne veulent pas stopper cette migration.
Nous exigeons au gouvernement d’arrêter cette migration car ça risque de créer une situation qui sera difficile à gérer, pensent les personnes averties.
Nous n’allons pas nous taire devant cette légèreté avec laquelle le gouvernement s’intéresse aux massacres des YIRA en Beni-Lubero. Depuis le mois de septembre dernier, alors que se déroulait le procès militaire destiné à donner la lumière sur la mort du Colonel MAMADOU MUSTAFA NDALA, plusieurs tracts ont circulé à BENI annonçant des massacres contre les populations locales en raison de 120 par mois. Comme cela était planifié, début octobre 2014, les terroristes jusque là inconnus ont lancé une vaste boucherie humaine en posant des actes de carnage à la machette, la hache, à l’arme blanche dans plusieurs villages du territoire de BENI ; puis, ils sont allés poser les autres actes de carnage en ville de même nom, emportant à ces jours environ 300 personnes tuées.
Contrairement à la version officielle qui est loin de recevoir la confirmation de la MONUSCO et qui prétendait que les terroristes qui tuaient avec cette féroce brutalité qui trahit une haine forte et cachée seraient des ADF-NALU, les rédacteurs de la présente pétition sont en mesure au regard des faits qui procèdent du terrain à préciser avec certitude que les assaillants sont essentiellement des sujets Hutu, parlant le Kinyarwanda et agissant dans le même mode opératoire similaire au génocide rwandais des années 1994. Les rescapés de l’enlèvement du 3 septembre 2015 en localité Tingba, Groupement de Bahumu, Chefferie des Watalinga, en Territoire de Beni affirment avoir été otages pendant une semaine des ravisseurs armés rwandais occupant actuellement un ancien camp d’ADF/NALU. Cet ancien camp d’ADF/NALU est situé au confluent des rivières Bangu et Semuliki, en territoire de Beni, à la frontière avec l’Ouganda.
Interrogés sur le nombre de ces rwandais armés, les ex-otages disent qu’ils peuvent être plus de 500 dans un camp bien construit et que certains parmi eux s’expriment assez bien en langues et dialectes de la région.
Ces rescapés auraient déjà communiqué cette information aux commandants Fardc de la chefferie des Watalinga afin que ces derniers lancent, sans tarder, un assaut sur ce camp de Tingba où l’ennemi ne serait plus l’ADF/NALU mais une nouvelle rébellion rwandaise qui n’aurait pas encore dévoilée son nom au grand public.
Cette information coïncide avec la folle rumeur qui circule sur les médias sociaux (tel la Voix de l’Afrique au Canada : http://vacradio.com/author/kienge/) faisant étant de la prochaine installation de Joseph Kabila dans ses résidences de Beni-Ville et Kabasha en Beni-Territoire, et Musienene en Territoire de Lubero. Selon la même rumeur, les travaux d’adaptation de ces résidences à leur future fonction présidentielle seraient sous la supervision de Marcellin Cishambo, gouverneur du Sud-Kivu. La sécurité de Joseph Kabila qui ferait du Nord-Kivu l’équivalent de Gbadolite de feu Joseph-Désiré Mobutu serait assuré par l’armée rwandaise.
Notez aussi qu’il y a 4 mois le Gouverneur du Nord-Kivu avait dénoncé sur les antennes de la radio onusienne Okapi ( www.radiookapi.net) l’entrée des troupes rwandaises au Nord-Kivu. Comme Il n’a jamais parlé de leur retour au Rwanda, ou d’une opération militaire les expulsant du Nord-Kivu, on peut conclure que ses troupes rwandaises opèrent toujours au Nord-Kivu et, par conséquent, elles peuvent être celles signalées en chefferie des Watalinga, Territoire de Beni, en préparation de l’installation de Joseph Kabila à Beni-Lubero. Aussi, s’interrogent les observateurs, l’installation de Joseph Kabila au Nord-Kivu sous haute sécurité rwandaise, n’est-elle pas une nième tentative de balkanisation de la région au profit du Rwanda, une balkanisation qui se bute depuis 19 ans au patriotisme de la population congolaise très attachée à l’intégrité territoriale de la R.D. Congo ?
L’info de la présence des rwandais armés en territoire de Beni et la rumeur d’une prochaine installation de Joseph Kabila en Territoires de Beni et de Lubero, rajoutent au grand suspens qui entoure l’avenir de la R.D.Congo entre septembre 2015 et Décembre 2016.
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