Après, le lancement de trois jours de deuil par, les quatres Coordinations dela société civile de Beni ville, Butembo ville, Beni térritoire, Lubero térritoire, au Nord-Kivu, une délégation des députés provinciaux originnaire de Beni Lubero sont en tournée dans le Grand-Nord. Jeudi 18 mai 2016, ils sont arrivé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, pour combatir avec les habitants dela région, où les groupes armée étrangers continue avec une serie des massacres des civils, victimes des plusieurs éxactions et crime contre l' humanité.

3 jours de deuil, sans activités, analyse de la 1iere recommandation des 4 coordinations de la société civile de Beni-Lubero :
Guerre finale contre les égorgeurs
1. L’observation par toute la population des Territoires de BENI et de LUBERO et des Villes de BENI et de BUTEMBO de trois
(3) journées villes mortes à partir du Mercredi 18 mai au Vendredi 20 mai 2016 en mémoire de 1116 personnes tuées sauvagement dans la région.
Chers compatriotes, la Coordination de la Société Civile de Beni Lubero vous remercie d'avoir obéi au mot d'ordre des 4 coordinations de Beni ville, Beni territoire, Butembo et Lubero. Désormais, nous ne pourrons accepter que les autorités nous privent notre droit à la sécurité et à la paix. Les députés provinciaux en se jour dans la région pour une duré des trois jours! L' objectif de cette mission, est d' évaluer la situation sécuritaire dans cette parti de province du Nord-Kivu ravagé par la guerre dépuis des années à nos jours. Après leurs arrivé à Oïcha les élues , privinciaux, ont étaient accueilli par les membres de quelques composantes dela société civile dela place. Et après une rencontre qui connue la participation de plusieurs personnes à majorité des hommes, a été organisé dans la salle de papa Nico entre les députés, et leurs base. Face à la multiplicité d' insécurité et tuerries en ces jours dans la région de Beni, beaucoup des récomandations ont étaient formulé, après les débats sur l' identité des groupes armée qui tue la population de part et d' autres. Toute fois pour metre fin aux carnages des civils à Beni et Lubero, les députés provinciaux comme nationaux doivent travailler dans l' assemble avec la société. En ce qui concérne les mouvements migratoire des groupes des gens d' éxpression Rwandophone, les députés ont fait savoir que, toute mouvement dela migration à partir du Nord-Kivu, vers la nouvel province del' Ituri, doit être arrêter par une décision des autorités provinciale, même au niveau nationale. Les habitants du térritoire de Beni soupçonnent les groupes d' individu d' éxpression Rwandophone comme les auteurs des massacres, vols, kidnapings, sans oublier aussi, le déplacement forcé des civils. Un voyages des rwandophones en migration en Ituri est stopé à Oicha : dans une voiture de couleur blanche, avec une surcharge de plus des sacs, jusqu' au dents, a été arrêté, tôt le matin du samedi 07 mai 2016 par les policiers del' État-Major d' Oïcha chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, avec plus de 5 rwandais en bord minue, des machettes, haches, et des armes à feu. Le message d' arrestation des Rwandophones à migration vers Boga, Mitego, et Tchabi, dans la province del' Ituri, a plus vite circulé, au sein dela population, d' Oicha centre. Les habitants en colère, se sont rendue à la police, en commençant les jets des pierres contre les policiers. Face à cette situation, chaotique, les policiers présent, sur le lieu, on tiré plusieurs cou de gage lacrymogène en dispersant toute personnes qui voulaient, brûlé cette engin roulant qui été stationé tout près du bureau dela police dela place, pendant plus de deux heures. Le calme est arrivé sur le lieu, après l' éscorte de cette voture par les policiers, et quelques millitaires Fardc, en diréction de Beni ville.
Les mouvements des rwandophones sont de plus en plus en migration vers l' Ituri, pour les travaux del' agriculture selon les tégnoigages recolté au près de ces gens qui choisissent la période des maassacres des civiles en cours dépuis 2014 à ces jours dans les térritoires de Beni, et Lubero où on tue les gens. En dehors de cet aspect géographique, deux autres paramètres alimentent les conflits interethniques à savoir les aspects démographique et politico-économique.
Les Nande et les Banyarwanda sont en effet les deux groupes majoritaires qui se sont toujours disputé le leadership économique et politique de la province.
la zone de Beni et Lubero, exclusivement peuplée des Nande
celle de Rutshuru occupée majoritairement par les Banyarwanda autochtones ;
l’Ituri on apprend que des Hutu venus du Rwanda [1]apprennent le Kinande dans les collectivités de Bahema-Boga, Bahema-Mitego et Banyali-Chabi, plus précisément à Chamata, Chabi, Bukima, et Mitego. En plus de l’apprentissage de cette langue parlée par 5 millions des congolais, certains de ces Hutu vont jusqu’à se donner des noms typiquement Nande tels Kakule, Kasereka, Katembo, Masika, etc. Qu’est-ce qui motive cet apprentissage du Kinande par les Hutu une fois arrivés en Ituri ? En effet ceux qui sont au Sud de Lubero n’apprennent pas le Kinande. Pourquoi ceux qui choisissent l’Ituri comme terre d’accueil n’apprennent-ils pas le Kingiti ou le Kihema qui sont les langues parlées dans les collectivités ci-haut citées ? Et pourquoi les Nande de l'Ituri sont-ils inquiets de l'apprentissage de leur langue?
En réfléchissant par l’absurde, on peut dire que rien n’empêcherait les Hutus à apprendre le Kinande en Ituri et partout où ils le voudraient.

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