Beni térritoire : après des violents combats dans presque toute la journée du Dimanche 01 mai 2016, entre les rébélles des Adf-Nalu, les militaires Fardc contrôlent la localité de Mungungu et celle de Lese. Cette nouvelle attaque a provoqué le déplacement massif de population, vers Eringeti et Kainama chef lieu du groupement du même mon. Les mouvements signalés a concerné aussi, bien les femmes les enfants que les jeunes et les hommes. Ils ont fuit nuitamment, alors que ça tirait dans tous les sens. Toute fois, beaucoup des gens ont passé la nuit à belle étoile. Après la fuite des rébélles dans le Pardc National des Virunga, un signe de colère s' observé, au sein des habitants de cette lacalité la cible des hommes armée dépuis des années. Dans leurs passage, les Adf-Nalu, lourdement armée, ont pillés, des boutiques, farmacies, et quelques maisons dela population de cette conté en insécurité dépuis des années. La CRDH Coordination Nationale dénonce et condamne avec la dernière energie la continuité des exactions des faux ADF-Nalu en Territoire de Beni malgré la présence des plusieurs Unités de l'armée regulière (FARDC) et les éléments de la force Onusienne (Casques bleus). Pour rappel dans la nuit du vendredi, 25 mars 2016, les rebelles des Adf-Nalu, ont attaqué de nouveau, des Villages, et quelques positions, militaire des Fardc, dans le Village de Pkele au Sud- Est de localité de Kainama, où des violents affrontements les ont opposés aux militaires Fardcs, entre 23 heures et 1 heure locale du matin, d' après une source locale dela place.

Deux Adf-Nalu, et 4 civiles sont tué, 2 rébélles nétralisé, et un capturé, avec plusieurs enfants disparue . C'est le bilan, d' une nouvel attaque dela part des hommes minue des armes à feu, identifié au groupe des Adf dans l' avant midi du Dimanche 01 mai 2016 à LESE et KAMUNGU précisement, dans deux villages situé sur le long dela route Eringeti Kainama, au Nord-Est du Territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu.
24 heures avant, cette éccursion, un homme et sa femme victime de Kidnaping au Sud du Térritoire voisin d'IRUMU à OFAY où 3 civiles ont était enlevés, une femme violés, et pillages des biens des habitants par présumés des milices FRPI.
Informé dela situation, c'est ainsi que, les Unités de la Brigade ou Force Onusienne en appui aux FARDC ont continué à largué des bombes sur la ligne des fronts contre les assallants. Soulignons ici bas que, les éclats des missilles étaient visible dans les airs à partir du PK5 km sur le tronçon routier Beni-Kamango du côté des assaillants dans Secteur de Beni-Mbau, Province du Nord-Kivu en RDC.
Des détonations des armes lourde et légère se font de plus en plus entendre sur différents lignes des combats précise une source militaire.
Les millitaires Fardc poursuivrent les rébélles avec des ratissage dans les combats qui s' est déroulé au font dela Parc nationale des Virunga avec une durée des plusieurs heures.
Face à cette situation dela présence de ces rebelles des ADF-Nalu, attaquent les localités, des grandes aglomerations de Beni térritoire, ou une position des FARDC, dans l'objectif de trouver peut être, des munitions, et de s'enprovisioneren nourritures, médicaments, chèvres, poules, canards des habits et autres. Qui sont les ADF-Nalu.
Selon l’armée régulière, les rebelles sont alors repartis vers le Ruwenzori, chaîne de montagnes qui marque la frontière et dont ils occupent les contre forts dépuis des années, dans le térritoire de Beni ou les habitants sont, tué, et
une région devenue une "poudrière"
La rébellion de l’ADF-Nalu sévit dans la région du « Grand nord », partie nord de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Edouard, fief de l’ethnie Nande. C’est « une poudrière », s’alarme, sous couvert d’anonymat, un expert militaire occidental, redoutant que cette rébellion ne devienne un nouveau foyer de troubles qui s’appuierait sur les revendications des Nande qui s’estiment aujourd’hui délaissés par Kinshasa.
Les États-Unis ont placé l’ADF-Nalu sur leurs liste d’organisations terroristes dès 2001.
L’ADF-Nalu est née au milieu des années 1990 de la fusion de deux groupes armés opposés au président ougandais Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986. La composante Nalu (Armée nationale pour la libération de l’Ouganda) a depuis lors disparu, mais le mouvement conserve son appellation d’origine.
Un moment soutenu par le Soudan, les ADF étaient à l’origine composés essentiellementde militants du Tabliq, un mouvement missionnaire musulman. Au fur et à mesure des années, ces combattants se sont radicalisés. Aujourd’hui uniquement composée d’islamistes, l’ADF-Nalu est dirigé depuis 2007 par Jamil Mukulu, un chrétien converti à l’islam. Les États-Unis l’ont placé sur leur liste d’organisationsterroristes dès 2001 et Jamil Mukulu est visé par des sanctions de l’ONU depuis 2011 et de l’Union européenne depuis 2012. Et pour décourager ces différentes milices, les FARDC poursuivent, dans le « cadre de l’opération Sukula 1 », leurs offensive, soutenue par la Force de la Monusco, contre les positions l’ADF situées sur la colline près du camp Medine, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu). L’armée congolaise y poursuit, toujours avec l’appui de la Force onusienne, ses opérations de bouclage et de ratissage contre ces combattants ougandais dans les localités jadis sous leurs contrôle. Situation sécuritaire à Beni térritoire : la population appelée à dénoncer toute présence suspecte des rebelles ADF. Le générale Mbangu Mashita Marcel, commandant Ops SUKOLA I, confirme dans un point de presse qui l' est tenue à Beni ville le jeudi 14 avril 2016. Le commandant, a appelé, les habitants de sa juridiction à dénoncer toute présence suspecte des rebelles ougandais des ADF. Il craint que les rebelles, traqués dépuis trois ans, dans tout le territoire de Beni par l’armée dans le cadre de l’opération « Sokola 1 » [nettoyez], ne s’infiltrent dans le groupe des civiles qui arrivent dans la ville, et quelques agglomérations du térritoire de Beni. « Parmi eux, il ya des bons et des mauvais déplacés. Les bons sont ceux-là qui n’ont aucun problème. Les mauvais sont les ADF ou leurs dépendant qui peuvent être tentés de quitter la brousse pour la ville », a expliqué cette officier, au grade de générale. La population a été invité à dénoncer les infiltrés aux autorités civiles, notamment au maire de Beni, ou, à l' administrateur du térritoire aussi aux autorités militaires afin que les rebelles ougandais soient mis « hors d’état de nuire ».

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