Google : Les lentilles connectées semblent être un sujet de fond au sein des labos X de Google. En 2014, Novartis annonçait que sa filiale Alcon signait un accord avec Google dans ce domaine. Google a en effet présenté un prototype de lentilles de contact intelligentes (baptisées 'Smart Contacts') destinées aux diabétiques. Munies de microprocesseurs miniaturisés (non pas sur un circuit imprimé mais entre deux couches souples «biocompatibles») et connectés, elles doivent permettre de suivre l'évolution de la glycémie seconde par seconde en analysant le contenu des larmes. De quoi éviter aux diabétiques de se piquer le doigt plusieurs fois par jour afin de réaliser cette surveillance. En parallèle, Google disait tester sur des hommes un deuxième prototype avec ses lentilles de correction pour les personnes presbytes, incapables de lire de près. Equipées de mini-capteurs, ces lentilles visent à adapter constamment la vision en fonction de la lumière ambiante pour permettre de voir de près comme de loin.

Aujourd'hui, le moteur semble vouloir aller encore plus loin. Un brevet découvert par Forbes décrit une lentille intraoculaire c'est à dire directement greffée sur l'oeil du patient.
Il s'agit selon le descriptif de Google de remplacer la lentille naturelle de l'oeil afin de corriger la vue mais pas seulement puisque le dispositif serait aussi capable d'embarquer des capteurs, une batterie et un composant radio pour communiquer. De la vraie science-fiction.
Rappelons que Samsung a également déposé un brevet de lentilles connectées. Le dispositif qui serait connecté à un smartphone pourrait intégrer un appareil photo et permettre d'afficher les images capturées directement sur la lentille, elle même collée sur la rétine de l'utilisateur.
Evidemment, rien ne dit que ce brevet (ni celui de Google) sera un jour exploité mais il illustre la volonté des géants des technologies de l'information de diversifier les possibilités d'usage. 105% de croissance en 2013- Le marché mondial de la publicité sur mobile connaît une accélération très forte. Chrome... et les autres -Chez StatCounter, la domination de Chrome en France est indiscutable. En avril 2016, le navigateur de Google faisait la course en tête à 50,28%. Firefox, l'ancien champion du marché français est à l'arrêt depuis plusieurs mois. La bonne nouvelle néanmoins : sa part de marché cesse de s'effondrer. En avril, Firefox était à 22,94%. Le logiciel de Mozilla reste cependant loin devant Internet Explorer, en recul à 12,7%. Quant au navigateur d'Apple, Safari, il est à 9,73%. Le navigateur profite sur desktop des bonnes ventes de Mac. Ses marges de progressions sont toutefois limitées.
Et Microsoft Edge, le navigateur par défaut de Windows 10, profite-t-il de la forte adoption de cette version en France (23,57%) ? Très peu puisqu'en avril, la part de marché du logiciel était de 3,32%, et celle-ci plafonne aux environs des 3% depuis plusieurs mois déjà. Pour tirer l'adoption d'Edge, l'éditeur va devoir trouver un autre moteur que celui de l'OS.
2014/2012 - Internet Explorer à 58%
S. La dégringolade d'Internet Explorer -En avril, d'après Net Mark et Share cette fois, les différentes versions d'Internet Explorer cumulaient une part de marché mondiale de 41,35%. Et le navigateur de Microsoft plonge brutalement depuis plusieurs mois. Mais surtout, pour la première fois, IE est supplanté par Google Chrome à 41,66%. Firefox décline à 9,76%. Safari et Opera se situent eux bien plus bas. Toutefois en Europe et en France, la concurrence est plus féroce entre les navigateurs. Internet Explorer a souvent été évincé par la concurrence parmi les pays européens. La place de numéro un revient ainsi à Chrome en Europe et notamment aussi en France.
Avec le bon démarrage de Windows 10, Microsoft espère cependant parvenir à faire émerger Edge, son nouveau navigateur. L'éditeur aura fort à faire. D'ailleurs malgré l'adoption rapide de Windows 10, Edge ne représente toujours pas une part significative des visites. Pourtant, il part avec un avantage. Les applications Microsoft, dont Edge, sont en effet les logiciels par défaut sur Windows 10. Mais voilà, les utilisateurs repassent sur un autre navigateur ensuite, et notamment Chrome.
Chiffres des navigateurs en France (2016). Chrome au-delà des 60% - Pour StatCounter, le premier navigateur dans le monde sur desktop, en termes d'usage (pages vues), est incontestablement Google Chrome. Depuis octobre 2014, l'adoption se porte bien et Chrome est ainsi passé au-dessus du seuil des 50%. Et il poursuit toujours sa progression. En avril 2016, Chrome atteint 60,47% des pages vues. Depuis juin, Chrome a gagné plus de 6 points. Google laisse loin derrière ses concurrents puisqu’Internet Explorer, qui plonge ces derniers mois, est à 13,25%. Il ne devance plus ainsi Firefox à l'arrêt à 15,62%. Sur poste de travail, Safari et Opera se placent plus loin encore à respectivement 4,62% et 1,92%. Effet de mode ou véritable bouleversement technologique ? Il n’est pas toujours simple de faire le tri. Actuellement sur toutes les lèvres, l’internet des objets fait partie de ces sujets qui suscitent à la fois intérêt et interrogations. Pourtant, le volume d’objets connectés ayant tout simplement explosé ces dernières années, son adoption est déjà bien plus importante qu’on ne le pense. Selon les chiffres de Gartner, le monde comptera plus de 20 milliards d’appareils connectés d’ici 4 ans. Et certaines entreprises tournées vers l’avenir ont d’ores et déjà bien compris comment les exploiter. En faites-vous partie ? Mise à jour :en raison des forts écarts observés selon la méthodologie employée par les instituts de mesure, ZDNet.fr a décidé de compléter sa rubrique consacrée aux chiffres clés des navigateurs afin de permettre aux lecteurs de comparer les données de NetMarketShare (basées sur les visites uniques), Comscore (pages vues) et AT Internet (visites enregistrées pour un périmètre de sites Web).
Navigateurs dans le monde et en Europe (2016).

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