Réaction du, Julien Kahongya le gouverneur dela province du Nord-Kivu, après le passage des députés provincaux originnaire, du térritoire de Beni, et Lubero! Dans un dernier message sur son compte twitter l' autorité, provincial a fait savoir que, Les derniers moments de lucidité des rébélles des ADF ne doivent pas ébranler la détermination des FARDC à en découdre. Restons sereins et évitons intoxications des habitants des région.

La société civile du Nord-Kivu appelle les habitants des territoires de Beni et Lubero, à ne pas payer des taxes ni d’impôts, « tant que la paix ne sera pas rétablie dans cette région ».
Les responsables de la cette structure citoyenne veulent, de cette façon, faire pression au gouvernement pour qu’il rétablisse l’autorité de l’Etat et restaure la sécurité dans ces territoires.
« La population ne sera plus redevable vis-à-vis de l’Etat tant qu’elle sera victime de l’insécurité », menace la société civile de Beni.
Ces membres de la société civile demandent aussi à l’Etat congolais, de déclarer Kanyabayonga, en territoire de Lubero et Beni-territoire, « zone sinistrée ».
Pour l’administrateur du territoire de Lubero, Bokele Joy, la société civile demande une chose et son contraire.
« La Société civile demande à l’Etat de prendre ses responsabilités. Mais comment l’Etat doit prendre ses responsabilités si, l’état ne dispose pas de ses moyens. Les moyens sont donnés à l’état à travers les taxes et impôts. Je pense que, cette façon de voir les choses n’est pas logique », se plaint Bokele Joy et bernard amisi kalonda. Que se qui se passe-t-il à Beni ? Loin de la guerre psychologique et de l'intoxication entretenues sur les médias sociaux, le PPRD a répondu à cette question. Des réponses apportées par des hommes de terrain qui connaissent la région : le gouverneur du Nord-Kivu Julien Paluku qui a établi son quartier général à Beni, les ministres Salomon Banamuhere de la décentralisation et Atama Tabe de la Défense. C’est le Café Politique de ce vendredi 20 mai 2015. Henri Mova le Secrétaire Général a dit dans son introduction : « Le terrorisme s’est déjà invité dans notre pays et un jour en RDC on aura peut-être des poseurs de bombe ». Le professeur Mova a expliqué que lorsque le 13 novembre 2015, Paris est frappé en plein cœur avec plus de 130 victimes, c’est l’unité anti-terroristequi est déployée. Ce qui se passe à Beni, c’est du terrorisme, cad l’usage de la terreur à des fins politiques, en clair ces gens tuent en masse, brulent et violent aveuglément pour répandre la terreur et la peur. Or, le choc psychologique est agrandi par la manipulation sur les réseaux sociaux tant que ça ternit l’image du Chef de l’Etat et du pays. Les objectifs des terroristes montrer à la population que l’Etat ne peut plus les protéger. Face à cette situation, 12 députés provincaux originnaire de Beni-Lubero au Nord-Kivu se sont rendu, à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, mercredi 18 mai 2016! Cause, les tuerries, et l' instabilité sociale des civils? Les députés provinciaux du Nord-Kivu, et leurs base, ont mit, des stratégies de sortie des crises en faveur dela population, victimes des tuerries, massacres, vols, sans oublier le déplacement forcé des civils.
Qui est responsable des tueries à Beni? Les premières victimes de la violence qui ronge la région sont des civils comme des hommes, femmes, et Enfants. En réaction aux préoccupations de la communauté, les députés venus de Goma ont expliqué qu’il y a de matières qui dépendent du gouvernement de Kinshasa et d’autres du gouvernement provincial. En termes de remède au problème de l’insécurité, les élus du peuple ont implicitement appelé la population à se prendre en charge. Ils l’ont dit dans un langage très verrouillé. Quant au déplacement des populations suspectes de Rutshuru et Walikale qui se dirigent vers Eringeti et la province de l’Ituri, les élus ont demandé aux chefs coutumiers de se réunir et d’interdire à la population de vendre les champs de peur d’accueillir les rebelles de cette manière. Dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, une série de massacres touche la région de Béni. Plusieurs versions s’opposent sur l’identité des auteurs de ces massacres.
Que se passe-t-il à Béni ?
Dépuis l’automne 2014, la région de Béni, à l’extrême nord du Nord-Kivu, est le théâtre d’attaques d’une rare violence. Régulièrement, des assaillants surgissent dans des villages. Ils réunissent tous les habitants qu’ils trouvent avant de les tuer à la machette.
Enfants, femmes enceintes, vieillards… personne n’est épargné. Les corps sont démantelés comme des pièces de boucher. Ces massacres sont documentés, les images qui en témoignent sont épouvantables. Des députés du territoire de Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo, appellent à l'aide pour protéger leur population, victimes de trop nombreuses attaques. Avec des membres du parti Rassemblement congolais pour la démocratie-Mouvement de libération (RCD-KML), ils étaient mercredi à Kinshasa pour attirer l'attention sur l'insécurité qui règne dans leur région.
Plus de 1000 citoyens congolais sont péri sans que l’armée ne maîtrise les assaillants. Cela dénote, ou d’une incapacité notoire ou d’une complicité coupable. Les élus du territoire de Bénin à l’Assemblée nationale et la direction du RCD/KML étaient inconsolables. Tout au long de la conférence de presse, ils ont stigmatisé l’insécurité très permanente dans le grand Nord.

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