Trois jours de deuil en mémoire des victimes des carnages à Beni et Lubero, où les rébélles étrangers continue avec une serie des tuerries dans cette parti, del' Est, dela République Démocratique du Congo.

Beni Lubero, les 4 cordinationations dela société civile décrêtent trois jours de deuil en mémoire des victimes des massacres, viols, kidnapings, vols, sans oublier, les déplacements forcé des habitants victimes des plusieurs éxactions, et crime contre l' humanité, à dater du 18 mai, jusqu' en vendredi 21 mai 2016. D' après la société dela région, ces actes de térrorisme, sont attribué aux rébélles Ougandais des Adf-Nalu, et les Fdlr du Rwanda dans la région, où on enrégistre de plus en plus, les carnages des civils dépuis 2014 à nos jours! Toute activités commerciale, Trasport, et d' autres, sont résté paralysé dans les deux térritoire ! Les portes des Boutiques, Magasins, Kiosques, Bar -Réstaurants, Alimentations, Écoles, petit commerce, vont, réster férmé, jusqu' en vendredi prochain, le 21 mai 2016. Les centres commerciaux, sont vide les gens restent chez eux dans plusieurs coins. Dans cette zone, le bilan des morts tués par balle et arme blanche est lourd. Il ne se passe pas un jour sans que l’on signale un cas d’assassinat. Les rebelles hutus rwandais et les ougandais des Adf sont pointés du doigt. Les deux groupes terroristes sèment mort et désolation à Beni et Lubero. Quelle autorité n’a pas été défiée. Après les passages ou lors des séjours des membres du gouvernement central ou provincial, ces criminels tuent les paisibles citoyens, pillent et incendient des villages entiers. Une cruauté qui appelle une réponse ferme. ville morte à partir du 18 mai 2016, pour dénocer la multiplicité des carnages contre les civils victimes des plusieurs éxactions et crime contre l' humanité, dépuis plus de 6 ans, dans les 2 térritoires situé, dans la province du Nord-Kivu. Cinq civils ont été tués et des maisons incendiées samedi 14 mai en Ituri au cours d’une attaque des présumés rebelles ADF contre les localités Ndalia et Katabeyi, voisines de la province du Nord-Kivu.
Des témoins rapportent que l’attaque a été lancée dans l’après-midi. Les assaillants auraient d’abord tué deux personnes soignées au centre de santé de Katabeyi avant d’incendier cette structure sanitaire.
Les mêmes rebelles auraient ensuite tué un conducteur de taxi et une dame qu’il transportait.
La dernière victime de cette attaque est un enfant âgé d’environ deux ans.
Des sources locales indiquent que des militaires, informés de cette attaque, se sont mis à la poursuite des rebelles.
Selon le commandant adjoint du secteur opérationnel de l’armée en Ituri, deux assaillants ont été tués. Un autre a été capturé.
La même source indique que les assaillants ont brûlé des maisons d’habitation et un véhicule. Le calme est revenu dans les deux villages, assure le responsable militaire. Certains habitants ont cependant quitté leurs habitations et ont trouvé refuge à Komanda.
Cette attaque est la deuxième attribuée à des présumés ADF en Ituri en l’espace d’environ deux semaines. Les deux attaques ont fait au moins 16 morts. Les coordinations de la société civile de Beni, Butembo et Lubero au Nord-Kivu ont adressé une lettre ouverte au chef de l’Etat Joseph Kabila sur les massacres des civils dans cette province de l’Est de la RDC.
Selon le président de la société civile de Beni, Teddy Kataliko, plus de 1 000 personnes ont été tuées dans ces trois territoires depuis le mois d’octobre 2014.
« Après analyse, notre constat a été que le contexte est vraiment précaire : plus de 1116 personnes tuées en espace d’une année et demi, à partir du 2 octobre. Plus de 1470 personnes kidnappées, plus de 1000 maisons incendiées et beaucoup de déplacés de guerre de Miriki à Eringeti », détaille-t-il.
La société civile de Beni, Butembo et Lubero demande au président de la République « d’assumer son pouvoir régalien comme Commandant suprême des forces armées de la République ».
Elle plaide pour l’évaluation de l’opération Sokoka 1 ainsi que des opérations conjointes menées par l’armée congolaise et la Monusco.
« Est-ce qu’il y a moyen qu’on évalue les opérations militaires en cours, mais aussi la force d’intervention de la Monusco pour savoir où en est-on, qu’est ce qui a été fait et qu’est ce qui n’a pas été fait », s’interroge Teddy Kataliko.
La partie du Nord de la province du Nord-Kivu a connu plusieurs massacres des civils depuis plus d’une année. Des massacres attribués généralement aux rebelles ougandais des ADF.
Les massacres recensés ces derniers jours ont soulevé des mouvements de protestation sur le web.
Sur les réseaux sociaux, notamment Facebook et Twitter, les hashtag ‪#‎ JesuisBeni‬et ‪#‎ JusticeforBeni‬ont été créés pour dénoncer la mollesse des autorités congolaises face à ce que certains internautes qualifient de «massacre en silence de la population à Beni».
Les Forces armées de la RDC ont quant à elles lancé samedi 14 mai 2016 dans la matinée une nouvelle opération militaire dénommée « Usalama » contre les rebelles ougandais des ADF dans le territoire de Beni où, les détonations des armes lourde et légère, ont étaient enttendu au Nord-Est de Beni ville.

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