Une nouvel découverte de douze corps sans vie des civils, dans la journée, du vendredi 27 mai 2016 à LESE, une localité situé, à l' Est d' ERINGETI sur l' axe routier, allant vers KAINAMA. Selon une source locale dela place, ces gens ont étient tués, par les rébélles étragers, avec des armes blance! Les cadavres des victimes très critique, étaient visible, sur la Rivière Lese, situé à l' Ouest de KAINAMA, dan le Nord, du térritoire de Beni, où on assiste à une seri des massacres, vols, enlévement sans oublier, les déplacements forcé dela population victimes, des plusieurs éxactions et crime contre l' humanité. Environ 1017 personnes ont été tuées dans les territoires de Beni et Lubero (Nord-Kivu), depuis 2014 par des éléments des groupes armés, selon les 4 coordinations de la société civile de Beni, Butembo et Lubero. Devant des actes d’une telle cruauté et d’une terreur extrême, les populations civiles ont besoin de protection et d’assistance de la part des autorités locales et nationales.
Découverte macabre, de 12 corps des civils tué, par les rébélles aux armes blanche, précisement, vers la rivière LESE! Un site minier fréquentés par des creuseurs artisanaux, à une vingtaine de km d' Eringeti-Est dans le territoire de Beni au (Nord-Kivu).
Les rescapés en provenance de cette contrée affirment avoir découvert les corps des victimes, vendredi 27 mai 2016.
Ayant remarqué l’absence de certains de leurs collègues de travail sur les sites de recherche d’or, ils sont allés les chercher dans leurs cabanes et c’est à ce moment là qu’ils ont découvert des corps sans vie, tués pour la plupart à l’arme blanche.
Les autorités locales expliquent que dans ce milieu, il n’y a vraiment des villages organisés mais des personnes viennent, certaines pour chercher de l’or et d’autres pour cultiver le champ.
Les cultivateurs construisent des cabanes, chacun dans son vaste champ alors que les orpailleurs vivent chacun dans son coin. Ce qui laisse aux assaillants le temps d’opérer sans que les voisins ne s’en rendent compte! Des présumés rebelles ougandais des ADF ont tué une dizaine de personnes dans les localités. Les autorités locales indiquent qu’il faudra attendre le retour d’une mission des FARDC dans cette zone pour avoir toute la lumière sur ce énième massacre. ! D' après une source d' un chef d' avenue, de BAUNGATSO, au centre commercial d' ERINGETI, les victimes seraient enlévés, lors d' une nouvel incursion, des hommes armés dans cette partie du Nord-Kivu. Signalons ici bas que, dans l' avant, midi du Dimanche 01 mai 2016, les rébélles étrangers ont attaqué de nouveau les deux localités de KAMUNGU, et LESE où, beaucoup des civils ont étaient tué, d' autres porté disparue, des maisons d' habitantions des civils incendiés, avec des vols systèmntique des bétails dela basse cour, comme des chèvres, poules, canards, et autres biens, de valeur. Dans le passé, ce même groupe des rébélles ont faite, des incursions succèssive aux Villages de Nkpele, Vudaki, Misongo, et Kamvuyo dans le même Groupement Banande-Kainama, Secteur de Beni-Mbau. Le quotidien qui nous a informé sur cette situation, est, le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (Cepadho), qui a fait savoir que, les assaillants lourdement armés se sont introduits dans les villages peu avant 18h00, le soir du samedi 26 mars 2016 et ont opéré pratiquement pendant toute la nuit. Selon la société civile dela place, ces actes des crimes contre l' humanité, porte les signatures des rébélles étrangers, présent dépuis des années, dans l' extrême Nord-Est de Beni térritoire. Pour rappel dans la nuit du vendredi, 25 mars 2016, les rebelles des Adf-Nalu, ont attaqué de nouveau, des Villages, et quelques positions, militaire des Fardc, dans le Village de Pkele au Sud- Est de localité de Kainama, où des violents affrontements les ont opposés aux militaires Fardcs, entre 23 heures et 1 heure locale du matin, d' après une source locale dela place.
Deux rébélles et 4 civiles ont étaient tué, 2 rébélles nétralisé, et un capturé, avec plusieurs personnes enlevés. La cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. Ces rebelles sont de plus en plus actifs et continuent de défier les forces de l’ordre congolaises, les autorités y comprises. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Dépuis plusieurs jours des informations à notre possession indiquent que la Coalition terroriste s'est assigné comme objectif poursuivre ses attaques en vue d'occuper l'axe BENI-ERINGETI. Tout porte à croire que si rien n'est fait le plus tôt, MBAU (chef-lieu de la Collectivité Beni-Mbau), OICHA (chef-lieu du Territoire de Beni) ainsi qu'ERINGETI, sont les cibles immédiates de ces rebelles.
Ces entités seraient déjà encerclées par la coalition terroriste qui, faudra-t-il le rappeler, manifeste sa présence par des enlèvements récurrents des Civils dans le milieu. La Coordination de la Société Civile du Nord-Kivu a réalisé que cette coalition est en connexion avec, les térrorristes somaliens. Cela, pour défier à la fois les FARDC, la MONUSCO et sa Brigade d'intervention.
Etant donné que la vie des millions des populations est en danger, notre Structure en alerte le Gouvernement Congolais, la MONUSCO et les autres grandes puissances à agir immédiatement pour empêcher la catastrophe qui pointe à l'horizon.
Les rescapés en provenance de cette contrée affirment avoir découvert les corps des victimes, vendredi 27 mai 2016.
Ayant remarqué l’absence de certains de leurs collègues de travail sur les sites de recherche d’or, ils sont allés les chercher dans leurs cabanes et c’est à ce moment là qu’ils ont découvert des corps sans vie, tués pour la plupart à l’arme blanche.
Les autorités locales expliquent que dans ce milieu, il n’y a vraiment des villages organisés mais des personnes viennent, certaines pour chercher de l’or et d’autres pour cultiver le champ.
Les cultivateurs construisent des cabanes, chacun dans son vaste champ alors que les orpailleurs vivent chacun dans son coin. Ce qui laisse aux assaillants le temps d’opérer sans que les voisins ne s’en rendent compte! Des présumés rebelles ougandais des ADF ont tué une dizaine de personnes dans les localités. Les autorités locales indiquent qu’il faudra attendre le retour d’une mission des FARDC dans cette zone pour avoir toute la lumière sur ce énième massacre. ! D' après une source d' un chef d' avenue, de BAUNGATSO, au centre commercial d' ERINGETI, les victimes seraient enlévés, lors d' une nouvel incursion, des hommes armés dans cette partie du Nord-Kivu. Signalons ici bas que, dans l' avant, midi du Dimanche 01 mai 2016, les rébélles étrangers ont attaqué de nouveau les deux localités de KAMUNGU, et LESE où, beaucoup des civils ont étaient tué, d' autres porté disparue, des maisons d' habitantions des civils incendiés, avec des vols systèmntique des bétails dela basse cour, comme des chèvres, poules, canards, et autres biens, de valeur. Dans le passé, ce même groupe des rébélles ont faite, des incursions succèssive aux Villages de Nkpele, Vudaki, Misongo, et Kamvuyo dans le même Groupement Banande-Kainama, Secteur de Beni-Mbau. Le quotidien qui nous a informé sur cette situation, est, le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (Cepadho), qui a fait savoir que, les assaillants lourdement armés se sont introduits dans les villages peu avant 18h00, le soir du samedi 26 mars 2016 et ont opéré pratiquement pendant toute la nuit. Selon la société civile dela place, ces actes des crimes contre l' humanité, porte les signatures des rébélles étrangers, présent dépuis des années, dans l' extrême Nord-Est de Beni térritoire. Pour rappel dans la nuit du vendredi, 25 mars 2016, les rebelles des Adf-Nalu, ont attaqué de nouveau, des Villages, et quelques positions, militaire des Fardc, dans le Village de Pkele au Sud- Est de localité de Kainama, où des violents affrontements les ont opposés aux militaires Fardcs, entre 23 heures et 1 heure locale du matin, d' après une source locale dela place.
Deux rébélles et 4 civiles ont étaient tué, 2 rébélles nétralisé, et un capturé, avec plusieurs personnes enlevés. La cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. Ces rebelles sont de plus en plus actifs et continuent de défier les forces de l’ordre congolaises, les autorités y comprises. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Dépuis plusieurs jours des informations à notre possession indiquent que la Coalition terroriste s'est assigné comme objectif poursuivre ses attaques en vue d'occuper l'axe BENI-ERINGETI. Tout porte à croire que si rien n'est fait le plus tôt, MBAU (chef-lieu de la Collectivité Beni-Mbau), OICHA (chef-lieu du Territoire de Beni) ainsi qu'ERINGETI, sont les cibles immédiates de ces rebelles.
Ces entités seraient déjà encerclées par la coalition terroriste qui, faudra-t-il le rappeler, manifeste sa présence par des enlèvements récurrents des Civils dans le milieu. La Coordination de la Société Civile du Nord-Kivu a réalisé que cette coalition est en connexion avec, les térrorristes somaliens. Cela, pour défier à la fois les FARDC, la MONUSCO et sa Brigade d'intervention.
Etant donné que la vie des millions des populations est en danger, notre Structure en alerte le Gouvernement Congolais, la MONUSCO et les autres grandes puissances à agir immédiatement pour empêcher la catastrophe qui pointe à l'horizon.
Commentaires