Une nouvel incursion, des rébélles Ougandais, du groupe Adf, a été signalé, au sud du térritoire d' Irumu, précisement, à Katabei non loin d' Eringeti, dans l' après midi du samedi 14 mai 2016. Bilan provisoire fait état de trois civiles tué, un Centre de Santé, et quelques maisons des habitants, incendiés, des biens dela population aussi emportés. Face à cette situation de térrorisme dans le térritoire de Beni, et Irumu, les combats contre les rébélles Ougandais des Adf-Nalu, va se poursuivre, au sud dela province del' Ituri, et dans le parti Nord du térritoire de Beni. d' après une source du porte parole d' Opération Sukula1, présent dans la région des Beni, c'est la ‬Réponse aux massacres en cours qui se déroule dans la localité, d'Eringeti, Biané, Katabei, Ndalia, Lese et d' autres aglomérations. La force‪‬ armée congolaise Fardc et la Brigade d' intervation vont en guerre contre les groupes armés au Nord-Kivu, pour qu'il soit mis fin à cette barbarie dont les auteurs croient détenir le monopole des atrocités.

Les massacres, des civiles qui est devenues quasi-quotidiennes, indique un communiqué du CEPADHO parvenu à notre rédaction. Les habitants des villages, sauvagement attaqué par les Adf, sont en déplacement, vers d' autres localités dela région, le mieux sécurisé. Les informations font étant d’une panique généralisée qui a envahi cette localité, suite à une nouvelle attaque des ADF-Nalu. Les corps des victimes ont était visible sur le lieu du drame. C'est suite, après une attaque des rébélles des Adf-Nalu, minue des armes à feu, machettes, et des couteaux qui ont détruit le village.
Qui sont les auteurs des massacres de Beni ? En Rdc, un rapport d'experts indépendants jette le trouble sur l'identité des auteurs responsables des massacres dans le territoire de Beni. Entre octobre 2014 et décembre 2015, plus d'un demi-millier de civils ont été assassinés, essentiellement à l'arme blanche. Pour le gouvernement congolais, comme pour la Monusco, la Mission des Nations unies au Congo, les responsables sont les ADF, des rebelles ougandais, qui voudraient se venger de l'offensive menée contre eux par l'armée congolaise. Mais cette version est mise à mal par le groupe d'étude sur le Congo, un groupe de recherche basé à l'université de New York dans un rapport intitulé Qui sont les tueurs de Beni et rendu public le 21 mars. Ces chercheurs appellent les autorités congolaises comme onusiennes à mener une enquête approfondie pour établir les responsabilités. La principale conclusion de ce rapport, c'est qu'il est urgent de revoir la notion de ce qu'on appelle les ADF et déchirer l'écran de fumée.
Selon Jason Stearns, ancien expert de l'ONU qui dirige actuellement le Groupe d'étude sur le Congo, la réponse est oui. Explications.
Depuis octobre 2014, environ 500 personnes ont été massacrées dans le territoire de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo. Pour l’armée congolaise (FARDC) et la Mission de l’ONU (Monusco), les auteurs de ces crimes appartiennent à la rébellion musulmane ougandaise des Forces démocratiques alliées (ADF), qu’elles traquent depuis janvier 2014.
Un rapport de l’ONU publié en mai 2015évoque l’implication de militaires dans certains meurtres – une conclusion à laquelle parvient aussi le Groupe d’étude sur le Congo dans son enquête « Qui sont les tueurs de Beni ? ». Précisions de son directeur Jason Stearns, un ancien chef du groupe d’experts de l’ONU sur la RDC basé à New York. Qui tuent et surtout pourquoi, sont les questions cruciales auxquelles personne ne semble aujourd'hui encore capable de répondre. La traque de l’armée congolaise contre les ADF, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu), va porter des fruits. C’est ce qu’a laissé entendre le Général Mushale, commandant de la troisième zone de défense des FARDC.
« J’estime à mon sens que la traque contre les groupes armés avance très bien. Pour les ADF-Nalu, dans le territoire de Beni, vous allez voir qu’il y a quand même un changement, a ainsi expliqué le Général dans des propos rapportés par Radio Okapi. C’est le travail qui est en train d’être fait qui a permis que la situation s’améliore. C’est déjà un acquis. Mais, il ne faut pas croiser les bras et dire que c’est fini. Il y a un chemin à parcourir: il faut arriver à l’éradication du phénomène. »
Depuis deux ans, plus de 500 personnes ont été assassinées dans le territoire de Beni par des ADF devenus insaisissables par les FARDC, à l’image des nombreux groupes armés sévissant dans le Kivu.
Il y a près d’un mois, la MONUSCO et l’armée congolaise ont matérialisé la reprise de leurs coopération en engageant des hélicoptères d’attaque de l’ONU dans une vaste offensive contre les rebelles ougandais. Si les pertes, côté ADF, ont toujours été difficiles à chiffrer, il semblerait bel et bien que les FARDC soient, pour le moment, en train de prendre le dessus sur le groupe terroriste. Une fois encore, le massacre du 17 personnes à Eringeti. Ce week-end, suivant, ce sont 9 personnes qui ont été tuées en Ituri, ainsi qu’un humanitaire dans le Nord-Kivu, alors que des députés ont boycotté une séance à l’Assemblée pour protester contre l’insécurité dans la région.
Vendredi 6 mai 2016, c’est à Biané et Ndalya que les groupes armés, probablement les ADF, se sont signalés en massacrant à la machette 9 civils avant d’être mis en déroute par l’armée congolaise. Ces attaques ont généré une vague de départ des habitants des villages ciblés, environ 400 déplacés auraient ainsi été répertoriés dans la ville de Komanda, vers laquelle affluent les villageois. Ainsi, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien a contredit les informations qui circulaient dans l'opinion faisant étant de la non prise en consideration, par les FARDC, des renseignements fournis par les populations civiles. Julien Paluku a finit par appeler sa population à ne plus collaborer avec les assaillants et à donner les vraies informations aux FARDC pour ne pas les dérouter comme précédemment. Le ministre lui a promis sa grande implication.

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