Beni térritoire la Monusco fait normalement son rôle envers, à faveur des habitants de cette partie dela province du Nord-Kivu ?

La Mission des Nations unies en RDC
(Monusco) a installé des paratonnerres
dans une cinquantaine d’écoles de la
commune rurale d’Oicha, chef-lieu du
territoire de Beni au Nord-Kivu. Selon la Mission onusienne, le but de
ce projet à impact rapide est de
protéger des élèves et enseignants
contre les foudres. Pour l’Ir Grace Mugisha de l’entreprise
COMOA exécutant de ce projet, ce don
a couté environ 31 000 USD. « Ce projet a consisté à la mise en
place des paratonnerres dans 50
écoles. Chaque école a bénéficié
d’environ 500 $ pour la protection des
civils. Au-delà de protéger les élèves et
les enseignants », a-t-il expliqué. Dans son message, l’administrateur du
territoire de Beni, Amisi Kalonda, a
également souhaité que la Monusco
offre des panneaux solaires aux radios
locales confrontées aux problèmes
d’Energie électrique dans la zone. « Il est pour moi un devoir de remercier
très sincèrement la Monusco pour ce
grand projet. Nous allons encore
tendre la main à la Monusco pour
sauver les radios locales du territoire
de Beni en plaçant des panneaux solaires pour l’énergie », a plaidé Amisi
Kalonda. Les localités de Mavivi, Mbau, Eringeti
et la communauté rurale d’Oicha
disposent de 6 radios locales
confrontées aux problèmes
d’électricité.
Chose drôle del'autre conté de Buleusa où la société civile dela place a accusé, les éléments de la monusco de tirés sur une foule des jeunes manifestants au motif qu'ils sont des Maï-Maï. Voici ci-dessous les noms des victimes:
1.LES MORTS: MUHINDO- MUSAFIRI, MUHINDO- USHINDI,MUMBERE-MUKWANYAMA .
2.BLESSES: KAKULE TEREMUSA, MAOMBI BWIRA, MOISE MUSAFIRI, JANOT MUBAWA, MUHINDO MAMBOLEO, GERLACE KIBIKIBI, CLAUDE KACHELEWA , KABIEN PANDAHULI. LAZARO, CHANGA MBALE TEREMUSA, SYLVIN KAWA. MUMBERE WASISI , BUSHU-ALIMETE,PATIENCE-LOMINGO.
3.CAPTURES: MUMBERE-MANASE,GEDEO-TEREMUSA,DEDIEU-MUHINDO NKUBA, INNOCENT-KAMBERE,MUMBERE-MUNUBO SAINT LEON ,JARIBU-ALIMETTE. La CRDH denonce et condamne cette confusion montée à toute pièce dans le but de couvrire une faute infractionnelle. L'usage excessive de la force pour arrêter une manifestation illégale est condamnable.

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