Eringeti-Luna : quelques membres d'ONG CRDH convention pour le réspect des droits del'homme basé, dans la province du Nord-Kivu, montent au créneau, pour dénocer, encore une fois, le nouveau passage d'un convoi, de groupe des gens suspect, identifié aux peuples Rwandophones venue, au Sud du térritoire Lubero à été signalé, encore une fois, dans ces deux localités, dans l'avant midi du dimanche, le 19 juin2016. Selon Paluku Jean Paul Ngahangondi le président de cette ONG, basé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, qui nous informe dela situation que, ce groupe des humains étaient en voyage vers la province del'Ituri au sud du térritoire d'Irumu, précisement, à Boga, Tchabi, Mitego, et Zunguluka.

Les mouvements des rwandophones sont de plus en plus en migration vers l' Ituri, pour les travaux del' agriculture selon les tégnoigages recolté au près de ces gens qui choisissent la période des maassacres des civiles en cours dépuis 2014 à ces jours dans les térritoires de Beni, et Lubero où on tue les gens. En dehors de cet aspect géographique, deux autres paramètres alimentent les conflits interethniques à savoir les aspects démographique et politico-économique. En Ituri et à Béni : environ soixante mille (60.000) Hutu ont été infiltrés dans les contrées de Boga et Tchabi, au sud du territoire d’Irumu, depuis 2012 jusqu’à ce jour. Ce sont des Hutu rwandais que le régime de Kabila a amenés sur le sol congolais en utilisant le gouverneur Julien Paluku – pour couvrir leurs immigration clandestine et leurs transport vers Béni et Ituri –, et l’ex-gouverneur AUTSAI ASENGA de la province Orientale pour leurs installation. Nos gouvernants, sans froid aux yeux, ont toujours menti aux autochtones que ces immigrés sont des congolais de Masisi et Rutshuru en quête de terres arables.
Les autorités n’ont jamais permis qu’ils soient identifiés par des services spécialisés. Par, conséquent, il est désolant de constater que ces « intrus » se comportent la journée en civils doux et humbles, mais, qui deviennent, la nuit, des militaires bien équipés en tenues et en armes pour patrouiller dans le rayon qu’ils occupent. En effet, des avions ont fait de rotations à l’aérodrome de Zunguluka pour leurs apporter de quoi s’équiper militairement jusqu’en avril 2016. Beaucoup d’indices démontrent que les pistes que suivent les tueurs de Béni se relient quelquefois aux sites occupés par ces immigrés. les hutus ressortissants de Masisi désavoués par les habitants de Boga en Ituri
Déplacement des populations en provenance de Masisi vers la nouvelle province de l’Ituri en RDC, le mouvement contraire s’observe quelques jours après la mesure du gouverneur de province qui interdisant le mouvement de ce peuple de Masisi vers Beni voire vers l’Ituri. Ces personnes appartenant à la communauté Hutu sont entrain d’être chassé de l’Ituri par les autochtones. Ces derniers signalent que depuis laprésence de ces sujets hutus dans la région, l’insécurité a élu domicile dans les villages de Boga et environs. Désavoués par la population locale, certains de ces ressortissants de Masisi ont commencé à retourner dans leur milieu d’origine. Le cas concret est qu’un mini bus plein de ces sujets de Masisi, a été arrêté vendredi 10 juin dernier en ville de Butembo. Interrogés par la presse locale, ils ont signalé rentrer à Masisi. Il y a peu, des sources crédibles et proches de l’armée ont indiqué que plus de 15 mille ressortissants de Masisi vivent actuellement en Ituri, province voisine au Nord-Kivu. La population de Beni soupçonnait ces passagers dans la complicité au massacre des civiles dans les groupements batangi mbau, bambuba kisiki et banande kainama en territoire de Beni.
Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, suspend tout « mouvement suspect » des populations inconnues sur toute l’étendue de la province et dans le territoire de Beni, en particulier.
Dans une note circulaire signée samedi 28 mai à Goma, il motive cette mesure par l’insécurité qui a occasionné des massacres des populations civiles dans la région.
Julien Paluku demande dans cette circulaire aux maires des villes, aux administrateurs des territoires, aux bourgmestres des communes et aux chefs des chefferies et secteurs de suspendre les mouvements suspects des populations inconnues dans leurs entités respectives.
Cette décision satisfait Juma Balikwisha, député national élu de Beni.
« C’est une piste dans la résolution des problèmes d’insécurité. J’aurais aimé qu’on renforce la mesure », affirme-t-il, plaidant pour un arrêt définitif des mouvements suspects des populations.
Le début des massacres dans le territoire de Beni en octobre 2014 a coïncidé avec l’intensification des mouvements des populations en provenance de certains territoires du Nord-Kivu vers Boga, en Ituri.
Ces familles justifient leurs déplacement par la recherche des bonnes terres agricoles. – L’interception à OICHA, le 07 mai 2016, de deux rwandais convoyant des armes et uniformes militaires en destination d’Eringeti pour équiper les tueurs et prochains envahisseurs de Béni et Bunia ; La CRDH constate avec regret qu'apres interdiction par gouverneur de mouvement des hutu de Masisi vers chabi en province de l'Ituri, ce 19 juin 2016 il y a eu passage de 11 prsonnes à Erngti dans un fuso immatriculé 1539/AE 19 faciliter par commadant de 312 ème bataillon. Ces gens étaient au nombre de 11 dont 4Hommes, 4 fammes, 3 enfants: s'agir de: Tsabanita Wimana, Ndagijimana ntahorutaba, Kwisanga ngunga, Amani tumaini, Rekayabo bagenzi, Nyivizi nyiotsava, Rehema tsatsimana, Harerimana nte zirizaza (plus 3enfants) Chauffeur Osiase. Nous denonce avec dernière energie cette violation de la decision de l'autorité Provinciale.

Commentaires