Désormais des nouveaux infiltrations des génocideurs Rwandais, signalé encore une fois, à térritoire de Beni à partir du vendredi, 03 juin 2016 ! D' après le président nationale d'une ONG CRDH, Convention pour le réspection des droits del' homme basé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, qui nous informe dela présence des hommes armé, dans cette partie du Nord-Kivu. Celui ci a fait savoir que, ce mouvement, migratoire se feraient de manière officielle par le poste de Kasindi. Les rwandais présumés entrent au Congo via l'Ouganda en tenue des gardes parc.

« L’armée congolaise va restaurer l’autorité de l’Etat »
Malgré cet état de choses, M. Clovis a rassuré que « l’armée congolaise va, à tout prix, restaurer l’autorité de l’Etat sur l’ensemble de ce territoire ».
« Tous les groupes armés actifs encore en territoire de Lubero seront neutralisés avant les prochaines élections pour permettre aux habitants de Lubero de bien participer au rendez-vous des urnes», a-t-il déclaré à la presse de Butembo.
Il a ajouté que les responsables militaires de la région se sont rendus à Lubero à la suite de plusieurs cris d’alarme lancés par les forces vives de ce territoire.
A ce jour, plus de 5 différents groupes armés opèrent en territoire de Lubero. Il y a les rebelles FDLR et les miliciens de l’UCPC de La Fontaine (au sud), les éléments du prénommé Manu, les éléments Simba du Feu Morgan, les miliciens de Luc YAKUTUMBA et les FDLR, à l’ouest.
Bientôt une autre étape dans les opérations Sokola II
Le commandant des opérations militaires Sokola I est arrivé à Butembo mercredi 25 mars 2015. Le général Charles Muhindo Akilimali, alias Akili Mundos revient du territoire de Lubero où il était en mission.
Selon son porte-parole, cet officier militaire est en tournée d’inspection de toutes les unités des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) basées en territoire de Lubero.
Le Major Victor Masanti a indiqué que cette tournée rentre dans le cadre de l’évaluation de l’état des unités engagées dans la traque des rebelles FDLR et du degré de collaboration entre les FARDC et la population.
A la question de savoir pourquoi les opérations militaires contre les FDLR ne sont pas intensifiées au sud du territoire de Lubero, il a répondu que « les opérations se déroulent par étape ».
Il a affirmé que « plusieurs étapes sont déjà franchies dans le chapitre de planification ».
« Il ne reste que l’étape de chasser ces rebelles par les armes. Les habitants doivent prendre leur mal en patience. L’armée va bientôt mettre fin à la présence des FDLR une fois pour toutes », a rassuré le Major Victor Masanti.
Avant de rentrer à Beni, le commandant des opérations Sokola I a échangé avec les autorités urbaines sur la sécurité de la ville. A ce sujet, le porte-parole des opérations Sokola I a indiqué que « cette rencontre a permis de peaufiner des stratégies pour la sécurisation de la ville de Beni ». Des groupes armés locaux et étrangers fuient les attaques lancées contre eux par l’armée dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu).
L’administrateur de ce territoire, Bokele Joy, a affirmé mardi 19 janvier que des miliciens et des rebelles ont quitté les régions de Miriki et Mbwavinywa où les militaires mènent cette traque et se dirigent vers les localités de Kamandi et Bunyatenge.
La population locale souhaite que les opérations de l’armée s’étendent dans tout le territoire de Lubero pour neutraliser ces hommes armés.
«Les FARDC sont en train de traquer les groupes armés dans la partie de Miriki, Buleusa. Actuellement, ils seraient en débandade. L’objectif des FARDC est de se retrouver partout pour que la population se rassure», a fait savoir l’administrateur du territoire.
Il a indiqué que ces opérations militaires visent notamment les rebelles FDLRet les miliciens Maï-Maï encore actifs dans la région.
Il y a une semaine, la société civile avait organisé «une journée de deuil et de prière» pour dénoncer le regain de l’insécurité dans cette région où 18 personnes ont été tuées la nuit du 6 au 7 janvier à Miriki. Ils entrent et font escale à Ishango, avant de se disperser dans le Graben et rejoindre Bisamaza qui serait désormais localisé à Mashuta dans le Sud Lubero avec 120 otages. Selon nos sources à Kasindi, la semaine du 23 au 29 mai, une famille rwandaise de 4personnes ont été arretée à la DGM. Les fugitifs ont avoué k'ils se rendaient dans les champs à Eringeti et k'on leur a dit que la route Goma Butembo est déjà minée. Il faut désormais contourner par l'Ouganda. Ces clendestins auraient avoués qu'ils ne connaissent mem pas leur destination mais k'ils ont des contacts à Beni pour les guider. Analyse: la nouvelle position de Bisamaza dans le Sud Lubero aux cotés des fdlr n'est-elle pas une stratégie pour sécuriser ses frères sur le tronçon Goma-Butembo! Le CEPADHO considère que, à défaut du rapatriement, la délocalisation des dépendants FDLR du sud-Lubero est un besoin urgent. Il limiterait les incidents qui opposent presque régulièrement les membres de la communauté Nande à ceux de la Communauté Hutu dans cette zone. [5]
Le 1erfévrier, àMirikil’on observe un déplacement massif des membres de la communauté Nande. Nombreux nande ont fui vers Luofu, Kirumba, Kayna et Kanyabayonga.
Ceux qui ont quitté la localité de Miriki disent craindre pour leur sécurité. La goûte qui aurait fait débordé le vase c’est la sortie de plusieurs dépendants-FDLR (venus d’Ikobo) et de certains autres déplacés Hutu de leur site d’hébergement (de Miriki) vers Yalika, à 2 km à ouest de Miriki N Kivu.

Commentaires