Encore une fois, la présence des hommes minue des haches, machettes et marteaux est signalé dans la Chefferie des Bashu, dans le térritoire de Beni, où on assiste à une serie des carnages répétitive, dans cette partie, dela province du Nord-Kivu en assiègeant le quartier Bunyuka, dela place

Les faits se sont produits la nuit de vendredi 03 à samedi 04 juin 2016 au quartier Bunyuka en chefferie des BASHU. Juste au début de leur opération nocturne, ils ont grièvement blessé MBUSA KANDELI Gerlane, 20 ans et élève en 3ièmeannée des Humanités vétérinaires à l’Institut VUSAGHALA.
La victime a eu la vie sauve grâce à l’intervention de la PNC de KAVINGU. Cette dernière a tiré en l’air pour disperser les bandits. A présent, la victime poursuit des soins au centre de santé VUHIMBA. À Beni ville et térritoire, pratiquement chaque jour qui passe compte son lot de morts. Une série macabre déclenchée début octobre 2014 dans ce territoire du Nord-Kivu, dans l’est de la RD Congo. Là-bas, des groupes armés étrangers et des milices locales règnent en maître sur plusieurs localités. Et ce, malgré la présence de l’armée congolaise appuyée par la brigade internationale d’intervention de la Monusco, pourtant la plus importante mission de maintien de la paix des Nations unies dans le monde. Nord-Kivu: Sous prétexte de venger les victimes des carnages, des groumes armés se réactivent à Beni-Lubero. Un recrutement des jeunes pour plusieurs groupes armés est signalé dans différents coins des territoires de Beni et de Lubero. Ces groupes disent venir libérer la population que le gouvernement congolais ne sait pas protéger.
Depuis le début d’octobre 2014, à Vurondo, à environs 40 Km au Nord-Ouest de la ville de Butembo (au nord de Goma) en province du Nord-Kivu, en territoire de Beni, des jeunes garçons s’activent dès le matin à construire des nouvelles petites maisons en bâche. On croirait à un camp des déplacés. Mais détrompez-vous. «Personne ne sait celui qui fait construire ce camp car on nous refuse d’y entrer. Mais plusieurs personnes ici dans le village disent qu’il y a un groupe des Mayi-Mayi (des miliciens locaux) qui va encore occuper ce camp», nous confie un chef local.
Selon une autre source qui a voulu rester anonyme, en moyenne 10 nouvelles recrues sont enregistrées Chaque jour. «Actuellement au moins 300 jeunes se sont déjà faits enregistrer dans ce groupe», nous a expliqué un des agents recruteurs sans vouloir donner plus de détails sur le nom, l’organisation et même le chef de la milice. Les raisons exactes pour lesquelles ces jeunes veulent prendre les armes demeurent encore une confidence. Visiblement, ce groupe sera dirigé par un ancien compagnon de Kambilibaya, avec qui ils avaient géré ce maquis de Vurondo lors de la conférence sur la paix et la sécurité dans le Nord et Sud Kivu en 2009.
Venger les siens
Certains jeunes que nous avons pu contacter en toute discrétion disent emboiter les pas à cette initiative pour faire face à une éventuelle attaque de l’ennemi en territoire de Beni et Lubero. «Certains familiers des victimes de carnage de Oicha, Eringeti et Ngadi ont envoyé leurs proches, eux-mêmes, dans ce groupe armé, pour venger les leurs». Les jeunes qui se font enrôler dans ce groupe viennent des localités des territoires de Beni et Lubero mais aussi de ville de Beni et Butembo.
A côté de cette milice, une autre coalition d’une dizaine des groupes armés dénommée MUREC (Mouvement unis des Résistants Congolais) procède au recrutement. Ce mouvement rassemble d’autres groupes tels que l’UCC (Union des congolais pour le changement), l’ACEC (Alliance Congolaise pour l’Eveil de la conscience, composée des anciens membres du M23 et qui se fait passer pour une ONG philanthropique), des anciens cadres de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la Libération du Congo/Zaïre). Désormais des nouveaux infiltrations des génocideurs Rwandais, signalé encore une fois, à térritoire de Beni à partir du vendredi, 03 juin 2016 ! D' après le président nationale d'une ONG CRDH, Convention pour le réspection des droits del' homme basé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, qui nous informe dela présence des hommes armé, dans cette partie du Nord-Kivu. Celui ci a fait savoir que, ce mouvement, migratoire se feraient de manière officielle par le poste de Kasindi. Les rwandais présumés entrent au Congo via l'Ouganda en tenue des gardes parc.
« L’armée congolaise va restaurer l’autorité de l’Etat »
Malgré cet état de choses, M. Clovis a rassuré que « l’armée congolaise va, à tout prix, restaurer l’autorité de l’Etat sur l’ensemble de ce territoire ».
« Tous les groupes armés actifs encore en territoire de Lubero seront neutralisés avant les prochaines élections pour permettre aux habitants de Lubero de bien participer au rendez-vous des urnes», a-t-il déclaré à la presse de Butembo.
Il a ajouté que les responsables militaires de la région se sont rendus à Lubero à la suite de plusieurs cris d’alarme lancés par les forces vives de ce territoire.
A ce jour, plus de 5 différents groupes armés opèrent en territoire de Lubero. Il y a les rebelles FDLR et les miliciens de l’UCPC de La Fontaine (au sud), les éléments du prénommé Manu, les éléments Simba du Feu Morgan, les miliciens de Luc YAKUTUMBA et les FDLR à Beni.

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