Le 4 juin, 2016 le président de la République Démocratique du Congo Joséph Kabila Kabange, fête le quarante-cinquième anniversaire de sa naissance. Difficile que cette date ne passe inaperçue aux yeux des Congolais, témoins quotidiens de près de seize ans de sacrifice d’un jeune à la tête d’une nation.
4 juin 1971-4 juin 2016. Jour pour jour, 45 ans déjà depuis la naissance de Joseph Kabila Kabange, avec sa sœur jumelle Jaynet Kabila Kyungu.
Le 26 janvier 2001, quand il accède au pouvoir après l’assassinat de son père Laurent-Désiré Kabila, ce jeune d’origine katangaise n’avait que 29 ans. A cette époque, beaucoup pouvaient douter de sa capacité à gérer une si vaste étendue de terre au cœur de l’Afrique, quatre-vingt fois la Belgique. Surtout dans un contexte sécuritaire et économique catastrophique. Le pays était en pleine guerre civile, morcelé par des rébellions. Son économie, autarcique, était dans un coma profond.
Près de seize ans après, voilà que ce jeune a dépassé tout entendement en portant sur ses épaules que des sceptiques croyaient frêles, toute une nation convoitée. Joseph Kabila a réunifié le pays, redressé son économie, consacré l’effectivité de la démocratie par la tenue, déjà, de deux cycles électoraux pluriels, amorcé son développement en l’ouvrant les portes de l’émergence.
Aujourd’hui, la République démocratique du Congo s’est levée et marche grâce à un homme qui a sacrifié sa jeunesse. Plus jeune président africain, il n’a aujourd’hui que 45 ans et continue à façonner un pays-continent. De quoi succomber sous l’admiration d’un commandant de bord inspiré et imperturbable.
Difficile donc que son jour de naissance passe inaperçu aux yeux des Congolais, témoins quotidiens de ses prouesses. Des messages de vœux inondent depuis quelques jours les médias audiovisuels, écrits ainsi que les réseaux sociaux.
Une conférence-débat sera organisée par l’association « Kabila Désir » ce samedi à l’Espace Congo Loisir avec un thème évocateur : « Joseph Kabila, un 45 ans : atout pour le Congo ». Une tribune sera ouverte aux différentes personnalités de parler de celui qui, sans conteste, est entré la grande porte au panthéon de l’histoire de la RDC. C’est ainsi que des Kinois, toujours aussi inspirés dans leurs jeux de mots, disent succinctement « Kabila Wumela ». Une façon comme une autre de souhaiter une longue vie au Raïs.
Le 26 janvier 2001, quand il accède au pouvoir après l’assassinat de son père Laurent-Désiré Kabila, ce jeune d’origine katangaise n’avait que 29 ans. A cette époque, beaucoup pouvaient douter de sa capacité à gérer une si vaste étendue de terre au cœur de l’Afrique, quatre-vingt fois la Belgique. Surtout dans un contexte sécuritaire et économique catastrophique. Le pays était en pleine guerre civile, morcelé par des rébellions. Son économie, autarcique, était dans un coma profond.
Près de seize ans après, voilà que ce jeune a dépassé tout entendement en portant sur ses épaules que des sceptiques croyaient frêles, toute une nation convoitée. Joseph Kabila a réunifié le pays, redressé son économie, consacré l’effectivité de la démocratie par la tenue, déjà, de deux cycles électoraux pluriels, amorcé son développement en l’ouvrant les portes de l’émergence.
Aujourd’hui, la République démocratique du Congo s’est levée et marche grâce à un homme qui a sacrifié sa jeunesse. Plus jeune président africain, il n’a aujourd’hui que 45 ans et continue à façonner un pays-continent. De quoi succomber sous l’admiration d’un commandant de bord inspiré et imperturbable.
Difficile donc que son jour de naissance passe inaperçu aux yeux des Congolais, témoins quotidiens de ses prouesses. Des messages de vœux inondent depuis quelques jours les médias audiovisuels, écrits ainsi que les réseaux sociaux.
Une conférence-débat sera organisée par l’association « Kabila Désir » ce samedi à l’Espace Congo Loisir avec un thème évocateur : « Joseph Kabila, un 45 ans : atout pour le Congo ». Une tribune sera ouverte aux différentes personnalités de parler de celui qui, sans conteste, est entré la grande porte au panthéon de l’histoire de la RDC. C’est ainsi que des Kinois, toujours aussi inspirés dans leurs jeux de mots, disent succinctement « Kabila Wumela ». Une façon comme une autre de souhaiter une longue vie au Raïs.
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