L’échec des opposants pousse les Occidentaux à aller d’une structure fantoche à une autre L’Occident adapte ses méthodes de prédation de la RDC aux réalités de l’évolution de la situation politique en RDC pour atteindre ses objectifs. Une situation qui met à nu le grand nombre des pelles ramassées par l’opposition et les ONGDH instrumentalisées. En forgeant structure fantoche conjoncturelle après une autre, l’Occident essaye aussi d’élargir le champ des personnalités et des plateformes manipulées.
Au conclave, il a aussi été décidé du rejet du dialogue selon l’entendement de Joseph Kabila en faveur de celui que veut l’Occident et que soutiennent les « conclavistes » instrumentalisés.
Avant la structure fantoche et conjoncturelle du « Rassemblement pour le respect des valeurs républicaines », le « Front citoyen » 2016 avait été créé le 19 décembre 2015, soit cinq jours après la fin de la messe noire de l’île de Gorée tenue avec le financement de GeorgeSoros. Si l’on sait avec certitude que c’est GeorgeSoros qui a financé la rencontre sur l’île de Gorée sous la couverture de la FondationKonrad Adenauer, un semblant de mystère plane sur la source du financement du conclave du 8 au 9 juin courant. Mais connaissant Katumbi dont les très proches conseillers étaient présents au conclave et les méthodes occidentales, il est fort à parier que la source du financement de ce conclave est un secret de polichinelle.
Le Front citoyen a réalisé sa sortie officielle le samedi 9 janvier 2016 dans la salle de conférence de la paroisse Notre Dame de Fatima. L’occasion pour l’organisation fantoche et conjoncturelle de dévoiler sa charte dans laquelle une bonne place a été réservée aux actions dans la mesure où la messe noire sur l’île de Gorée avait pour objectifs de« réfléchir sur les moyens pour un soulèvement populaire en RDC, de constituer un front anti-dialogue et d’obtenir des moyens financiers aux fins d’actions de déstabilisation », l’agenda caché des Américains sur la RDC.
Il s’est trouvé que le Front citoyen 2016 n’a pas été à la hauteur des attentes occidentales, étant donné les résultats autrement plus mitigés des manifestations prévues à l’occasion de la commémoration des manifestations du 19 au 21 janvier 2015, de la récupération de la date des martyrs de la pentecôte qui se célèbre chaque 16 février depuis 1992 ainsi que du fiasco de la marche du 26 mai dernier.
C’est cette suite d’échecs qui a conduit les stratèges occidentaux à se servir d’Etienne Tshisekedi pour fédérer les énergies des Congolais instrumentalisés. Initiative qui a abouti à la création du « rassemblement pour les valeurs républicaines ». Une dénomination trompe-l’œil en ce que le rassemblement ne vise que les intérêts des occidentaux et de la petite poignée des Congolais traitres qu’ils contrôlent.
Avant le Front citoyen 2016, ont été créés de faux mouvements citoyens dont les principaux sont Lutte pour le Changement (LUCHA) et Filimbi (sifflet en swahili), une des quatre langues nationales de la RDC.
Nous retenons de leur naissance que « …le « Balais citoyen » et ses clones partout en Afrique sont des mercenaires au service des Américains et de la recolonisation de l'Afrique !», selon Luc Michel, un géopoliticien belge. A l’en croire, «au même moment que le sommet officiel « USA - AFRICAN LEADERS » (où se met en place une vague de changements de régimes en Afrique décidée par Obama, les 4-6 août 2014), se tenait aussi à Washington un « sommet alternatif » organisé par un organisme d'Etat US (créé par Ronald Reagan dans les années 1980), financé sur le budget américain, la NED, que certains analystes qualifient de « vitrine légale de la CIA ». Un cadre permanent de concertation des forces politiques et sociales dénommé «Rassemblement pour le respect des valeurs républicaines » a été mis en place à l’issue des travaux du conclave de l’opposition congolaise tenu du mercredi 8 au jeudi 9 juin courant à Genval près de la capitale belge, Bruxelles. Cette structure est placée sous le leadership du Président de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, initiateur affiché de ce forum.
La présence des délégués de l’UE, de l’OIF, des USA et de l’ONU à ce conclave de l’opposition en dit long sur l’intérêt qu’y a porté l’Occident. Autre preuve de la main occulte occidentale à cette rencontre des Congolais dictés, c’est le texte dit « Actes d’engagement » lu à l’issue de ce conclave qui ne reprend que les points de vue de tous les temps dictés et médiatisés par l’Occident. En effet, il y a été décidé de l’exclusionde l’idée d’une transition après le 19 décembre 2016 ; de l’exclusion de toute idée d’un referendum en vue du changement de la Constitution ; de l’appel à la « mise en œuvre intégrale de la résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies » en vue de la tenue du dialogue sous les auspices d’un facilitateur soutenu par un panel international et, enfin, de l’exigence de la tenue, avant le 19 décembre 2016 des élections pour respecter les délais constitutionnels. Des décisions qui méconnaissent la bonne intelligence de l’alinéa 2 de l’article 70, les réelles difficultés auxquelles fait face la centrale électorale congolaise pour respecter les délais constitutionnels cette année pour les législatives et la présidentielle, qui minimisent les autres élections qui n’intéressent pas les prédateurs occidentaux, qui appellent à un droit de regard de l’Occident sur ce qui doit être décidé sur la RDC, etc...
Avant la structure fantoche et conjoncturelle du « Rassemblement pour le respect des valeurs républicaines », le « Front citoyen » 2016 avait été créé le 19 décembre 2015, soit cinq jours après la fin de la messe noire de l’île de Gorée tenue avec le financement de GeorgeSoros. Si l’on sait avec certitude que c’est GeorgeSoros qui a financé la rencontre sur l’île de Gorée sous la couverture de la FondationKonrad Adenauer, un semblant de mystère plane sur la source du financement du conclave du 8 au 9 juin courant. Mais connaissant Katumbi dont les très proches conseillers étaient présents au conclave et les méthodes occidentales, il est fort à parier que la source du financement de ce conclave est un secret de polichinelle.
Le Front citoyen a réalisé sa sortie officielle le samedi 9 janvier 2016 dans la salle de conférence de la paroisse Notre Dame de Fatima. L’occasion pour l’organisation fantoche et conjoncturelle de dévoiler sa charte dans laquelle une bonne place a été réservée aux actions dans la mesure où la messe noire sur l’île de Gorée avait pour objectifs de« réfléchir sur les moyens pour un soulèvement populaire en RDC, de constituer un front anti-dialogue et d’obtenir des moyens financiers aux fins d’actions de déstabilisation », l’agenda caché des Américains sur la RDC.
Il s’est trouvé que le Front citoyen 2016 n’a pas été à la hauteur des attentes occidentales, étant donné les résultats autrement plus mitigés des manifestations prévues à l’occasion de la commémoration des manifestations du 19 au 21 janvier 2015, de la récupération de la date des martyrs de la pentecôte qui se célèbre chaque 16 février depuis 1992 ainsi que du fiasco de la marche du 26 mai dernier.
C’est cette suite d’échecs qui a conduit les stratèges occidentaux à se servir d’Etienne Tshisekedi pour fédérer les énergies des Congolais instrumentalisés. Initiative qui a abouti à la création du « rassemblement pour les valeurs républicaines ». Une dénomination trompe-l’œil en ce que le rassemblement ne vise que les intérêts des occidentaux et de la petite poignée des Congolais traitres qu’ils contrôlent.
Avant le Front citoyen 2016, ont été créés de faux mouvements citoyens dont les principaux sont Lutte pour le Changement (LUCHA) et Filimbi (sifflet en swahili), une des quatre langues nationales de la RDC.
Nous retenons de leur naissance que « …le « Balais citoyen » et ses clones partout en Afrique sont des mercenaires au service des Américains et de la recolonisation de l'Afrique !», selon Luc Michel, un géopoliticien belge. A l’en croire, «au même moment que le sommet officiel « USA - AFRICAN LEADERS » (où se met en place une vague de changements de régimes en Afrique décidée par Obama, les 4-6 août 2014), se tenait aussi à Washington un « sommet alternatif » organisé par un organisme d'Etat US (créé par Ronald Reagan dans les années 1980), financé sur le budget américain, la NED, que certains analystes qualifient de « vitrine légale de la CIA ». Un cadre permanent de concertation des forces politiques et sociales dénommé «Rassemblement pour le respect des valeurs républicaines » a été mis en place à l’issue des travaux du conclave de l’opposition congolaise tenu du mercredi 8 au jeudi 9 juin courant à Genval près de la capitale belge, Bruxelles. Cette structure est placée sous le leadership du Président de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, initiateur affiché de ce forum.
La présence des délégués de l’UE, de l’OIF, des USA et de l’ONU à ce conclave de l’opposition en dit long sur l’intérêt qu’y a porté l’Occident. Autre preuve de la main occulte occidentale à cette rencontre des Congolais dictés, c’est le texte dit « Actes d’engagement » lu à l’issue de ce conclave qui ne reprend que les points de vue de tous les temps dictés et médiatisés par l’Occident. En effet, il y a été décidé de l’exclusionde l’idée d’une transition après le 19 décembre 2016 ; de l’exclusion de toute idée d’un referendum en vue du changement de la Constitution ; de l’appel à la « mise en œuvre intégrale de la résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies » en vue de la tenue du dialogue sous les auspices d’un facilitateur soutenu par un panel international et, enfin, de l’exigence de la tenue, avant le 19 décembre 2016 des élections pour respecter les délais constitutionnels. Des décisions qui méconnaissent la bonne intelligence de l’alinéa 2 de l’article 70, les réelles difficultés auxquelles fait face la centrale électorale congolaise pour respecter les délais constitutionnels cette année pour les législatives et la présidentielle, qui minimisent les autres élections qui n’intéressent pas les prédateurs occidentaux, qui appellent à un droit de regard de l’Occident sur ce qui doit être décidé sur la RDC, etc...
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