Robert Mogabe actuel président du Zimbabwe, toujours contre les occidentaux! À vraie dire est ce que Mohamar Kadhafi l'ancien président du Libye, était faible que, Mogabe ?

DISCOURS Du Mugabe
1. racisme ne prendra jamais fin tant que les véhicule blancs utilisent les pneus noir
2. racisme ne prendra jamais fin tant que nous continuons a laver nos tenue blanche en premier et ceux d'autres en suite
3. racisme ne prendra jamais fin si les gens continuent a utilise le noir pour symbolise la malchance et blanc pour la paix
4. racisme ne prendra pas fin si le gens continue a porter le vêtement blanc pour les mariage et les noir pour les funérailles
5. racisme ne prendra jamais fin tant que ceux qui ne payent pas leur facture sont sur la liste noir et non sur celle blanche. même quand nous jouons ala piscine(snooker) nous ne gagnos que lorsque nous submergeons la balle noir et celle blanc reste sur terre ferme
6. MAIS JE M'EN FOU TANT QUE JE CONTINUE A UTILISÉE LE PAPIER HYGIÉNIQUE BLANC POUR NETTOYER MON ANUS NOIR JESUIS HEUREUX
PAROLE DE MUGABE.
Le dernier show de Robert Mugabe devant l’Union africaine.
Son discours était prévu pour durer 10 minutes. Finalement, il a parlé près d'une heure. Pour sa dernière intervention en tant que président de l'Union africaine (UA) le 30 janvier, le Zimbabwéen Robert Mugabe s'est lancé dans une longue diatribe anti-occidentale entrecoupée d'ovations. Barack Obama, les Nations unies, les Européens... Tout le monde en a pris pour son grade. Sur Barack Obama :
« Aujourd’hui, nous sommes libres. Mais nos ancêtres ne l’étaient pas. On a envoyé des Noirs de l’autre côté de l’atlantique. […] Maintenant, il y a Obama, c’est vrai. Mais qui est-il ? Une voix à qui l’on fait parler leur langage. Qui fait ce qu’ils veulent faire. »
Sur les ONG :
« [Les Occidentaux] sont partout en Afrique. S’ils ne le sont pas directement, c’est par l’intermédiaire d’ONG, d’espions, des imposteurs qui prétendent venir ici pour nous aider. Mais quelle aide nous apportent-ils ? »
Sur les Nations unies :
« Les patrons, au Conseil de sécurité disent : « Vous n’aurez jamais le même pouvoir que nous, les membres permanents. » Nous avons demandé, demandé et demandé : réformez le Conseil de sécurité. M. Ban Ki-moon, vous êtes un homme bon. Mais nous ne pouvons pas faire de vous notre combattant. […] Si les Nation unies doivent survivre, nous devons en être des membres égaux. […] M. Ban Ki-moon, leur avez-vous déjà dit que nous sommes aussi des êtres humains ? »
Sur les Occidentaux
« Laissez-moi dire un mot de mon mépris du sommet sur les migrations de La Vallette avec nos amis européens. J’ai trébuché sur cette expression, mais j’ai finalement réussi à la prononcer… « Nos amis européens ». À la dernière minute, nous avons appris que seuls certains d’entre nous seraient invités. Bien que nous soyons affectés différemment par les migrations, nous devons avoir une approche collective. »
« Le siège des Nations unies [à New-York] est mal placé. Il y a 1,2 milliard de personnes en Inde, 1,3 milliard en Chine, un milliard en Afrique. Mettez les visages blancs avec des grands nez en comparaison… Un pour un… Et ces gens osent encore parler de changement de régime ? Mugabedevrait partir ? Dites leur de fermer leurs bouches. »
Sur son avenir :
« Je réaffirme ma confiance au nouveau président, le chef de l’État tchadien. Je serai là si vous avez besoin de moi. Je le resterai jusqu’à ce que Dieu me rappelle. Jusqu’à ce jour vienne, j’aurai du punch. » Sa voix ressemble à celle d’un aristocrate anglais. Douce et posée, avec un accent qui évoque Oxford ou Cambridge. C’est pourtant cette voix qui irrite, depuis deux décennies, tout ce que Londres compte d’hommes bien nés. Si doctement prononcés soient-ils, les discours de Robert Mugabe ne cessent d’invectiver la même cible : "the whites". Ces "Blancs" qui, dans sa bouche, sont devenus presque synonymes d’"impérialistes" et de "colonialistes", deux autres de ses adjectifs favoris.
Pour célébrer son 91e anniversaire, cet homme récemment renforcé par son élection à la présidence de l’Union africaine est allé encore plus loin. À quelques centaines de mètres des chutes Victoria, haut lieu du tourisme où la famille royale britannique séjourna jadis, le président zimbabwéen s’est attaqué à un symbole auquel il sait l’Occident particulièrement attaché : la grande faune africaine. De l’éléphanteau a ainsi été servi au déjeuner, tandis que des cadavres de crocodile et de lion, fraîchement tués, étaient exposés.
Devant les quelque 20 000 participants d’une fête à 1 million de dollars (905 000 euros), Mugabe s’en est pris avec malice aux propriétaires de réserves animalières. "Le Zimbabwe a beaucoup de safaris, mais la plupart sont détenus par des Blancs, a-t-il affirmé. Nous allons maintenant envahir ces forêts." Quelques mois plus tôt, il avait déjà averti : "Nous disons non aux Blancs qui possèdent nos terres. Ils doivent partir. Il n’y a pas de place pour eux ici."
Mugabe a croupi dix ans dans les geôles de Ian Smith
Mugabe n’a pas toujours manié cette rhétorique. Il a certes été l’un des meneurs de la guerre de libération contre le régime du racisme.

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