1er juillet 2011, jusqu' en 1er 07 2016 : cela fait 5 ans, dépuis que, le médecin, Dr Mukongoma, Médecin directeur de l'hôpital général de référence d'Oicha a été kidnappé autour de 14h locale, par des hommes armés non autrement identifiés à l'hôpital même d' Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, dans le Nord, dela province du Nord du Nord-Kivu, à l' Est dela République Démocratique du Congo, la RDC.

Dépuis lors jusqu'à ce jour, on ne connais pas ses ravisseurs moins encore sur son état. En vie IU déjà décédé. Ça reste dans le profond secret de Dieu. En mémoire, nous nous souvenons aussi de certains, de nos enseignants, élevés et parents d'élèves, familiers, amis et connaissances kidnappés aussi par les célèbres et ces intouchables inciviques. Diocèse de Butembo-Beni aussi, victime ! Un trait Particuliers pour nos 3 prêtres de Mbau enlevés aussi en Octobre autour de 20h dans leurs couvent. A ceux qui sont mort que leurs âmes reposent en paix et aux survivant encore que Dieu vous protège et que nos prières atteignent les esprits de vos ravisseurs afin qu'ils reviennent au bon sens et vs libèrent. Les trois prêtres de la paroisse catholique Notre Dame des Pauvres de Mbau kidnappés par des hommes armés dans leur couvent totalisent ce samedi 19 octobre une année entre les mains de leurs ravisseurs. Plusieurs messes sont prévues dans les paroisses catholiques du Diocèse de Butembo–Beni pour réclamer leur libération ainsi que celle de toutes les personnes kidnappées dans les territoires de Beni et Lubero. Depuis ces dernier temps les rébélles recourent, régulièrement à des kidnappings dans cette zone.
Les pères Jean Ndulani, Anselme Wasukundi et Edmond Kisughu ont été enlevés par des hommes armés le 19 octobre 2012 dans la soirée au couvent de leurs paroisse.
Malgré les enquêtes lancées par les autorités locales, ils restent introuvables jusqu’à ce jour.
L’évêque du diocèse de Butembo–Beni, Monseigneur Paluku Sikuly Melchisedeck, a invité leurs ravisseurs à les libérer. Il a demandé également les chrétiens à prier pour obtenir la libération de ces trois prêtres et des autres personnes prises en otage par des groupes armés à Beni et Lubero.
Selon des sources locales, des hommes armés procèdent régulièrement à des kidnappings, dan cette zone du Nord-Kivu, dépuis des années.
La société civile du Nord-Kivu a souvent accusé les rebelles ougandais de l’ADF/Nalu, et les miliciens Maï-Maï d’être auteurs de ces enlèvements. Selon son porte-parole, Omar Kavota, dépuis le début del' année, 2010, on compte environ quatre cents cas de kidnappings dans le territoire de Beni.
Après l’enlèvement des trois prêtres, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) avait condamné cet acte, appelant à leurs libération «immédiate».
S’exprimant dans la foulée, le porte-parole de l’armée congolaise à Beni, le colonel Mutoto, avait également condamné cet enlèvement et promis que des stratégies seraient mises en place pour retrouver les trois otages. Que sont devenus les trois prêtres enlevés il y adeux ans au Nord-Kivu ? Dans son édition du 21 octobre 2014, le journal "La Croix" consacre un article à nos trois frères congolais enlevés au Nord-Kivudepuis 2 ans. Les P. Jean-Pierre Ndulani, Edmond Kisughu et Anselme Wasukundi, trois prêtres assomptionnistes, ont été enlevés le 19 octobre 2012 à leurs résidence de Mbau, en République démocratique du Congo.
Ils auraient été ravis par une milice armée, avant d’être revendus puis tués par un groupe de confession musulmane.
Il y a tout justedeux ans, le 19 octobre 2012, les pères assomptionnistes Jean-Pierre Ndulani, Edmond Kisughu et Anselme Wasukundi ont été enlevés dans leur presbytère, àMbau, dans la région de Beni, une des principales villes du nord du Kivu, au nord-estdela République démocratique du Congo (RDC). À ce jour, personne n’a pu établir avec certitude les circonstances de leurs enlèvement, ni ce qu’ils sont devenus.
Absence de revendication, enchevêtrement de communautés ennemies, absence del’État dans une région isolée, corruption et groupes armés, rumeurs, mensonges, manipulations… l’affaire est complexe et tout concorde pour entretenir l’incertitude, autour de, cet enlèvement et du devenir des trois religieux.
Quelle est la causedel’enlèvement ?
«Les trois pères assomptionnistes sont congolais, d’ethnie Nande. Mais ils ont été envoyés dans une paroisse majoritairement Bambuba, une ethnie traditionnellement ennemie des Nande», explique à La Croix Nicaise Kibel’Bel Oka, l’éditeur du bimensuel les Coulisses, connu dans la région du grand Kivu pour être assez bien informé.
Or la population de Mbau « réclamait des prêtres issus de leurs communauté poursuit-il. Une partie d’entre elle a sans doute été extrêmement déçue parle choix du diocèse lors du renouvellement del’équipe paroissiale, en octobre 2012. Les trois prêtres sont été enlevés une semaine après leur installationparun groupe armé local avant d’être remis auxADF-Nalu».
Effectivement, le Kivu est une région traversée par de fortes tensions communautaires, exacerbées pardes rivalités foncières ou l’exploitationdes minerais. L’Église catholique elle-même – l’unedes rares institutions encoredebout en RDC – n’échappe pas toujours à cette réalité: l’appartenance communautaire joueparfois un rôle non négligeable dans le recrutement, les nominations et l’acceptationdes prêtres dans les communautés paroissiales du Kivu.

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