Après l' attaque du Nord- Est d' Oicha par un groupe des rébélles des Adf-Nalu, tôt le matin du mardi 05/07/2016, mr Jean Paul Paluku, Ngahangondi, le président nationale d' ONG CRDH cordination d' Oicha, qui vient, d'identiée 9 pesonnes tuées par balles dans un coin, et plusieurs biens de la population emportés par les assaillants, minue des armes à feu, machette, et couteaux. Avant cette attaque, Deux personnes se sont rendu dans leurs champ, à Bilimani, à l' Est d' Oicha à la recherche de regime de palme dont une femme et un homme qui devait aider cette dernière a couper le regime selon elle, elle dit avoir été aceuillit, par les assallant au nombre de 17 hommes vetu, tous en tenue, tous avec armes à feu et une fille dont 18 assallants. Les rescapés, cette derniere ont fait savoir qu'ils ont été litoté, par les assallants disait venir chercher une vache, poules, chevres, et autres biens de valeur. Elle s'est échappé, quand les assallant se sont clipsé, sous le palmier cause dela crainte des pluie. Pour l'heure, la rescapé reste entre les mains des fardc au camp militaire de mamiki.
Après vérification du nombre des civils tués, par les présumés Adf, on trouve, les 9 corps des personnes victimes de l'attaque du mardi à Oicha/ chef lieu du térritoire de Beni, précisement à Tenambo/ Nzanza. La dixième personne tuée est une fille Adf dont sont corps a était, exposée dévant le Bureau, dela Police national, congolaise, à Oicha. Consécutivement à cette situation, les forces vives de la société civile dela place demande à toute la population, de méditer et surtout de ne pas travailler, le mercredi, 06/07/2016 car, les corps des victimes, seront mis en terre. Ainsi la société civile émet les voeux de voir les dirigeants protéger la population. Aux dernière, infos nous apprenons, que, les chèvres volées par ces adf viennent d'être récupérées, par les millitaires fardc de mains de rébélles qui continuent avec des éxactions, et crime contre l' humanité, envers les habitants de Beni ville et térritoire. Les assaillants sont venus au petit matin vers 6 heures locales, soit 4heures, temps universel, ce mardi 05 juillet 2016. Ils ont fait incursion dans le Quartier Tenambo, en cellule Mbinza, non loin de la position locale des FARDC.Oicha est une commune Rurale située à environ 15 km au Nord de la Ville de Beni en Territoire portant le même nom au Nord Kivu.
« Il pleuvait en ce moment là et les victimes n’ont pas eu le temps de s’imaginer que des hommes armés pouvaient frapper en pleine cité d’Oicha alors que des opérations militaires sont censées être en cours contre eux dans les forets environnantes », explique un témoin. Des sources concordantes renseignent ce matin que la recherche des corps est toujours en cours et le bilan pourrait s’alourdir. Pendant ce temps les FARDC poursuivent l’ennemi en brousse. « Certains des assaillants étaient habillés en tenues civiles, d’autres en tenues militaires avec des bandelettes rouges sur la tête », ajoute un autre témoin. Les assaillants ont pu attaquer jusqu’en profondeur de la cité, jusqu’à la barrière de la Direction Générale des Recettes du Nord Kivu, DGRNK Oicha. Des véhicules qui y avaient été stationnés depuis lundi 04 juillet vers 18 heures ont été criblés de balles dans des pneus et réservoirs, renseigne-t-on. Les victimes tentaient de fuir à l’approche des assaillants lorsque ces derniers ont fait pleuvoir une pluie des balles sur ces civils faisant 10 morts et plusieurs blessés. Un responsable militaire qui s’est refusé de tout commentaire a avoué qu’il est pour le moment difficile de dire que le danger est écarté de la Cité d’Oicha car à l’allure où allaient les choses, on pensait avoir fait l’essentiel pour sécuriser la population. Pour une nième fois, le GADHOP réitère sa recommandation d’une enquête internationale pour déterminer les vrais auteurs des massacres contre les populations civiles et réévaluer l’efficacité des troupes de l’ONU dans cette zone où ces forces sont déployées. Le territoire de Beni, dans l'Est de la République démocratique du Congo, a été endeuillé mardi par un nouveau massacre ayant coûté la vie à neuf civils dont cinq femmes après un répit relatif de quelques semaines.
L'attaque nocturne a frappé la ville d'Oicha, dans le nord de la province du Nord-Kivu, a précisé le lieutenant Mak Hazukay, porte-parole des Forces armées de la RDC (FARDC) dans la zone.
Ville de quelque 120.000 habitants, Oicha est située dans le territoire de Beni, théâtre d'une série de tueries ayant coûté la vie à plus de 600 civils depuis octobre 2014.
Les autorités congolaises et la Mission de l'ONU en RDC (Monusco), chargée de neutraliser les quelques dizaines de groupes armés encore en activité dans l'est du pays, en imputent la responsabilité aux rebelles ougandais musulmans des Forces démocratiques alliées (ADF).
"Dans la nuit de lundi à mardi, les ADF se sont introduits sous la pluie au quartier Tenambo à Oicha et ils ont tué neuf civils dont cinq femmes", a déclaré à l'AFP le lieutenant Hazukay, joint par téléphone de Goma, la capitale du Nord-Kivu.
A la mi-journée, a ajouté l'officier, l'armée continuait de traquer les responsables de ce nouveau drame.
Confirmant le bilan des victimes donné par l'officier, le président de l'ONG Société civile du territoire de Beni, Teddy Kataliko, a déploré que "les terroristes ADF (aient) encore une fois endeuillée la population".
"Les FARDC et la population continuent à faire la recherche d'autres corps", a-t-il ajouté.
Oicha a été frappée à plusieurs reprises par la vague de tueries ayant endeuillé la région depuis bientôt deux ans.
- 'Manque de volonté' -
"Présentement, c'est la peur qui s'installe au cœur de la population d'Oicha qui demande encore une fois sa sécurisation par ses gouvernants", a ajouté M. Kataliko, parlant de déplacements massif, dela de population à majorité, des hommes, femmes, et enfantsts, des valises sont de plus en plus visible aux mains des habitants, des quelques quartiers del' Est d' Oicha, en allant vers la zone, le plus, sécurisée, comme Beni ville, Butembo, et ailleurs.
« Il pleuvait en ce moment là et les victimes n’ont pas eu le temps de s’imaginer que des hommes armés pouvaient frapper en pleine cité d’Oicha alors que des opérations militaires sont censées être en cours contre eux dans les forets environnantes », explique un témoin. Des sources concordantes renseignent ce matin que la recherche des corps est toujours en cours et le bilan pourrait s’alourdir. Pendant ce temps les FARDC poursuivent l’ennemi en brousse. « Certains des assaillants étaient habillés en tenues civiles, d’autres en tenues militaires avec des bandelettes rouges sur la tête », ajoute un autre témoin. Les assaillants ont pu attaquer jusqu’en profondeur de la cité, jusqu’à la barrière de la Direction Générale des Recettes du Nord Kivu, DGRNK Oicha. Des véhicules qui y avaient été stationnés depuis lundi 04 juillet vers 18 heures ont été criblés de balles dans des pneus et réservoirs, renseigne-t-on. Les victimes tentaient de fuir à l’approche des assaillants lorsque ces derniers ont fait pleuvoir une pluie des balles sur ces civils faisant 10 morts et plusieurs blessés. Un responsable militaire qui s’est refusé de tout commentaire a avoué qu’il est pour le moment difficile de dire que le danger est écarté de la Cité d’Oicha car à l’allure où allaient les choses, on pensait avoir fait l’essentiel pour sécuriser la population. Pour une nième fois, le GADHOP réitère sa recommandation d’une enquête internationale pour déterminer les vrais auteurs des massacres contre les populations civiles et réévaluer l’efficacité des troupes de l’ONU dans cette zone où ces forces sont déployées. Le territoire de Beni, dans l'Est de la République démocratique du Congo, a été endeuillé mardi par un nouveau massacre ayant coûté la vie à neuf civils dont cinq femmes après un répit relatif de quelques semaines.
L'attaque nocturne a frappé la ville d'Oicha, dans le nord de la province du Nord-Kivu, a précisé le lieutenant Mak Hazukay, porte-parole des Forces armées de la RDC (FARDC) dans la zone.
Ville de quelque 120.000 habitants, Oicha est située dans le territoire de Beni, théâtre d'une série de tueries ayant coûté la vie à plus de 600 civils depuis octobre 2014.
Les autorités congolaises et la Mission de l'ONU en RDC (Monusco), chargée de neutraliser les quelques dizaines de groupes armés encore en activité dans l'est du pays, en imputent la responsabilité aux rebelles ougandais musulmans des Forces démocratiques alliées (ADF).
"Dans la nuit de lundi à mardi, les ADF se sont introduits sous la pluie au quartier Tenambo à Oicha et ils ont tué neuf civils dont cinq femmes", a déclaré à l'AFP le lieutenant Hazukay, joint par téléphone de Goma, la capitale du Nord-Kivu.
A la mi-journée, a ajouté l'officier, l'armée continuait de traquer les responsables de ce nouveau drame.
Confirmant le bilan des victimes donné par l'officier, le président de l'ONG Société civile du territoire de Beni, Teddy Kataliko, a déploré que "les terroristes ADF (aient) encore une fois endeuillée la population".
"Les FARDC et la population continuent à faire la recherche d'autres corps", a-t-il ajouté.
Oicha a été frappée à plusieurs reprises par la vague de tueries ayant endeuillé la région depuis bientôt deux ans.
- 'Manque de volonté' -
"Présentement, c'est la peur qui s'installe au cœur de la population d'Oicha qui demande encore une fois sa sécurisation par ses gouvernants", a ajouté M. Kataliko, parlant de déplacements massif, dela de population à majorité, des hommes, femmes, et enfantsts, des valises sont de plus en plus visible aux mains des habitants, des quelques quartiers del' Est d' Oicha, en allant vers la zone, le plus, sécurisée, comme Beni ville, Butembo, et ailleurs.
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