Des mouvement suspect des rébélles étrangers identifié aux Adf-Nalu, ont été signalé, encore une fois, dépuis le jeudi dernier, del' année 2016 en cours, au pied du mont RWENZORIE, situé àl' Est du térritoire de Beni, où ces inciviques continue avec une serie des carnages contre les civils victimes des plusieurs éxactions, et crimes contre l' humanité. Donc la présence des térroristes dans cette partie du pay, constitue un danger pour les habitants, qui démandent le rétablissement dela situation sécuritaire, afin qu' ils puisse, rétournés dans leurs champs villages, et localités. Ce dernier temps les gens sont aubligés d'abandonnés leurs maisons d' habitantion, à cause des attaques caractèrisés, par des massacres, vols, incendies, tout cela porte les signatures des Adf-Nalu, selon une source dela société civile dela région de Beni, qui multiplient la dénociation, contre les actes des violences, térrorismes dela part de ce groupe des rébélles, présent dépuis des années, dans la partie, Nord dela province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo, la Rdc.

Décidément, la présence des groupes, nationaux, et étrangers, minue des armes à feu, et des armes blanche, font les bruits de bottes et des kalachnikovs qui ne cessent de se faire entendre dans le partie Est du térritoire de Beni, situé précisement, dans le Nord dela province du Nord-Kivu, l’est de la RDC. D' après une source de la CRDH une ONG, présent aussi dans la région, vient d'alerter, la Coordination Nationale que, les mouvements des hommes lourdements armés, non encore idatifié, vetus en tenues militaires sont, encore signalés de plus en plus, à Kati Bombo dans la Chefferie de Watalinga vers la valée dela Rivière Semuliki, pour Kikingi en Secteur de Ruwenzori, et que même certains parmi eux seraient déjà à Ntama route lwanoli- kikingi. Selon la même source contacter par votre Blog, samedi juillet 2016, ce sont les chasseurs qui les ont, apperçu tout près dela Parc National des Virunga et que parmi eux, il y aurait, ceux qui s'expriment à Kiswahili. À côté de groupes armés plus ou moins structurés, plusieurs autres sont souvent sans hiérarchie établie, ni objectifs militaires, ou politiques bien définis, beaucoup sont également, fait leurs apparition au fil des années, antérieur. On y trouve des milices d’autodéfense ou à caractère ethnique, parfois utilisées, comme supplétifs par des politiciens, ignorants, (certaines factions comme les Maï-Maï et Raïa Mutumboki notamment), mais aussi des groupes ougandais (Forces démocratiques alliées, ADF), rwandais (Forces de libération du Rwanda, FDLR) ou encore burundais (Forces nationales de libération du Burundi, FNL), voire de micro-milices locales constituées d’au moins 20 combattants.
Une récente étude publiée fin 2015 par le Groupe de recherche sur le Congo (GEC) a pu identifier les « zones d’influence » de plusieurs groupes armés et milices dans le Nord et le Sud-Kivu, deux ans après la victoire de l’armée congolaise sur le M23. « Au moins 70 groupes armés sont actifs dans l’est de la RDC », affirment les chercheurs Jason K. Stearns et Christoph Vogel qui se fondent essentiellement sur leurs recherches effectuées sur le terrain. Retour sur les dates clés des rébellions qui ont secoué l’est de la RDC ces deux dernières décennies.
Les rebellions successives dans le Kivu ressemblent à l’histoire des frères ennemis. Depuis l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) en 1996 jusqu’au Mouvement du 23-Mars (M23) en 2012, ce sont souvent des anciens compagnons d’armes qui se sont retournés les uns contre les autres pour se faire la guerre. Un cycle infernal de violences qui a duré près de deux décennies, entraînant la mort de près de huit millions de personnes. Autrement dit, un des conflits les plus meurtriers depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Dans ces conflits du Kivu, les différents acteurs se connaissent donc, quatre ans, après la défaite de la rébellion du M23, l'est de la RDC regorge toujours de nombreux groupes armés et milices, pour la plupart fragmentés à la suite de redditions partielles ou d'alliances brisées. Une situation qui ne favorise pas un éventuel retour à la paix dans cette partie, du pay. Aujourd' hui, pas moins de 40 groupes armés opèrent dans la région où persiste une crise humanitaire chronique.
L’est de la RDC compte 2,6 millions de personnes déplacées et 6,4 millions de personnes en besoin d’aide alimentaire d’urgence.« L’un des moyens de prévoir à quel endroit émergera une nouvelle insurrection en RDC est d’observer les mouvements passés : les groupes armés engendrent des groupes armés, puisque les chefs militaires tirent avantage des réseaux existants d’anciens combattants et ravivent les liens avec les trafiquants, les marchands d’armes et les mineurs »
« La complexité de la guerre dans l’est du Congo, avec son réseau inextricable d’acteurs poursuivant un grand nombre d’intérêts, peut être accablante et déroutante. La région est propice à l’éclosion et au développement de groupes armés et de seigneurs de guerre », note le projet Enough.
« L’un des moyens de prévoir à quel endroit émergera une nouvelle insurrection en RDC est d’observer les mouvements passés : les groupes armés engendrent des groupes armés, puisque les chefs militaires tirent avantage des réseaux existants d’anciens combattants et ravivent les liens avec les trafiquants, les marchands d’armes et les mineurs », indique un rapportdu projet Usalama.
Voici un aperçu de quelques-uns des groupes armés présents dans l’est de la RDC :
M23
La rébellion M23a vu le jour en avril 2012, lorsque des centaines de soldats - des Tutsis pour l’essentiel - ont déserté des FARDC (l’armée congolaise) sous la direction de Gen Bosco Ntaganda en raison de mauvaises conditions de vie et de salaire. La plupart étaient d’anciens membres du Congrès national pour la défense du peuple(CNDP), une administration rebelle pro-Tutsis. En 2009, le CNDP a signé un accord avec le gouvernement, que les mutins reprochaient à Kinshasa de ne pas appliquer pleinement.

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