Deux groupes différents, des Maï Maï se sont, affronté dans un combat, qui se soldé àl' avantage des éléments du FPLC/NYATURA qui, controlent pour la toute premiere fois, la localité d' ikobo situé, dans le térritoire de Walikale, province, du Nord-Kivu, à l' Est dela République Démocratique du Congo, la RDC, dépuis l' avant midi du vendredi, 01/07/2016 jadis, sous les mains des maïmaï NDC TCHEKA. La population sur place se dit satisfaite de la liberation, mais elle demande à ce que le gouvernement puisse deploi, les millitaires FARDC. contacté sur le lieu, mr LUANDA, Chef du centre d'ikobo signale que les maïmaï NDC TCHEKA ont pris le large après avoir pillé les chevres. Mais aussi on signale, 8 maïmaï tué et 2 elements nyatura fplc tué. Autre source discrete près la societé civile du groupement d'ikobo, dénoce presence de Mme SERAPHINE NYIRAHABINEZA qui aurait erigée sa base au sud-est de BULEUSA. les maïmaï NDC TCHEKA qui se sont volatillisé à 23km d'ikobo seraient entrain de se reorganisés pour attaqué ikobo. le FPLC NYATURA eux demandent à la population de vaqué librement à ses occupations.

La présnce des groupes armés à Ikobo, a été long temp, dénocé, par la société civile Cordination du Nord-Kivu. D' après des notables locaux, vivant, dans le groupement, d' Ikobo, soulignent que, cette partie, dela province du Nord-Kivu, a été occupé pendant, quinze ans par des rebelles rwandais des FDLR qui y ont été délogés, en novembre dernier, par des miliciens Maï-Maï du groupe NDC/Guidon.
Ces notables réclament le retour de l’armée dans ce groupement. Ils estiment que, la présence des militaires Fardc, va faciliter le retour des milliers de déplacés qui craignent encore pour leurs sécurité. Selon Bokele Joy, administrateur du territoire de Lubero, la police nationale congolaise sera aussi bientôt déployée à Kimaka.
La même source dit avoir effectué, le week-end dernier, une mission à Luhanga. C'était la toute première visite d’un administrateur du territoire dans ce secteur depuis plusieurs années. Depuis bientôt, deux ans, les deux territoires de Beni et de Lubero sont complètement encerclés par des groupes armés. Au début de cet encerclement, ces groupes armés se contentaient d’occuper les forêts et brousses où ils exploitaient les minerais tels l’Or, la cassitérite, le coltan, etc. Depuis le mois de novembre 2015, il s’observe un mouvement de ces groupes armés de forêts vers les villages, cités, et villes de Beni-Lubero où ils attaquent et tuent les civils à la machette et à la kalachnikov, mutilent des corps des victimes comme ce fut le cas lors du génocide rwandais de 1994, incendient les maisons et les récoltes dans les champs, et provoquent un déplacement massif des populations vers les centres urbains. Du Sud du Territoire de Lubero, les populations fuient vers Butembo. Du Nord du Territoire de Beni, les populations fuient vers les villes de Beni et de Butembo. Si rien n’est fait pour arrêter ce phénomène, on assistera à une grave catastrophe humanitaire à Beni-Lubero.
Dans la partie Nord du Territoire de Beni qui était jadis une base-arrière de la rébellion ougandaise ADF/NALU, les tueurs qui y opèrent aujourd’hui n’ont pas de peine à se faire passer pour ADF/NALU. Mais les prisonniers de guerre de cette soit disant rébellion ougandaise que la coalition FARDC/MONUSCO avait montré à la population à Oïcha après l’attaque d ‘Eringeti du 29 Novembre 2015 se sont révélés être des rwandais qui parlent Kinyarwanda. Ce constat a depuis lors conforté l’opinion locale qui, se basant sur le témoignade des rescapés des massacres, affirment et confirment queceux qui tuent à Beni sont des rwandais ou des troupes commandées par des rwandais faisant partie d’une force d’occupation rwandaise. C’est ainsi que sur les medias sociaux des congolais, les tueurs de Beni s’appellent ADF Rwandais, Faux ADF, force d’occupation rwandaise, etc.
Seule une enquête internationale indépendante permettra de départager les officiels pour qui les tueurs sont de s ADF ougandais et l’opinion locale selon laquelle il s’agit bien d’une force d’occupation rwandaise, laquelle force serait déjà, de manière encore dormante, présente aussi en Territoire d’Irumu, dans la province voisine de l’Ituri pour la même mission de génocide, si l’on en croit des sources de la société civile de l’Ituri. Les Mai-Mai sont connus comme des défenseurs des populations congolaises contre les agresseurs. Mais cela n’est plus le cas au Sud de Lubero. Le NDC de CHEKA s’attaque aux populations civiles, toutes les ethnies confondues. Il en est de même de l’UPDI de et du PARECO de Kakule Lafontaine. En quoi sont-ils encore mai-mai ? Tout laisse penser que cacher l’identité du vrai tueur àla justice internationale, l’ennemi s’achète un costume cousu àla mode local.
L’inaction des FARDC lors des combats entre factions Mai-Mai au Sud de Lubero est la même que celle de Fardc de la Chefferie des Bashu vis-à-vis des exactions perpétrés par des miliciens « wakombozi ».
Les analystes voient le mode opératoire de la diversion du régime de Kigali/Rwanda depuis le génocide de 1994. Le FPR de Paul Kagame qui a aussi participéau génocide rwandais selon les enquêtes indépendantes actuelles a réussi àfaire porter le chapeau de 800 000 milles morts aux seuls HUTU reconnus non seulement comme les génocidaires de 1994 mais aussi comme auteurs de l’attentat sur l’avion de Feu Juvénal Habyarimana. L’acharnement des officiels congolais et onusiens àappeler les tueurs des civils par les noms empruntés aux rebellions d’antan ou aux groupe armés locaux (Mai-Mai) est perçu comme une tentative de refaire l’exploit tutsi de 1994 sur le sol congolais. Autrement, la force d’occupation rwandaise peut espérer rééditer en R.D.Congo l’exlpoit génocidaire. Cet exploit le Rwanda l’avait fait en Ituri en 2002-2003. Le Rwanda via Bosco Ntaganda armait les Hema/Gegere pour tuer les membres des autres ethnies. L’administrateur du territoire de Walikale assure que les Forces armées de la RDC (FARDC) pourront être déployées sur l’ensemble du groupement d’Ikobo dans les prochains jours.

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