Jamili Mukulu chef criminel, des Adf-Nalu est toujours détenue dans une prison, de Kampala en Ouganda précise une source del' AFP agence france presse. Ce dernier temp, celui ci, et ses groupes des rébélles étrangers et, nationaux, minue des armes à feu, et armés blanche, à majorité des musulmans sont, accusés, par les gouvernements Ougandais, Congolais, et plusieurs ONG Nationaux, et Internationaux de défence des droits del' homme, d' être hauteurs de très grave violention, des droits hummains, et crimes contre l' humanité, àl' Ouest del' Ouganda, et, àl' Est dela République Démocratique du Congo.

Trois mois après son arrestation, en Tanzanie, l’Ougandais Jamil Mukulu a été extradé vers son pays d’origine, vendredi 10 juillet.
L’inspecteur général de police en Ouganda, Gen Kale Kayihura, a décrit la capture de Jamil Mukulu comme un « énorme succès » pour le système judiciaire ougandais. « L’importance de cet événement est pour nous ce que celle d’Oussama Ben Laden a été pour les États-Unis », a-t-il déclaré au quotidien New Vision.
L’Ouganda tient Jamil Mukulu pour responsable d’une série d’attaques dans l’ouest du pays entre 1998 et 2000 qui aurait coûté la vie à plus de 1000 personnes. Le chef de la rébellion ougandaise des Forces démocratiques alliées (ADF), auquel on impute l'assassinat de centaines de civils, a été inculpé de crimes contre l'humanité et de meurtre de masse par un tribunal ougandais mercredi, a déclaré un porte-parole de la police.
Jamil Mukulu a été arrêté en Tanzanie en avril, avant d'être extradé en Ouganda début juillet. Interpol avait émis à son encontre un mandat d'arrêt à la demande de Kampala.
"Il est accusé de crimes contre l'humanité et de meurtre de masse" ainsi que de trahison, a déclaré le porte-parole de la police Fred Enanga à l'AFP. "Il a été inculpé avec deux de ses complices et la cour commence à entendre le cas", a-t-il ajouté.
Jamil Mukulu est apparu sous haute surveillance au tribunal à Jinja, à 85 kilomètres à l'est de la capitale Kampala, avec deux autres hommes accusés d'être des membres des ADF.
Les journalistes se sont vus refuser l'accès au tribunal pendant l'audience mais ont pu photographier les prévenus.
Les rebelles musulmans des ADF, opposés au président ougandais Yoweri Museveni, sont basés depuis 1995 dans l'est de la République Démocratique du Congo, où ils mènent des attaques contre les civils. Ils sont accusés d'avoir tué plus de 900 personnes dans la région de Beni, dans la province du Nord-Kivu, depuis octobre dernier. Leur numéro trois, Kasada Karume, a été tué dans l'est de la RDC le 25 avril, selon l'armée congolaise.
En décembre, une opération conjointe de l’armée congolaise et de la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco) avait contribué à ramener le calme mais les tueries n’ont pas cessé totalement et se sont étendues à des zones limitrophes de la Province-Orientale voisine.
Les Etats-Unis ont ajouté les ADF à leur liste d'organisationsterroristes en 2001, et l'Ouganda les accuse d'avoir des liens avec les insurgés islamistes somaliens shebab et Al-Qaïda.
Alors que ces liens n'ont pas été clairement établis, le général Jean Baillaud, commandant adjoint de la force de la mission onusienne (Monusco), a déclaré récemment que les ADF avaient un "aspect terroriste" pouvant les rapprocher des mouvements djihadistes africains.
Un rapport de l'ONU publié en mai note que les crimes commis par ces miliciens dans la région de Beni au dernier trimestre 2014 "ont été systématiques et d’une extrême brutalité" et "pourraient constituer, de par leur type et leur nature, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité". Ce lui ci a était arrêté, àla frontière del' Ouganda, et dela Tanzanie, pour être jugé vient d'être libéré par la justice Ougandaise. Selon une source de la Radio Muungano à Beni, capté, le matin du mercredi dernier, 07 juillet 2016. Ce mr est, le plus grand chef rebelle des ADF responsable des massacres en ville et territoire de Beni est désormais libre comme le vent selon les soit disant, qui gagne du térrain, à Beni, ville et térritoire. Déception au Nord-Kivu en RDC
Côté congolais, on réclamait aussi le chef rebelle. La société civile du Nord-Kivu aurait souhaité que le procès ait lieu en RDC, afin que Jamil Mukulu soit jugé là où son groupe armé, les Forces démocratiques alliées (ADF), a commis la plupart de ses exactions ces dernières années. Me Omar Kavota, coordonnateur du Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et des droits de l’homme (Cepadho), s’est dit « très déçu » de l’extradition de Jamil Mukulu vers l’Ouganda. Il craint « qu’il soit protégé par les autorités ougandaises ».
Selon lui, le chef rebelle devrait plutôt être extradé vers la RDC où son mouvement continue de commettre des meurtres, des viols, des incendies, des pillages et d’enrôler les enfants sur le territoire de Beni. « Cela aurait un effet dissuasif pour tous les autres miliciens qui commettent des exactions contre des civils et des militaires encore aujourd’hui ». Islamiste radical, il l’est certainement. Mais est-il de ces jihadistes prêts à se sacrifier pour la gloire d’Allah ? Rien n’est moins sûr… Peu ou pas de photos, ni de vidéos : Jamil Mukulu, bientôt 50 ans, est un personnage trouble, qui entend rester discret. Il est cependant l’un des miliciens les plus recherchés et le Chef suprême de la rébellion islamiste ougandaise de l’ADF(Forces démocratiques alliées), placée sur la liste des organisations terroristes par les États-Unis en 2001 ce seigneur de guerre est visé par des sanctions mondiale.

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