Le combat contre les groupes armés étrangers, dans le térritoire de Beni, commence déja à donner des fruits mur. Pourqu' oi ? Dans un message publié sur le compte facebook de Mr Yassin Kadima Kombi, qui rassure que, les habitants de KOTONGO un village situé, sur le tronçon routier, Beni ville Kasindi en conivance avec les FARDC viennent de maitriser un sujet présumé idatifié au groupe des rébélles ougandais des Adf-Nalu qui s'est infiltré, dans la population. selon notre source, ce dernier qui serait parmi les deux autres qui ont étaient neutralisé, le dimanche dernier aurait ôter sa tenue del' armé ougandaise UPDF pour s'infiltrer dans la population. en dernière nouvelle, notre source nous renseigne que, les corps de 5 sujets habillés en tenue ougandaise qui s'étaient jetés dans la rivière SEMULIKI ont été retrouvés sans soufle.

Les auteurs des plusieurs éxactions, et crimes de guerre contre l'humanité continuent, de réclamer le droit au chapitre à travers des négociations ce dernier temps dans l' Est dela Rdcongo. C'est ridicule. On ne comprend rien de cette stratégie des autorités congolaises.
Nous, au sein d'UPCP, nous avons pris tout notre temps pour écouter et analyser le comportement des différentes rébellions depuis la chute du régime de Mobutu. Nous avons compris que les revendications de ces mouvements frisent le mépris à l'égard de tout le peuple congolais. Ceci est inacceptable pour nous. Nous ne pouvons en aucun cas tolérer la balkanisation de la RDC. La souveraineté de la RDC est inaliénable.
Nous les leaders de l'UPCP, avons écouté et analyser le comportement des FDLR. Bien que ceux-ci ne revendiquent aucun territoire et aucune autorité en RDC, qui connait leur agenda ? Leurs présence sur le territoire congolais, en tant que groupe armé reste problématique et met en danger la population congolaise. Profitant de la faiblesse de l'autorité congolaise, le Rwanda en fait un prétexte pour envahir la RDC et tuer les congolais sur leur propre sol. Ceci est inacceptable pour nous.
Les multiples opérations militaires conjointes (officielles ou non) pour désarmer de force les Adf, FDLR ont été meurtrières pour la population congolaise. Ces rapatriement forcés fes FDLR s'avèrent être une épée de Damoclès sur la tête des congolais, car ces sont les mêmes FDLR rapatriés au Rwanda que l'on retrouve toujours dans les rangs de ces différentes rébellions pour déstabiliser le Congo. Nous en avons les preuves. Les nations unies en ont aussi. Le gouvernement congolais a des preuves. Human Right Watch a des preuves. Pour résoudre le problème des FDLR, la RDC doit se faire aider par la communauté internationale et en l'occurrence les Nations unies.
Nous savons tous comment les FDLR sont nées. La Rdc qui les a rassemblé et armés doit assumer sa part de responsabilité.Les Nations unies, auteur du rapport "Mapping Report" publié en octobre 2011 savent pourquoi les FDLR ne désarment pas si facilement.
Les FDLR ont, à plusieurs occasions, manifesté leur volonté de déposer leurs armes. Ils l'ont manifesté à Kamina en 2002, ils l'ont manifesté à Rome en 2005, ils l'ont manifesté à Kasiki, ils l'ont récemment manifesté à Ntoto en Territoire de Walikale en mars 2011. Je sais de quoi je parle car j'ai été associé de très près, en tant qu'officier des FARDC, à rassembler et armer les FDLR. J'ai été en mission de service en Angola, en Zambie, en Tanzanie et au Congo Brazzaville pour faire venir les réfugiés HUTU Rwandais que la RDC a transformé en soldats. J'ai été associé à plusieurs tentatives de désarmement et de rapatriement volontaire des FDLR à Luofu et à Kasiki en Territoire de Lubero au Nord kivu. Mon constat est que n'ont jamais refusé de désarmer. Le centre de démobilisation et de désarmement que le gouvernement avait mis en place à Luofu et dont j'étais en charge, a été saboté par les FARDC, le centre a été pillé et détruit par les FARDC à travers le deuxième brigade intégré sous le commandement du colonel Kasongo dans l'indifférence totale des autorités congolaises. À Kasiki, les combattants démobilisés et désarmés ont été attaqués et dispersés délibérément par l'armée Rwandaise. Position de l'Union des Patriotes Congolais pour la Paix, (UPCP/FPC), sur la situation sécuritaire à l'Est de la RDC.
Les conflits armés récurrents ravagent l'Est de la RDC, principalement le Nord Kivu et le Sud Kivu. Les morts se comptent par millions. Le viol des femmes est devenu une redoutable arme de terreur. Le nombre de déplacés internes des populations civiles atteignent des chiffres effroyables. La population de l'Est, tous les tributs confondus, vivent la peur dans le ventre.
Les autorités congolaises, la population congolaise, les nations unies, les ONG internationalessavent qui sont les auteurs de tous ces crimes. Ce sont des rébellions en répétition depuis l' AFDL, RCD, CNDP jusqu'au M23,ces sont des FDLR. Ce sont des multiples groupes armés locaux dits Maï Maï. Ce sont des FARDC mal encadrés qui pillent et qui violent.
Tout le monde dénonce, mais personne ne condamne. Personne ne prend des sanctions à la hauteur des crimes commis. Des rapports des nations unies sont formels quant à l'identité des criminels et des agresseurs. Le gouvernement congolais, longtemps resté dans le déni, est sorti trop tard de son agonie et parle de de secret de polichinelle en citant les agresseurs qui se cachent derrière les mouvements de rébellion fantômes. Malgré tout ce constat amer, le chaos continue comme si rien n'était. Les criminels continuent à tuer, à violer. La population continue à errer sur les collines dans l'indifférence totale des autorités congolaises. Plutôt que de palier au plus pressé, à savoir venir en aide aux populations déplacées et saisir tous les offres de paix qui leur sont présentées, les autorités congolaises se perdent dans des distractions.

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