Les millitaires Fardc lourdement armés ont lancés, encore une fois de plus, une nouvel opération musclée, dans l'objectif de neutralisé totalement, les rébélles étrangers identifié au groupe des Adf-Nalu, auteurs des plusieurs éxactions, et crime contre l'humanité, à Beni ville et térritoire. Dans un dernier message publié sur le compte facebook du porte parole d'Opération Sukula 1 daté du mercredi 27 juillet 2016 Mak Hazukayi Mungba présent dans la région de Beni, a fait savoir que, le Commandement millitaire du Secteur opérationnel Grand Nord & Sukola I a lancé dépuis dimanche 24 juillet 2016 des patrouilles de combat dans l'objectif de traquer les rébélles étrangers présent, dans la vallée de MWALIKA à l'Est de la ville de Beni, situé vers l'Est dela République Démocratique du Congo, précisement, dans le Nord dela province du Nord-Kivu.

Ce dernier temp, les Adf étaient, de plus en plus visible dans la vallée de MATEMBO. L'un des quartiers de la ville de Beni, situé entre MAVIVI et NGADI. Selon une source locale dela place, contacter par votre Blog, celui ci, a fait savoir que, les habitants de cette partie situé dans le Nord de Beni ville étaient, entrain, de quitter leurs champs dépuis mardi 19 juillet 2016 en fuyant, pour ne pas être victimes, des massacres, vols, incendies, plusieurs, éxactions, et crime contre des civils. Mais malheureusement nos vaillant soldats Fardc, positionner, sur place, disent attendre les renforts pour leurs permettre de lancer un saut, musclée, contre ces inciviques dans cette vallée, du Nord, situé, dans la province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo.
Les criminels sont, toujours près de Beni-ville, et dans le térritoire. "La Monusco et, l’armée congolaise ont oublié qu’ils avaient affaire à un groupe armé pas comme les autres, les ADF étant une organisation terroriste", soutient Thomas d’Aquin Muiti, président de la société civile du Nord-Kivu, regrettant que l’opération "Sokola" ait été "suspendue au mois de juin" après les succès enregistrés sur le terrain. "Cela a permis aux éléments résiduels des ADF de se réorganiser, de se renforcer – en hommes et en matériels – et de mener aujourd’hui tous ces actes de sabotage contre les civils", explique-t-il.
Du côté de la Monusco, on essaye de nuancer. "L’opération ‘Sokola’ a plutôt été perturbée, voire ralentie, après la mort du général congolais Bahuma, le numéro un de l’armée congolaise dans le Nord-Kivu. Mais nos troupes n’ont jamais pour autant été désengagées sur le terrain" affirme la source onusienne.
*. Qui sont derrière ces attaques ?
Des questions se posent cependant sur l’identité réelle des auteurs de cette série d’attaques meurtrières à Beni. "Sachant que les ADF ont été gravement affaiblis, la Monusco s’interroge sérieusement sur leur capacité aujourd’hui à mener ces massacres", confie un membre de la mission proche du dossier. Qui sont donc réellement les auteurs de ces tueries ? Personne ne peut aujourd’hui le dire avec certitude.
"Des investigations sont en cours. Des suspects arrêtés continuent d’être interrogés", indique quant à lui un conseiller du ministère congolais de l’Intérieur. Les attaques contre les civils se suivent et se ressemblent à Beni, territoire de la province du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC. Par armes à feu ou à la machette, les populations sont massacrées dans les quartiers périphériques de la ville éponyme et dans les villages environnants.
Plus de 1116 personnes tuées sauvagement entre Octobre 2014 et Mai 2016, soit une moyenne de 60 personnes tuées par mois, ou encore une moyenne de 2 personnes tuées par jour ;
–Plus de 1470 personnes enlevées et portées disparues ;
– Plus de 1750 maisons incendiées avec, parfois, des personnes et biens calcinés ;
– Au moins 13 Centres de Santé incendiés parfois avec des malades et du personnel soignant à l’intérieur ;
– Plus de 27 Ecoles détruites, d’autres abandonnées, d’autres encore occupées soit par des déplacés, soit par des dépendants des militaires, soit par des groupes armés ;
– Plusieurs villages entièrement occupés par les groupes armés : c’est le cas des villages de Kyuto, Katundula, Ivimbo, Mwekwe, Mukeberwa, Fungulamacho, etc en Territoire de LUBERO. Plus grave encore, à Kyuto, les FDLR ont procédé à l’installation de leur chef coutumier et se sont même arrogé le pouvoir de créer et de percevoir des taxes et redevances coutumières. En Territoire de BENI, les villages de Kamungu, Maisafi, Pkwele, Kakuka, Eringeti, Tigwe, Kokola, Linzosisene, Opira, Totolito, Mamundioma, Kinziki, Vemba, Tipiomba, Masulukwede, Kadou, Kididiwe et Munzambayi sont sous menace permanente d’occupation.
– Plusieurs femmes et enfants violés ;
– Plus de 34.297 ménages en déplacement forcé et dispersés ;
– Plusieurs cas d’enfants en état d’abandon scolaire ;
– De nouvelles incursions des forces et groupes armés venant de l’étranger sur le sol congolais entrant par la Chefferie des Bashu et les Secteurs de Rwenzori, de Beni-Mbau en Territoire de BENI ainsi que par la Chefferie des Batangi en Territoire de LUBERO ;
– Des pillages systématiques des ressources naturelles et destructions méchantes des biens de la population ;
– Des déplacements collectifs et suspects des populations mono-ethniques et monolingues d’origine indéterminée avec une intension à peine voilée d’occupation des terres et de balkanisation.
À la Communauté Internationale
1. De déclarer comme crime de génocide les massacres ciblés des Territoires de BENI et de LUBERO et des Villes de BENI et de BUTEMBO et de diligenter une enquête internationale indépendante en vue d’identifier les auteurs et de les juger ;
2. D’évaluer les actions de la MONUSCO avec sa Brigade d’Intervention et de rendre public le rapport d’évaluation. Nous réclamons une opération du genre ARTEMIS pour mettre fin à ces massacres odieux.

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