Libération sans conditions de dix civils dans l' après midi du jeudi 21 juillet del' année en cours, à MAKOLIKENE, un village situé dans une partie dela localité de MAYANGOSE : dans l'après midi du jeudi, d'autres sources locale dela place n'ont pas bien informés, les gens de Beni-Ville et Térritoire. Les autres ont alertés sur, un nouveau massacres des civils, à MAYANGOSE, alors que, c'était la libération 10 otages ! Mais après la vérification de cette information par la société civile de Beni-Ville et ,Térritoire, les gens ont ont fait circulés, des rumeurs sans, préciser une quelquoques source d'infos, dans cette partie, dela province du Nord-Kivu. Selon la même source de la société, les derniers victimes ont été portés, disparus, lors d'une nouvel incursion des rébélles criminels, identifié au groupe des rébélles Adf-Nalu, mercredi dernier 20 juillet 2016, à MAYANGOSE un village situé, conté, Est de Beni-Ville, dans le Nord dela province du Nord-Kivu, vers l' Est dela République Démocratique du Congo.

Dix civils victimes du dernier enlévements, du mercredi dernier 20 juillet 2016, à MAKOLIKENE ont, rétrouvés, leurs liberté. Selon, le témoignage d'un enfant garçon qui était parmi les otages aux mains des térroristes, les rébélles étaient le plus nombreux, de plus composés, des hommes, femmes, et enfants, minue, des armes à feu, et des armes blance. La présence des hommes et femmes des blancs, a été aussi, signalé, au rang des inciviques identifié, au rébélles des Adf-Nalu, d'après une source dela Radio Muungano émentant d' Oicha, chef lieu du térritoire de Beni. Ce dernier temps, les présumés rébélles Adf sont, de plus en plus visible dans la vallée de MATEMBO. L'un des quartiers de la ville de Beni, situé entre MAVIVI et NGADI. Selon une source locale dela place, contacter par votre Blog, celui ci, a fait savoir que, les habitants de cette partie situé dans le Nord de Beni ville étaient, entrain, de quitter leurs champs dépuis mardi 19 juillet 2016 en fuyant, pour ne pas être victimes, des massacres, vols, incendies, plusieurs, éxactions, et crime contre des civils. Mais malheureusement nos vaillant soldats Fardc, positionner, sur place, disent attendre les renforts pour leurs permettre de lancer un saut, musclée, contre ces inciviques dans cette vallée, du Nord, situé, dans la province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo.
Les criminels sont, toujours près de Beni-ville, et dans le térritoire. Ils continuent avec des massacres, vols, incendies, sans oublier les déplacements forcés dela population, victimes des plusieurs éxactions, et crimes contre l' humanité .
"La Brigade d' intervation des Nations-Unies, sous le mandat dela Monusco présent dans la région et, l’armée congolaise le Fardc, ont oublié que, les Adf sont un groupe armé pas comme les autres, les ADF étant une organisation terroriste", soutient Thomas d’Aquin Muiti, président de la société civile du Nord-Kivu, àl' époque a regretté que, l’opération "Sokola" ait été "suspendue au mois de juin" del' année dernier après les succès enregistrés sur le terrain. "Cela a permis aux éléments résiduels des ADF de se réorganiser, de se renforcer en hommes et en matériels – et de mener aujourd’hui tous ces actes de sabotage contre les civils", explique-t-il.
Du côté de la Monusco, on essayé de nuancer. "L’opération ‘Sokola’ a plutôt été perturbée, voire ralentie, après la mort du général congolais Bahuma, le numéro un de l’armée congolaise dans le Nord-Kivu. Mais nos troupes n’ont jamais pour autant été désengagées sur le terrain", affirme la source onusienne.
Qui sont derrière ces attaques ?
Des questions se posent cependant sur l’identité réelle des auteurs de cette série d’attaques meurtrières à Beni. "Sachant que les ADF ont été gravement affaiblis, la Monusco s’interroge sérieusement sur leur capacité aujourd’hui à mener ces massacres", confie un membre de la mission proche du dossier. Qui sont donc réellement les auteurs de ces tueries ? Personne ne peut aujourd’hui le dire avec certitude.
"Des investigations sont en cours. Des suspects arrêtés continuent d’être interrogés", indique quant à lui un conseiller du ministère congolais de l’Intérieur. Les attaques contre les civils se suivent et se ressemblent à Beni, territoire de la province du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC. Par armes à feu ou à la machette, les populations sont massacrées dans les quartiers périphériques de la ville éponyme et dans les villages environnants. À en croire le bilan de la société civile locale, du "2 octobre au 2 novembre", les tueries ont fait environ 120 morts et entraîné le "déplacement massif d’au moins 10 000 ménages".
Fin octobre, Joseph Kabila lui-même s’était rendu dans la région pour essayer de rassurer la population, promettant de "vaincre" les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), soupçonnés d’être responsables de cette série des massacres. Mais le passage du chef de l’État congolais n’a rien changé sur le terrain. Dès le lendemain de son départ, entre 7 et 11 personnes ont été tuées à Beni, provoquant une violente émeute dans la ville. « Plusieurs civils ont été massacrés à la machette et leurs habitations ont été incendiées : c’est l’horreur ! » souligne un défenseur des droits de l’homme, joint au téléphone à Mbau, village du territoire meurtri.
Passez la souris sur les points pour voir le nombre de morts par jour à Beni depuis le début de l’année 2016
Beni et son triangle de la mort
Depuis le début des massacres en octobre 2014, trois localités situées au nord de Beni-ville sont les plus fréquemment touchées : Mbau, chef-lieu du secteur Beni-Mbau, Kamango, dans la chefferie des Watalinga. L’armée congolaise, appuyée par la brigade d’intervention de la Monusco, avait en effet lancé depuis le 16 janvier l’opération "Sokola" (nettoyer, en français) contre les combattants de l’ADF, actifs dans le territoire de Beni. Très rapidement, des bastions et autres sanctuaires des rebelles ougandais avaient été repris.

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