Un mort et 7 personnes tous des civils sont portés, disparus, lors d'une nouveil incursion, attribuée au groupe des rébélles étrangers au Quartier NGADI à ville de Beni. Un papa victime des actes des térroriste a été decapité, par les inciviques des Adf-Nalu, présent, dépuis des années, dans cette partie Nord dela province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo. Selon une source dela Société civile de Beni-Mbau, qui nous a informé d'une nouvel attaque meurtrière des assaillants, dans cette partie du pay. Pour l' heure le bilan provisoire conté civils après la fuite des térroristes, fait état d'u mort et 7autres personnes kidnapés à MAYANGOSE-VEMBA situé dans le Parc nationale des Virunga, à Beni térritoire.

Nouvel incursion meurtrière des rébélles étrangers des Adf, est, signalé, à MAYANGOSE, à peu près 6.5 km au Nord-Est de Beni ville, province du Nord-Kivu àl' Est dela Rdc. Les gens ont ‪‬‪appris, news cette nuit du samedi, au dimanche, 17 juillet que, les rebelles‪ ADF ont attaqué,‬ un village, situé dans le profondeur dela Parc National des Virunga vers, l'Est de‪ MAVIVI‬, une localité, dirigés par les agens, sous autorités du tér de Beni. Le bilan provisoire serait, lourd conté civils, qui sont‪‬‪, tués par les armes blanche, et les biens de valeur des habitants, emportés, par les assaillants, dans leurs fuite‬‪‬. Cet assaut des rebelles a ainsi, plongé, les habitants dans la panique, et provoqué, un déplacement massif des civils vers, Beni ville et localité de MAVIVI. Pour rappel, ces rebelles térroristes ADF, ne sont pas, à leurs premier forfait du genre dans cette partie dela province du Nord-Kivu. Selon la société civile, cette attaque porte la signature des ADF-Nalu, l’un des groupes rebelles les plus secrets et le plus redoutés en RDC. Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les images, toujours recommencées, des victimes civiles fuyant les zones de combat, les pillages et les viols perpétrés par toutes les forces armées impliquées dans le conflit ou celles du recrutement forcé d’enfants soldats, se posent des questions de fond. Des informations à notre possession indiquent que la Coalition terroriste s'est assigné comme objectif poursuivre ses attaques en vue d'occuper l'axe BENI-ERINGETI. Tout porte à croire que si rien n'est fait le plus tôt, MBAU (chef-lieu de la Collectivité Beni-Mbau), OICHA (chef-lieu du Territoire de Beni) ainsi qu'ERINGETI, sont les cibles immédiates de ces rebelles.
Ces entités seraient déjà encerclées par la coalition terroriste qui, faudra-t-il le rappeler, manifeste sa présence par des enlèvements récurrents des Civils dans le milieu. Depuis des années, les ADF-Nalu terrorisent des dizaines de milliers de civils dans la région de Beni, dans le Nord-Kivu. Reconnaissant au aux efforts consentis, le Collectif des Parties Civiles du Nord-Kivu a exprimé sa gratitude envers les FARC et la MONUSCO pour le retour effectif de la paix dans plusieurs entités de cette province ; proie des conflits armés de tous genres. D’après cette structure citoyenne, les opérations militaires menées contre la rébellion ougandaise d’ADF/NALU dans le territoire de Beni n’ont pas pu libérer près de huit-cent (± 800) de nos compatriotes otages de ce mouvement terroriste opérationnel dans la région depuis près de 20 ans. La présence des adf-nalu à Beni costitue un danger pour la population riveraine. Quels sont les acteurs d’un conflit dont la durée et les rebondissements après chaque phase d’accalmie signifient qu’il est l’expression de tensions structurelles ? Enchâssé dans l’entité géopolitique des Grands Lacs, le Kivu est partie prenante, d’un système régional de conflits. La guerre qui s’y déroule constitue une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC, et une menace pour la stabilité de toute la région : aujourd’hui plus que jamais le Kivu est la poudrière de l’Afrique Centrale. Dépuis l' année 2014, les rebelles multiplient des massacres et n’hésitent pas à s’attaquer même aux forces onusiennes. Ce groupe des rebelles sont, responsables de nombreuses exactions, et crime contre l' humanité, pour la plus part des populations civiles dans le territoire de Beni. Ils sont notamment accusés des plusieurs enlèvements des civils. Ils seraient également responsables des massacres de plusieurs dizaines de personnes dépuis, ce dernier temps. Supposé mis en déroute et démantelé, cet activisme criminel et terroriste ougandais ne cesse de dépouiller nos familles, nos villages, nos cités et nos villes de la main d’œuvre active, de ses intelligences, et d’une bonne partie de sa substance motrice ; lui privant ainsi de son potentiel le plus ultime. Les incursions couplées aux enlèvements de nos compatriotes et aux pillages des maigres ressources familiales dans la zone supposée « sous-contrôle » de nos troupes, ne cessent de s’opérer en toute quiétude.
Craignant pour leurs avenir, certains des compatriotes ayant échappé à cet activisme criminel, sont contraints de quitter leurs milieux pour rester à l’abri, abandonnant ainsi les activités agricoles, scolaires et de petit-commerce, au dépend de leur postérité. Il s’en suit la détérioration du tissu socioéconomique, mettant en péril le lendemain de toute une génération, car nos champs, nos écoles et notre petit-commerce se vident du jour au lendemain, avec toutes les conséquences révoltantes qui s’en suivent. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles.

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