Un nouveau combat àl' arme légère et automatique a été signalé, au Sud Est de Beni térritoire, entre les militaires Fardc, et un groupe des hommes minue, des armes à feu, et des armes blanche, idatifié, aux groupe des rébélles étrangers, auteurs des plusieurs éxacions et crime contre l'umanité, selon une source millitaire dans la région de Beni, deux soldats habillés en uniformes del' armé ougandaise UPDf ont, étaient tués, dans un échange des tirs avec l’armée dela République Démocratique du Congo, à Kanyatsi, situé dans la partie Nord dela province du Nord-Kivu, àl' Est du pay, précise le porte parole d' opération Sukula 1 Mac Azukay Mungba dans sont, dernier message sur sont compte facebook daté du 10 juillet 2016.

Les deux soldats habillés en tenues ougandaises ont étaient tués, de nouveau lorsque l’armée a infligé une frappe à un groupe de porteurs d’armes à feu, assimilés à des éléments de l’armée ougandaise dimanche 10 juillet 2016 à Kanyatsi non loin de Kotongo, une localité, situé dans le groupement des Basongora.
Selon nos sources à Kasindi, ces éléments en uniformes ougandais ont été aperçus dans le parc des Virunga. Du coup, les FARDC ont été alertées et sont allées leurs barrer la route. A part ces soldats tués, d’autres se sont jetés dans la rivière SEMULIKI. D’autres encore se sont dispersés dans le parc. Aucune de leurs traces n’est encore dévoilée, à en croire des sources militaires à Kasindi.
On ne sait encore rien sur les vraies raisons de la présence de ces porteurs d’armes qui seraient de l’armée ougandaise sur le sol congolais. Les habitants de Kasindi-Lubiriha ont été alertés pour voir ceux qui, selon des sources militaires, sont en train de décimer de pauvres congolais.
Les deux corps sont restés exposés au camp militaire des FARDC à Kasindi aux heures vespérales de ce dimanche 10 juillet, rapportent des confrères de la RASO KASINDI. Deux armes ont aussi été récupérées. Cela arrive après une nouvel incursion des criminels à Oicha mardi dernier. Vendredi 01 juillet 2016, un convoi, des hommes armés non autrement identifiés, ont été aperçus, dans le parage de la bourgade de Kyavinyonge, au Sud Est du Territoire de Beni, en Chefferie des Bashu, vers groupement Isale Kasongwere.
Vikingi, est un village situé à près de 10km à l’ouest de Kyavinyonge. Des sources sur place parlent d’environs 50 personnes lourdement armées, majoritairement des hommes. Après avoir été aperçus par des villageois, ces hommes armés se seraient installés à VIKINGI, un ancien poste de patrouille des gardes de parcs. Notre source ne sait pas confirmer que ces hommes se trouvent toujours dans cette position en cette date de publication de cette alerte (06 juillet 2016). De passage dans le village de Kitholu, cette cohorte d’homme armés a extorqué 20 dollars, violé au moins une femme et emporté d’autres biens de valeurs, dont des poissons. Une source sécuritaire contactée dans le milieu dit ne pas être au courant de ce mouvement d’hommes armés. Toute fois, des acteurs dans le milieu soupçonnent que ces hommes appartiendraient aux groupes armés qui massacrent des civils dans le Nord du Territoire de Beni et ou des infiltrés en provenance d’on ne sait où. Selon la même source, une autre colonne d’hommes armés inconnus venait d’être aperçue par un paysan qui sortait la nuit se soulager dehors, dans la région comprise entre Kasindi-Lume et Kyavinyonge. Pour des raisons de sécurité, nous taisons le nom et les adresses de ce témoin. Ce témoin indique avoir informé les services de sécurité de cette infiltration.
Une zone devenue un réservoir d’hommes armés, une bombe à retardement
La zone actuellement occupée par ces hommes armés se situe entre les escarpements du Mont Kyavirimu et le Lac Edouard. Difficile d’accès, la zone est traversée par d’anciennes pistes touristiques actuellement empruntées par des braconniers et des gardes parcs. Tellement en brousse, ces pistes permettent une bonne dissimilation aux bandits armés. Ces dernières années, dans la même zone, des mouvements similaires ont été signalés dans ces endroits et des attaques contre les civils ou des positions des gardes parc n’ont pas été les moindres. Certaines sources évoquent la possibilité qu’il existe des caches d’armes dans cette vallée du Graben, tout au long de la rivière Semuliki, pour une probable explosion de la région par une rébellion dont les visées ne sont pas encore jusque là connues. En l’absence d’une présence significative de l’État, pas moins de 40 groupes armés opèrent dans la région, où persiste une crise humanitaire chronique.
L’est de la RDC compte 2,6 millions de personnes déplacées et 6,4 millions de personnes en besoin d’aide alimentaire d’urgence.« L’un des moyens de prévoir à quel endroit émergera une nouvelle insurrection en RDC est d’observer les mouvements passés : les groupes armés engendrent des groupes armés, puisque les chefs militaires tirent avantage des réseaux existants d’anciens combattants et ravivent les liens avec les trafiquants, les marchands d’armes et les mineurs »
« La complexité de la guerre dans l’est du Congo, avec son réseau inextricable d’acteurs poursuivant un grand nombre d’intérêts, peut être accablante et déroutante. La région est propice à l’éclosion et au développement de groupes armés et de seigneurs de guerre », note le projet Enough.
« L’un des moyens de prévoir à quel endroit émergera une nouvelle insurrection en RDC est d’observer les mouvements passés : les groupes armés engendrent des groupes armés, puisque les chefs militaires tirent avantage des réseaux existants d’anciens combattants et ravivent les liens avec les trafiquants, les marchands d’armes et les mineurs » indique un rapport du projet Usalama.

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