Dans un message de condoléance adressé, à toute les familles endeullés, par le nouveau carnage samedi dernier, dans la partie Est de Beni ville, le Gouverneur dela province du Nord-Kivu Julien Kahongya qui a dénoncé, les actes des terroristes perpétrés, encore une fois, contre les habitants victimes des tuerries sauvage dela part des rébélles étrangers dans la ville de Beni. Signalons ici bas que, les gens qui sont tués, le samedi dernier, lors de cette incusrion seront, inhumer, ce lundi 15 août de cette année 2016, selon une source officiel, et celle, dela société civile urbain, de Beni ville. Toute fois, un climat des tensions a été, très tendu, au sein dela population, et les policiers, présent, dans la ville ! Pendant ce temp, quelques habitants civils, ont descendu, dans la rue, pour protester, encore une fois, contre le nouveau cas, de carnage ! Face à cette situation, les policiers qui étaient non loin de ce lieu, se sont rendu, sur place, en dispersant, les manifestants avec des gaz lacrymogènes, et le calme est revenu, un peu plus tard, dans la journée du dimanche. Après une nouvel tuerries des civils dans le quartier Rwangoma situé, dans la partie Est de Beni ville, province du Nord-Kivu vers l'Est dela République Démocratique du Congo, dans la soirée du samedi dernier, 13 août 2016, le gouverneur dela province originaire de cette partie du Nord-Kivu, Julien Paluku a appellé, la population de cette région, à la vigilance et en soutinant les millitaires aux Fardc, engagés, dans différents lignes des fronts, contre les rébélles étrangers, présent, dans le Nord du térritoire Beni, où on continu de compter, les morts des civils victimes, des massacres, vols, incendies, et les déplacements massif dela population, qui ont, peur d'être la cible des actes de térrorisme en cours dans la région, ce dernier temp. Pendant ce temp, les habitants vivant dans le conté Est de Beni ville, ont vidés, leurs domicile, en se déplaçant, vers la partie Ouest, de ville. Le bilan, fait état de plus de 68 morts, à majorité, des hommes, femmes et enfants, ont été, tués avec les armes blanche, selon une source dela société civile de Beni ville.

Un convoi d’assaillants, munis d’armes blanches, de fusils et habillés en tenues militaires, ont été aperçus par la population dans la brousse non loin de la zone du massacre. Mais, selon le gouvernement, central, ces actes terroristes n’arrêteront pas, la détermination du Commandant Suprême auprès de nos forces armées, pour que, la paix revienne sur toute l’étendu de la partie Est de la RDC, garanti le Chef de l’Exécutif au Nord-Kivu qui formule l’appel du Chef de l’Etat à la communauté internationale comme, cela se fait lors des actes terroristes perpétrés au Mali, Nigeria, Cameroun, USA, en France, en Belgique et dans d’autres pays victimes des actes barbares.
Julien Paluku a indiqué, que, « d’autres mesures seront, annoncées dans les prochaines heures au sujet des solutions à la crise qui sévit à Beni et environs ».
Des sources sur place indiquent que c’est au tour de 18 heures que, les assaillants ont tenté leurs infiltration, dans la ville de Beni à partir des collines de Kalau, Mbelu, Rwangoma et Kalongo. Suspectés par les paysans qui revenaient de champs, les hors-la-loi se sont livrés, à des tueries indistectives de toute personne sur leurs passage avant que l’Armée régulière n’intervienne.
C’est dans la matinée de ce dimanche 14 août 2016 que, la recherche des corps a été amorcée, par les volontaires de la Croix Rouge de la RDC appuyée par les agents de service de la Protection civile. A 12 heures du dimanche 14 aout 2016, le bilan provisoire faisait, état des 36 personnes tuées dont 22 hommes et 14 femmes ligotés et tués, a signifié l’Autorité provinciale a relayé le message des condoléances les plus émues du Président en séjour au Nord-Kivu à la population de Beni qui a encore une fois été frappées, par ces actes terroristes d’origines diverses dont, l’objectif est de saboter les efforts de paix entrepris dépuis deux ans.
« Pour permettre une surveillance continue de l’ennemi, instruction est donnée à toutes les autorités à la base d’organiser un contrôle citoyen à partir de trois maisons et de rendre compte des personnes suspectes ou de mouvements suspects observés », assure Julien Paluku qui appel également « les acteurs politiques et sociaux de ne ménager aucun effort pour joindre leur contribution à celles des Fardc qui font actuellement face à une menace terroriste jamais vécue dans la région ». Le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku Kahongya a réagit aux tueries récemment enregistrées dans la ville de Beni en appelant «la population à la vigilance et au soutien aux Forces armées de la République démocratique du Congo pour qu’elles viennent à bout de ces terroristes islamistes qui son traqués depuis plusieurs opérations à savoir celle de 2005, celle de 2010 et celle débutées en 2014».
24 mois de massacres:
Dépuis octobre 2014, la région de Beni, au Nord-Kivu, est victime de massacres à répétition. Selon les sources, entre 500 et 1.000 civils ont été tués, le plus souvent à l’arme blanche. Une série de massacres sans fin que les autorités congolaises attribuent régulièrement aux Allied Democratic Forces (ADF), une rébellion ougandaise installée depuis plus de 20 ans dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC). Mais ce qui révolte le plus la population, c’est l’impuissance de l’armée congolaise et des casques bleus des Nations unies. Armée et casques bleus impuissants
Pourtant en mars, un rapport du Groupe d’étude sur le Congo (GEC) apportait un nouvel éclairage sur les tueries de Beni, espérant pouvoir faire évoluer la situation sur le terrain. Selon l’enquête, les responsabilités des massacres ne s’arrêteraient au cercle des simples ADF. Des officiers FARDC l’armée régulière, et des anciens rebelles du RCD-KML seraient également impliqués. Ce qui expliquerait « l’impuissance » des autorités congolaises voir notre article. On pouvait espérer que, les responsables politiques prendraient alors la mesure des ambiguïtés de l’armée congolaise et réagiraient rapidement. Hélas, rien n’a été fait. Idem pour la Monusco. La mission de l’ONU au Congo est bien présente sur la zone, mais elle ne se limite le plus souvent que par une protection « statique », dépuis des bases dont les troupes ne sortent que pour des patrouilles « limitées ». Les pays contributeurs à la mission des casques donnent des consignes pour que, ses troupes ne s’engagent pas dans « des opérations risquées. » Le président Joseph Kabila a même fait le déplacement deux fois dans la région de Beni, promettant une « réorganisation » de l’armée congolaise pour être plus efficace. Peine perdue. La complexité de la structure des groupes armés, leurs accointances avec certains officiers de l’armée régulière et leurs ralliements avec d’autres groupes en fonction des circonstances, feront de cette région une poudrière inextricable tant que l’autorité de l’Etat ne sera pas rétablie. La Monusco, qui a fêté ses 17 ans de présence en RDC, et le président congolais, qui tente de s’accrocher, sur son fauteuil.

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