Plus de trente six personnes sont, massacrés sauvagement, dans une nouvelle tuerie, des habitants civils qui s'est, produite, dans la soirée du samedi 13 août 2016, vers 19 heures locale à Beni, ville. Plusieurs morts sont enrégistrés, conté, des habitants civils victimes des actes d'incivique. D'autres civils ont été, portés disparue, lors de cette incursion dans la même soirée du samedi, qui, a provoqué, une violente de manifestation, tôt le matin de cette ville de Beni, situé, vers l'est de la République démocratique du Congo, déjà théâtre dépuis des années, des massacre successive attribué, aux rebelles ougandais ayant fait une trentaine de morts, parmi les civils victimes des plusieurs éxactions, et crimes grave contre l'humanité, dans la région de Beni. Mais d'après une sources dela société de Beni ville, le bilan pourait s'alourdir peut êtres dans les heures à venir tôt ou tard. Cette nouvelle tuerie a eu lieu quelques heures seulement, après le départ du président Joseph Kabila qui a venu, promettre une réaction ferme à cette série de massacres à Beni ville, et térritoire, en proie des actes de térrisme contre la population, ce dernier temps.

Vive tensions, et un climat d'épiscose générale s'observe dépuis le matin, de ce dimanche 14 août 2016, au sein de la population à Beni-ville suite à une attaque violemment à sa périphérie par les égorgeurs. À ce que l’on sache, une quelconque incursion des ADF/NALU n’a jamais été signalée à Rwangoma depuis toute l’histoire de cette rébellion dans la région. L’évidence est plutôt cette réalité des égorgeurs qui, de par l’assurance reçue du pouvoir en place pour un « laisser-faire » sans limite, peuvent se permettre de frapper n’importe où et n’importe quand. C’est une situation qui intervient à la tombée de nuit de ce samedi. Une attaque s’est subitement effondrée sur ce quartier en pleine soirée dont les habitants, cherchant à se sauver la vie se sont déversés au cœur de la ville. Des cas de mort sont déjà signalés sans préciser tout de suite le bilan exact. Mais d’emblée, il est annoncé la mort de deux taximen dudit quartier. Après l'attaque meurtrière des rébélles étrangers, contre les civils tous habitants, vers la partie Est de Beni ville, dans la soirée du samedi 13 août dela'année en courent, on compte maintenant plus de 40 personnes massacrés a machette par les rébélles étrangers au quartier RWANGOMA, dans la partie Est de Beni ville. La colère gronde
Le regain de violence dans la zone de Beni suscite la colère des populations locales qui ont le sentiment d’être délaissées par les autorités congolaises et les casques bleus des Nations-unies. (Monusco). Qui pourra arrêter les massacres à répétition dans la région de Beni, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) ? La longue litanie des attaques d’hommes armés contre les populations civiles vient encore de s’allonger cette semaine dans ce territoire du Nord-Kivu. un nouveau « carnage » à Beni provoque une manifestation violente. Citant des témoins, M. Kataliko a ajouté que les responsables sont des éléments "présumés appartenir à l’ADF", la rébellion des musulmans ougandais des Forces démocratiques alliées à laquelle sont attribués les autres carnages. "Toutes les dépouilles sont arrivées à la morgue, il y a huit corps. Il y a un enfant, trois femmes, le reste sont des hommes. Deux militaires ont été tués par balle, l’enfant a été percé par un couteau et les autres par machette", témoigne à l’AFP Chirac Katalya, journaliste et membre de société civile. « Plusieurs groupes armés sont opérationnels dans cette zone : des Maï-Maï, les ADF et d’autres groupes. Ce qui se passe aujourd’hui n’est pas ce que faisaient les anciens ADF. Les choses se sont compliquées aussi depuis qu’on a appris que même des natifs de la région s’y impliqueraient… », commente-t-il.
D’autres continuent de s’interroger sur l’identité ADF qu’on attribue aux assassinst. « Ils pouvaient kidnapper des gens oui, mais, là aussi, on savait qu’ils étaient d’origine ougandaise. Ceux-ci, on a difficile à les identifier. Des versions divergent… », explique un habitant d’Oicha ayant requis l’anonymat.
Il y a quelques jours, une organisation de défense des droits de l’homme de Beni a publié un rapport sur ces massacres. « Il est possible que des rebelles de l’ex-M23 soient impliqués dans ces massacres. Ils seraient venus de l’Ouganda voisin où ils ont fui après le baptême de feu des FARDC », pense-t-il. « Nous venons voir et essayer de comprendre les enjeux de cette insécurité et voir comment, ensemble avec le comité local de sécurité, juguler cette problématique », a-t-il expliqué à la presse.
Les versions sur les vrais auteurs de ces massacres continuent en effet de diverger bien que le procès dernièrement organisé dans ce dossier ait prouvé qu’il s’agit bien de rebelles de l’ADF.
C’est la même version qui est donnée par les autorités gouvernementales. Mais dans le grand Nord-Kivu, des curieux continuent à s’interroger sur ceux qui tuent réellement des gens aussi massivement alors que cela n’a jamais été vécu dans la zone.
Les quelques rescapés de ces massacres déjà interrogés donnent différentes versions, disant notamment que « ces tueurs s’habillent en tuniques blanches, ils s’expriment en kiswahili, en kinyarwanda, en kiganda et quelques fois en lingala».
La population exige « une enquête internationale »
Après ce nouveau carnage, des langues se délient enfin. La population exige, cette fois-ci, « une enquête internationale parce que ce qui est fait jusque-là semble impliquer même des possibles prévenus… ». Après des incursions successives des ADF-NALU en localités de LINZO-SISENE, MAYI-MOYA, KISIKI et MAIBO en Groupement de BAMBUBA-KISIKI (sur l’axe OICHA-ERINGETI, dans le Secteur de BENI-MBAU),les terroristes de l’ADF-NALU viennent d’opérer, un véritable carnage à Beni ville, la cible d'attaques successive. Cette nouvelle démonstration de ceux qui sont présentés comme étant des rebelles ougandais de l’ADF prouve que la paix n’est pas encore revenue complètement dans la zone. Le gouvernement, la société civile et même la Monusco ont immédiatement accusé ce même rebelles.

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