Pourqu'oi la plus part dela population en République Démocratique Du Congo, s'attaque souvent contre les engins dela Monusco ? Surtout dans la province del'Ituri, et du Nord-Kivu où, la situation sécuritaire ce dernier temp, est très préoccupante, pour cause dela présence des groupes armés, qui térrorisent les habitants, victimes des tuerries, à répétition, et crimes grave contre l'humanité en cours dans les deux provinces voisines. La monusco est accusée par la même population, de «tourisme militaire» en RDC, et le trafic ilicite des armes pour les groupes armés dans la région. Dans le passé, un Député originaire du Nord-Kivu rémpondant au nom de Venant Tsipasa qui était en vacance parlementaire dan cette partie du pay, a fait allusion ne fait plus partie des forces des Nations Unies à Miriki. Voici ici bas les accusations du député Venant Tshipasa contre à Monusco ! A propos de cette insécurité au sud du territoire de Lubero au Nord-Kivu, Venant Tshipasa a dénoncé, la responsabilité des rebelles FDLR et des groupes Maï-Maï, affirmant que « des séances de formation en usage des armes blanches et à feu se déroulent dans des bastions de ces rebelles ». Les formés sont, souvent des jeunes dépourvus d’emploi. Se référant aux propos de la notabilité de certains villages des territoires de Walikale et de Lubero qu’il dit avoir « consulté » pendant ses vacances parlementaires, ce député a révèélé que « cela se passe dans des camps à Mashuta, Kalonge, Mwekwe et Kashugano à la limite des territoires de Lubero et Walikale ». « Le chargé de recrutement s’appelle Nzika Havugimana Mista de Nyatura. L’inscription des recrues est assurée par ces chefs miliciens : un certain Jean-Marie, Jackson, Nemea et Innocent Harindimana. Ce dernier a initié même une opération d’achat d’armes dite « Achat Fimbo », a précisé Venant Tshipasa. « Les Hutu, qui s’abstiennent à adhérer à cette philosophie, sont négativement sanctionnés par les FDLR. D’ailleurs, j’ai une invitation d’un homme qui devrait être puni par ce groupe rebelle », a indiqué le député. « Parmi leurs moyens de défense, il y a des machettes que ces combattants obtiennent de la Monusco. La Monusco continue à fournir des armes aux FDLR. Le major Yack Pathel, commandant Monusco, a plusieurs fois apporté des armes au colonel Kizito à Buleusa et des machettes en échange avec du chanvre et des minerais. C’est pourquoi les FARDC ne sauront pas réussir la traque des FDLR avec la MONUSCO », a insisté le député Tshipasa. S’appuyant sur cette triste réalité, la population de Miriki a initié une pétition exigeant le « départ » de la Monusco. « Plus de dix mille signatures sont déjà enregistrées. Je me demande d’ailleurs pourquoi la Monusco demeure là où la population ne veut pas d’elle et la désavoue », s’est-il interrogé, sans passer par quatre chemins. Par ailleurs, a-t-il signalé, « les Hutu à leur tour se réunissent pour planifier la déstabilisation de la région et préparer leur installation ». « Celui qui a distribué des armes il y a des années et des années n’a jamais été puni. Nous savons que des réunions se tiennent à Kinshasa sur les projets de la traque des Nande et créer la province des rwandophones…Je détiens des preuves tangibles à propos de tout cela et je suis prêt à en débattre avec qui voudra me contredire», a conclu le député Venant Tshipasa. Peut être après l'analyse des propos du Député national Tsipasa que, les habitants de Bunia ont voulu s'attaqué, contre l'engin dela Monusco. !

Vive tensions à été signalé entre les policiers, et les habitants de Bunia, dans l'avant midi du jeudi 18 août 2016 ! Pour cause, un engin roulant dela Monusco plein des, materiaux, avec beaucoup, des autres éffets déstiner, pour les millitaires, Casque-Bleu dela Monusco présent, aussi dans la ville de Bunia, et dans toute province del'Ituri. Rappellons que, cette engin dela Monusco, est arrivé à Bunia, en provenance du Kenya ! Des faulles rumeurs a été déja circulé, au sein des habitants civils qui ont pris d'assaut, sans succès, le quartier dela Monusco situé à Bunia. Et après ça n'est suivi les jets des cailloux contre les bâtiments, dans les quels les gens dela Monusco travaillent. Sans tardé, les policiers qui étaient non loin dela base des millitaires dela Monusco, ont dispérisés les gens qui étaient nombreux, à majorité des jeunes garçons, filles, qui croyaient que, les membres dela Monusco, ont importé des armes à feu, et des armes blanche, dans leurs engin, peut être dans l'objectif, d'aller massacrer les civils à Ville de Bunia, et ses environt comme ça c'est fait del'autre conté, de Beni térritoire, situé, dans le Nord, dela province du Nord-Kivu.
Que ce qui s'est passé dans le chef lieu dela province del'Ituri ?
Sélon un amie qui était là sur place, on digère ces inactions avec impatience très, regrettable et de notre côté, ce matin on venait d'apprendre que la nuit d'aujourd'hui on a arrêté un camion remorque transportant des armes blanches et armes à feu d'origine non encore identifié juste à l'entrée de Bunia dernière barrière de contrôle sur la route Bunia - Kivu à LENGABHO et les acteurs sécuritaires de l'Ituri sont impliqués dans cette enquête.
Avec les enquêtes on a découvert que c'étaient deux camions de la MONUSCO qui faisaient ce traique des armes blanches et armes à feu; à cet effet, la journée d'aujourd'hui a été bouillante contre la MONUSCO, c'est-à-dire, une forte manifestation de la population dans le camp de la MONUSCO au CAMP NDOROMO dans le but de destabiliser et chasser la MONUSCO de Bunia et de l'ITURI en entièreté. Donc un climat des tensions été très tendu, dans la journée du jeudi dernier Mais après la vérification de ce qui s'est trouvé dans l'engin, le gouverneur dela province Aboudala Pene Mbaka, a démenti cette information, dans la soirée, de ce même jeudi, en le qualifiant, tout simplement l'intoxication dela population par certains, politiciens mal intentionés.
Dans le Nord dela province du Nord-Kivu précisement, àl' Est de Beni térritoire, nous avons apris, dans l'avant midi du jeudi 18 août que, dans la chefferie de watalinga, groupement de Bahumu, la population du village Mampopio, bugando et Kichanga, sont des villages tres proche de l'ouganda, qui on vu, trois vehicules plein des millitaires ougandais de l'updf a butogho un village de l'ouganda mais proche de la République Démocratique du Congo. Ce village est separé de la RDC par la riviere lamia. Selon des informations a notre pocession, tous se millitaires se sont, volatilisé dans la nature et jusque là personnes ne connais pas ou ils se sont dirigés. Nous suivons de très pret leurs, mouvement ns a indiqué un habitat de Kichanga.
Bien que la situation securitaire soit rendue au claire par les autorités de la province, après une panique generalisée de cet après midi ici à Bunia, certaines personnes restent toujours septiques face à ce, et doutent encore du message de ces autorités qui ont dementi l'information selon laquelle il y aurait des armes blanches decouvertes dans un conteneur de la MONUSCO. Pour Le Moment C'est la psychose qui gagne le coeur des gens Ici. Bien que la situation securitaire soit rendue au claire par les autorités de la province, après une panique generalisée de cet après midi, dans cette partie Est du térritoire de Beni, et dans la ville de Bunia, où certaines personnes restent toujours septiques face à ce, et doutent encore du message de ces autorités qui ont dementi l'information selon laquelle il y aurait des armes blanches decouvertes dans un conteneur de la MONUSCO. Pour Le Moment C'est la psychose qui gagne le coeur des gens Ici.
Les égorgeurs bouclent le village de Kisima, situé au conté Est de Beni ville selon une source de benilubero.com, la population en débandade ! A l’approche du couché de soleil de ce jeudi 18 août 2016, un groupe considérable « d’égorgeurs » est signalé être en train de boucler le village de KISIMA, en vue d’y déclencher bientôt de massacres. La population, en panique, est en train de fuir en débandade sans aucun espoir d’assistance.
Kisima est un village se trouvant dans la collectivité de Rwenzori et situé à 15 kilomètres de la ville de Beni, sur l’axe routier qui mène vers le poste frontalier de Kasindi. Ce village est localisé précisément à mi-chemin entre Beni et Bulongo.
Il y aurait lieu que les autorités stimulent les FARDC en vue d’une urgente intervention de secours en faveur de la population civile, afin d’éviter un nouveau carnage.

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