Une panique dela crainte a été observé, au sein des habitants civile, dans la nuit du lundi, à mardi 16 août 2016 surtout, dans la partie Est dela commune Rurale d'Oicha, situé, dans le Nord dela province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo. Presque les habitants de tout les quartiers de cette commune, ont passé, la nuit du lundi, à belle étoile. Àla base, une tension généralisée qui a gagné, Oicha, acause d'une nouvel, faisant, état d'une nouveil incursion des rébélles Ougandais, des Adf-Nalu, vers 2heures du matin à Oicha. En éffet, les agitations a commencé, autour de 20heures locale, dans la célule MAMUNDIOMA, au conté del'église C.E.E, ex CAFEZA, situé dans le quartier Masosi, vers la partie Sud-Est del'église C.B.C.A, tout près del'ETS del'ISP-OICHA à Chawisiko où la population de ce conté, à dénoncé, la présence des hommes non autrement idafifié, vers 18heures, en occasionnant, un déplacement massif dela population, vers d'autres quartiers, Jugé par elle, le mieux sécurisés. Selon un membre de la société civile dela place, les habitants avaient peur d'être victimes des actes des massacres successive dela part des rébélles Adf-nalu qui ciblent les civils qui sont victimes de plus en plus.

Pendant la même nuit, cette nouveil a circulé plus rapidement au sein des habitants, partout à Oicha, ce qui a poussé, les gens à majorité des hommes, femmes, et enfants, à se déplacés, dans la nuit, vers le centre d'Oicha.
Signalons ici bas que, ce qui à gravé la situation pendant ce temp nocturne, c'est les créputements d'une arme individuel du type AK-47 qui été mal utilisé, par un millitaire Fardc en état d'ivresse, aux environt de 2heures locale, ce qui a plongé, les habitants d'Oicha, dans un climat d'épiscose. En tout cas, c'estait une véritable débandade populaire, sur toute partie Est d'Oicha, la cible d'une nouvel attaque meurtrière, dans la soirée du samedi 30 juillet 2016 où, trois habitants civils, avec quatres rébélles, ont trouvaient la mort, au cours d'une incursion des rébélles, attribuées aux Adf, ce jours là, et plus de dix assaillants ont été capturés par les millitaires engagés dans les combats, contre les criminels des actes inciviques, à Oicha. Mr Kasereka Kasayiro, un membre permenant dela société civile de Beni térritoire, qui a confirmé, cette nouvel, demande encore de plus, aux autorites, nationale, provincial, et térritorial, de finir une fois pour toute avec des phénomène Adf, Dassault la région de Beni, instable pour cause des massacres successive, incendies, vols, déplacements massif des la population, et des maisons d'habitantion abandonnés dans des villages périphériques de Beni ville, et Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, situé sur le tronçon routier, Beni Kisangani. Ce dernier temp dans la ville de Beni et térritoire, les rébélles idatifiés, au groupe des Adf-Nalu, sont accusés, d'être responsable des plusieurs éxactions, et crime grave contre l'humanité dépuis des années dans cette partie Nord dela province du Nordd-Kivu.
Le lundi 15 août 2016, toute activités sociaux, économique ont été paralysés à Beni ville où, les habitants endeullés par une serie de nouveau massacres enrégistré, dans la soirée du samedi dernier 13 août 2016 précisement, dans la partie Est du quartier Rangoma situé, dans la commune BEU. Les habitants continu de pleurer plus de quarante personnes qui ont péri, sous le cou des machettes, et haches, des rébélles inciviques Ougandais, des Adf, présent, dans cette région de Beni.
En ce qui concerne le changement d'uniforme millitaires engagés dans les combats en cours contre ce même rébélles Adf dans le térritoire de Beni, lundi 15 août 2016 le commandant du sécteur dans le grand Nord, le générale de Brigade Marcel Mbangu Mashita est allé, montré l'échatillon del'uniforme millitaire, qui doivent porter désormain, tout les millitaires, Fardc, engagés, dans l'opération Sukula 1, au près du maire dela ville de Beni, Jean Édmond Bwana Kawa Masumbuko Nyonyi. Sélon le même générale, la tenue est en couleur verte toute entière, pour éviter la confusion entre les militaires Fardc, del'armée régulière, et les rébélles qui opérent souvent, avec la même couleur des millitaires loyalistes présent sur toute étendu dela République Démocratique du Congo, la RDC.
Un jour après le carnage des présumés Adf contre les civils à Beni ville, les activités n'ont tournés comme d'abitude dans la la journée du lundi 15 août dernier ici à Oicha, chef lieu du térritoire de Beni. Même si quelques portes des boutiques, kiosques, alimentions, et petit commerces, ont été ouvert. En tout cas, c'est dans la majeur parties, des activités, qui n'ont pas, fonctionés comme d'abitude dans toute journée du lundi, à Beni ville, et presque dans tout les aglomérations du térritoire de Beni, cités ci désous, à savoir : Mavivi, Mangina, Bulongo, Mutwana, Oicha, Eringeti, May Moya, Mbau, Maboya, Kamango, etc... Aujourd’hui, plus qu’hier, bien que l’échec de la pensée et la montée d’une nouvelle barbarie nous mettent en face de la banalisation de la vie humaine en territoire de Beni, à l’Est de la République Démocratique du Congo, j’ai tout de même un rêve. Mais devant tant des massacres, faudrait-il rêver ou serait-il impérieux d’agir? Certes, on peut choisir d’agir mais on ne choisit pas de rêver. Sinon, j’aurais choisi d’agir plutôt que de rêver. Le rêve, cependant, peut avoir une origine. Pour ce qui me concerne, il s’agit d’une histoire récente. Je fus tellement affecté par la situation de ma région que je souffrais des malheurs des populations condamnées à la peur, aux craintes face à l’approche de la nuit et à l’incertitude permanente du lendemain. Je cherchai en esprit une communion de tendresse dans une passionnante méditation qui suscitait en moi cette prière du Missel Catholique Romain concluant le Notre Père: délivre-nous de tout mal Seigneur et donne la paix à notre temps.
Que d’innocents! Tués en arme blanche! Que d’instabilité sécuritaire pour une seule région! Le territoire de Beni est plongé dans une spirale de chaos, de barbarie qui n’a pas de nom et qui ne fait que révéler la faiblesse de l’Etat Congolais qu’on en revient à le croire un non Etat, un Etat en faillite.

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