iPhone 7 : le smartphone le plus puissant du moment Avis d'expert :Au petit jeu des comparatifs, le dernier né d'Apple écrase la concurrence, notamment le Galaxy S7 de Samsung qui se retrouve 8e. Personne n'utilise ni n'a besoin des performances maximales de son smartphone. Mais comme pour une voiture, les utilisateurs aiment savoir qui a le plus gros moteur, sûrement une histoire d'ego... Dans l'univers de la téléphonie, différents spécialistes proposent ainsi des classements, notamment de performances brutes (puissance de calcul), comme le désormais incontournable. !

Ses experts ont mis la main sur le dernier iPhone 7 et selon eux, le smartphone d'Apple est de loin le plus puissant du marché, en tout cas dans ce critère. Le terminal atteint le score de 178.397 points (+33% par rapport à l'iPhone 6s), déjà très loin le OnePlus 3 qui affiche 140.288 points. La pomme peut se targuer de distancer son principal concurrent, le Galaxy S7 qui ne se classe que huitième avec 134.599 points.
Si l'iPhone 7 ne dispose que de 2 Go de RAM, il profite du dernier processeur maison A10 Fusion qui semble surperformer par rapport à la concurrence. Reste à savoir combien de temps. Certains fabricants, parfois obscurs, aiment afficher des performances hors-normes même si encore une fois, elles sont peu représentatives dans le cadre de l'expérience utilisateur moyenne. Le point fort de la transformation des organisations, grâce à des initiatives "digitales", est qu'elle interroge tous les modes de fonctionnement de l'entreprise. Elle part d'une analyse globale des stratégies vitales en englobant la contribution de tous les services à toutes les activités. Un adjectif résume bien cette nécessaire vision globale, multi-dimensionnelle et exhaustive : holistique.
Autrement dit, il ne s'agit plus seulement d'optimiser le fonctionnement des services ou de fluidifier le traitement des dossiers clients en empilant des applicatifs, même très innovants. La véritable ambition portée par la transformation digitale vise à moderniser et optimiser l'ensemble des rouages de l'entreprise de façon concertée et globale, et autant que possible dans une échelle de temps raccourcie. Ainsi, cette transformation implique une refonte sinon une profonde réadaptation ou réalignement de l’existant - qu'il s'agisse de l'infrastructure IT, des services web ou de fonctions spécialisées comme les RH, le marketing/commercial, la communication, etc.
Au centre, l’expérience client
Récemment, un analyste du cabinet Forrester rappelait que l'expérience client doit rester « au cœur du développement digital, au centre des interactions avec la marque ».
Trois dimensions s'imposent, selon lui: la dimension organisationnelle, les process opérationnels et la technologie – "afin de lutter contre les silos traditionnels et le manque d'alignement avec la stratégie". Autre constat : beaucoup d'organisations admettent ne pas avoir toutes les ressources en interne "pour parvenir à une transformation suffisamment mature digitalement parlant. Qui détermine les étapes ? Qui pilote l'ensemble? Qui mesure le succès? D'où le recours logique à un partenaire, qui soit capable de s’engager jusqu’à garantir un "time-to-market" plus court".
Forrester constate que seulement 5% des entreprises considèrent avoir "mastérisé" leur transformation digitale à un point significatif de différenciation.
La nécessité d’une approche globale
Avec les mêmes arguments, Sopra Steria publie un Livre blanc de 88 pages, qui confirme cette nécessité d'une approche globale. "Pour une entreprise ou une organisation, la transformation digitale est le stade le plus abouti du changement", explique le préambule. Outre des réflexions originales sur les stratégies possibles, ce copieux document, très illustré, se présente comme un Guide des "best practices". Des questions clés sont posées : comment le digital sert la stratégie de l’entreprise ? Comment la DSI peut réussir à construire sa Digital Booster Platform ? Et comment les métiers peuvent conduire leurs projets de transformation digitale?
Trouver les idées ne serait pas le plus difficile : "la vraie difficulté est dans l’exécution du projet : comment laisser les idées émerger, se donner le droit à l’erreur et déployer très vite ce qui fonctionne". L'essentiel serait donc là : "articuler et rapprocher stratégie et exécution", expliquent les auteurs du Livre blanc.
Insuffler un esprit d’aventure
Un point important est relevé : bien structurer son SI et ses projets SI. "Tout cela ne peut se faire que dans une démarche holistique et itérative, en insufflant dans le projet un véritable esprit d’aventure… et même une certaine dose de plaisir pour les équipes".
En résumé, le document recommande de développer le travail collaboratif, de simplifier les outils, de réduire le nombre de plateformes. Mais attention, prévient-il: les actions menées doivent avoir une réelle dimension humaine. Il faut savoir redonner du plaisir au travail, séduire les jeunes collaborateurs. Il s'agit donc d'apporter des améliorations visibles dans l'organisation du travail. Cinq axes sont proposés pour choisir méthodologies et technologies. Et six règles sont recommandées pour réussir un projet métier. Le document explique également comment le SI digital répond à quatre lois. Dans cette logique, on peut concevoir que toute l’infrastructure soit mise en oeuvre "as a platform".
Une méthodologie matricielle
Sopra Steria Consulting décrit également sa méthodologie DVG, pour Digital Value Grid. Elle permet de bâtir une grille de projets.

Commentaires