Les bandits armés ont ciblés de nouveau, quelques habitants dela ville de Beni, où plusieurs cas des vols nocturne sont enrégitrés ce dernier temp, dans le quartier Matonge, et Boyikene selon la société civile dela place ! Après le renforcement des effectifs de la police en ville de Beni, et Térritoire : Vers 20heures locale, dans la soirée du 06 septembre 2016, un cas de cambriolage a été signalé de nouveau, dans cette ville de Beni, situé, dans la partie Nord, dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo. Que ce qui se passé au justice ? Sélon une source d'un membre d'une ONG de Défence des Droits del'homme connu, sous le nom dela CRDH noyau de Beni ville, un groupe des gens armés non autrement identifié, ont tirés plusieurs cou des balles des armes individuel, qui a creé une épiscose au sein dela population au quartier Matonge et emporter téléphone et argent à 20h. Avant hier mercredi ils ont tirés sur une fillette de 14 ans à boikene et emporter 4500$ de Mr Kambale Lyavunda Le blanc. hier à 20h ils ont tiré sur un officier de fardc et dans des kiosques ils ont emporter del' argent, téléphones et une moto au quartier matonge à environ 200m de la résidence du maire de ville . Selon le témoin de l'événement, celui qui tirait portait la tenue de la police. !

Ce dernier jours, dans cette ville, la société civile, a enregistré une vingtaine d’attaques et vols armés depuis le début de ce mois dans la ville de Beni au Nord-Kivu.
Selon son président, Gilbert Kambale, les hommes armés entrent nuitamment dans les maisons et boutiques et arrachent de l’argent, des téléphones portables ainsi que d’autres biens de valeur aux habitants.
Les membres de cette structure demande aux autorités de prendre des mesures pour mettre fin au banditisme à Beni.
Du côté de la police nationale congolaise (PNC), l’inspecteur urbain de Beni, le colonel Flamand Baliwa Ngoy, assure que des dispositions sont déjà prises pour sécuriser les populations civiles.
Il affirme que deux bandits ont été blessé et deux autres capturés au cours d’une intervention de police.
Pour sa part, la police de la Monusco annonce des patrouilles mixtes avec la police congolaise ainsi que l’activation des postes de sécurité pour faire face au banditisme urbain à Beni.
Dans les Villes, cités, et agglomérations, aucune nuit ne passe sans, que ça soient signalés, des braquages, des vols à mains armées, des extorsions, des intimidations, des crépitements injustifiés de balles, des viols ou tentatives de viols, bref, des violations de droits humains, frisant au trouble de la quiétude quotidienne de la population.
Cela, curieusement, sous le regard impuissant des autorités militaires censées imposées la discipline militaire dans les rangs des hommes de troupes.
L’éradication de l’insécurité : telle est l’une des promesses faites aux populations du Nord-Kivu lors de la campagne électorale de 2011. Cette promesse a-t-elle été réalisée ? La réponse est « Non ». En effet, j’ai retrouvé l’insécurité au Nord-Kivu laquelle y sévit depuis des lustres. Comme en 2007, il m’a formellement été déconseillé ā partir de Kinshasa de prendre le bus entre Goma et Butembo. Aussi me suis-je ā contrecœur résolu ā payer un billet d’avion qui coûte plusieurs fois plus cher qu’un billet de bus. Il coûte 175$ pour un aller simple auxquels il faut ajouter la taxe d’embarquement soit 10$. Les actes de vandalisme, les braquages, les cambriolages, les assassinats et les viols des femmes sont toujours monnaie courante au Nord Kivu. Aussi n’est-il pas exagéré de soutenir que les habitants de cet espace géographique ont cessé d’être les propriétaires de leurs biens et -chose plus grave encore- même de leur vie en ceci que les brigands peuvent les leur arracher n’importe quand.
Leurs soif insatiable de rapine, de sadisme et de sang a dépouillé la vie des autres de son caractère sacré. Contrairement ā ce que voulaient les Constituants, la vie de l’homme au Congo est loin d’être sacrée.
Les inciviques peuvent impunément y mettre fin quand bon leur semble.
Ayant compris que la police ou l’armée n’intervient que plusieurs heures après leur forfait, les brigands opèrent tranquillement la nuit avec la quasi-certitude que personne ne les inquiétera. Cet état des choses troublant a été ā plusieurs reprises, dénoncé par les correspondants de Beni-Lubero. C’est seulement, au lendemain que, la police ou l’armée se sont déploiyés, sur les lieux de l’agression pour constater les dégâts et éventuellement, si mort d’hommes il y a, pour conduire la ou les dépouille(s) ā la morgue. Les policiers et les militaires prétendraient, selon ce que m’ont raconté les gens, qu’ils ne savent pas intervenir la nuit ā cause de l’obscurité. Ce qui veut dire que c’est peine perdue de les appeler au secours. Mais de l’avis des populations paysannes aux prises elles aussi avec l’insécurité, cet argument ne pourrait tenir debout que, si au lever du soleil, les éléments de la police ou de l’armée se mettaient aux trousses des brigands jusqu’ā leur capture. Rien n’est malheureusement fait dans ce sens. Faute d’être traqués, ceux-ci finissent par se volatiliser dans la nature non sans semer désolation et mort sur leur chemin de retour vers leurs repères.
Dans les cités et les villes, les enquêtes -initiées la plupart du temps sans conviction ni volonté de succès- débouchent rarement sur l’identification des malfrats et leur capture. Quand bien même ils seraient capturés par la population et jetés en prison, il n’est pas rare d’apprendre qu’ils s’en sont évadés ou qu’ils en ont été extraits par force par des hommes en armes et en uniforme militaire. Sous d’autres cieux, ceux qui osent s’échapper des prisons sont très vite rattrapés dans leur cavale et remis en détention. La fois passé, dans la région, une attaque perpétrée samedi 26 mars dans la soirée par des présumés rebelles ADF dans plusieurs localités du territoire de Beni a fait des morts, des blessés, et des disparus et vingt-huit maisons incendiées.
Des sources locales disaient que, les assaillants étaient lourdement armés.
Selon l’ONG Centre d’étude pour la promotion de la paix, la démocratie et le droit de l’homme (Cepadho), ce sont les villages Nkpele, Vudaki, Misongo et Kamvuyo qui ont été la cible des assaillants.

Commentaires