Les millitaires Fardc lourdement armés,ont attaqués de nouveau, une position du groupe Maï-Maï Mazembe, vers localité, Kateku, dans le groupement de Ikobo, tôt le matin du samedi 03 septembre 2016, tôt le matin, à 4 heures locale, en Térritoire de Walikale, situé au Nord-Kivu : Les habitants de cette partie du Nord-Kivu, se sont réveillés, sous les créputements des armes, qui sont entrain de déchirer le ciel de ce térritoire. Les gens enttendent les détonations des armes lourde et légère, de part et d'autres, qui a creé, un climat de peur au sein dela population craignant, d'être victimes de ce nouveau combats à répétion, ce dernier temp, dans la région. Jusqu' en présent, le bilan reste inconnu, sélon une source d'ONG CRDH Convention pour le réspect des droits del'homme, noyau duTérritoire de Lubero, àl'Est dela République Démocratique du Congo. !

Il y a deux mois, cette agglomération était devenue, fantôme de suite de l’incendie des habitations par des combattants FDLR.
Constat réalisé sur place par le reporter de la Radio Moto Butembo-Beni, qui séjournait dans cette partie du territoire de WALIKALE mardi 26 janvier dernier.
Sur le terrain, des habitations détruites par les combattants FDLR en novembre 2015 ont été momentanément occupées, par certains propriétaires dépuis dimanche dernier.
Des militaires FARDC et des maï-maï dénommés MAZEMBE ont assurés, la sécurité de la population qui regagne petit à petit, l’agglomération de BULEUSA. Un marché de fortune a été érigé sur place. En dépit de ce climat, les habitants vivent dans l’incertitude suite à l’absence du personnel soignant dans la structure sanitaire de la place, regrette notre source.
Par ailleurs, les populations civiles de MBWAVINYWA, village situé au sud-ouest de BINGI en territoire de Lubero n’ont pas abandonné leurs habitations de suite des affrontements entre les FARDC et les miliciens maï-maï PARECO coalisés aux FDLR. Ces derniers ont été délogés, par les FARDC il y a plus de deux semaines. Interrogés ce mercredi 27 janvier 2016 par la RMBB, ces habitants restent sceptiques ! Et attendent beaucoup des éléments loyalistes qui se sont, déjà, installés à BUSEKERA, MBWAVINYWA et KANYATSI depuis, l’occupation de ces positions par les maï-maï et alliés, il y a 5 ans.
Ces miliciens sont accusés d’avoir brûlé l’un des sites de déplacés à Buleusa en territoire de Walikale (Nord-Kivu). La MONUSCO estime à environ 1000 déplacés hutus dans cette région. Ces derniers sont accusés par des autochtones de complicité avec les rebelles hutus rwandais. Au moins sept morts chez les miliciens et une dizaine de blessés ont été signalés ce jeudi 16 juin 2016. Ces miliciens sont accusés... Des miliciens Maï-Maï Mazembe ont tué samedi 27 août deux personnes et blessés cinq autres au village Kyuto dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Ils ont également incendié une cinquantaine de maisons, rapporte l’administrateur de ce territoire du Nord-Kivu.
Les assaillants se sont enfuis après un échange des tirs avec les militaires pendant environ trente minutes. Cette attaque a occasionné le déplacement des habitants du village.
L’administrateur du territoire affirme que la situation est redevenue calme. Deux personnes ont été tuées dans la nuit de dimanche à lundi dans une attaque à caractère ethnique attribuée à un groupe d'autodéfense contre un village majoritairement habité par des Hutu congolais dans l'est de la République démocratique du Congo, a indiqué un responsable local.
"Des Maï-Maï (des milices locales d'autodéfense, nldr) ont attaqué le village de Chuto, habité en grande partie par des Hutu dans la nuit du 28 au 29 août, faisant deux personnes tuées, une femme et un enfant, sept blessés et 57 cases brulées", a déclaré lundi à l'AFP l'administrateur du territoire de Lubero dans le Nord-Kivu (est).
Le village de Chuto est situé à près de 260 km au nord de Goma, à la frontière de Butembo, ville où mercredi deux personnes soupçonnées de vouloir rejoindre les auteurs d'une série de massacres dans la région de Beni, ont été "lynchées puis brûlées" par la population.
Dans cette région, plusieurs dizaines de personnes ont été tuées dans cette zone lors d'affrontements opposant Nande et Hutu depuis le début de l'année. Les derniers affrontements entre membres de ces deux communautés remontent au 8 août et avaient causé la mort de sept personnes.
Les Nande accusent les Hutu congolais d'être complices des rebelles hutu rwandais de Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) pour les chasser de leur territoire. Les Hutu congolais, qui ne nient pas être à la recherche de nouvelles terres agricoles, accusent les Nande de violer leur droit constitutionnel à s'installer où ils le veulent.
Opposés au pouvoir de Kigali, les FDLR, disséminés essentiellement au Nord et au Sud-Kivu, n'ont pas mené d'action militaire d'envergure au Rwanda depuis 2001, mais sont régulièrement accusés de commettre des atrocités contre les civils dans les zones sous leur contrôle.
L'est de la RDC est déchiré depuis plus de 20 ans par des conflits armés alimentés par des différends ethniques et fonciers, la concurrence pour le contrôle des ressources minières et des rivalités entre puissances régionales.
Le chef de la MONUSCO, Maman Sidikou, a émis mardi 30 août le vœu de voir la question de l’insécurité dans l’Est de la RDC être traitée au dialogue qui s’ouvre jeudi afin qu’une solution globale soit dégagée.
Lors d’une rencontre avec les responsables des confessions religieuses et la société civile des villes de Beni et Butembo, M. Sidikou a expliqué : «Le déplacement des populations, les tensions interethniques. Les solutions ne relèvent pas d’une force militaire… il faut gérer ces questions-là de façon plus globale. C’est pourquoi je parlais tantôt du dialogue qui a tout intérêt à commencer à réfléchir sur ces questions-là.»

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