Marche pacifique des acteurs politique del'opposition sur toute étendu dela République Démocratique du Congo, le lundi 19 septembre 2016 ! Dans certains coins du pay, tout est passé dans le calme selon quelques groupes d'opposant présent, dans le pay ! Dans le térritoire de Beni situé dans la partie Nord dela province du Nord-Kivu, ...

Quelques membres des acteurs politique del'opposition, viennent de déposer dans l'avant midi de ce lundi 19 septembre 2016, leurs mémorundum, au Bureau dela Ceni-Oicha, chef lieu du térritoire de Beni au N/Kivu, pour qu'ils organisent les élections dans le délais constitionnel, Sur toute étendu dela République Démocrtique du Congo.
Les policiers ont accompagnés ces gens dans le calme, du rond-point Oicha, jusqu'au Bureau dela Ceni, situé dans le quartier Masosi, sur axe routier, Oicha-Beni !
Avec quelques afichage à leurs mains, sur le quelle on pouvait lire, le président Joséph Kabila doit partir sans condition, le 19 décembre 2016....
Selon une source du journale, http://www.7sur7.cd/new/
« 28 novembre 2018 », date proposée pour la présidentielle rejetée par l’opposition !
Aucune des élections qui devaient se tenir depuis lors n’a eu lieu. En septembre, la Cour constitutionnelle a invalidé le calendrier des scrutins préparé par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) prévoyant la tenue d’une présidentielle et de législatives fin novembre 2016.
Les opposants au chef de l’État accusent M. Kabila depuis des mois de chercher à tout prix à se maintenir à son poste au-delà du terme de son mandat.
– Retarder la présidentielle –
Certains hauts cadres de la majorité n’ont pas caché récemment leur souhait de voir la présidentielle retardée, arguant, entre autres, d’un manque d’argent dans les caisses de l’État.
Les opposants interprètent toutes les évolutions politiques récentes comme le résultat d’une stratégie destinée à repousser la présidentielle ou rendre impossible sa tenue, qu’il s’agisse de l’arrêt de la Cour constitutionnelle, de la mise en place à la hâte de nouvelles provinces ingouvernables et de la nomination de commissaires spéciaux choisis par l’exécutif pour les administrer, ou de la démission du vice-président de la Céni, issu du parti présidentiel, après celle du chef de cette commission pour « raison de santé ».
Face à ces accusations, le gouvernement dénonce inlassablement un « procès d’intention ».
En septembre, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti de l’opposant historique Étienne Tshisekedi, avait annoncé avoir cessé de négocier avec le pouvoir en vue de la tenue du « dialogue national », estimant que ces discussions avaient conduit à un « échec ».
Au dialogue national, le blocage persiste. Aucune avance n’est notée sur l’exigence de l’opposition de fixer la date de la présidentielle avant la fin des travaux. Les opposants souhaitent avoir des indications précises sur le jour de la tenue de l’élection présidentielle et de la passation de pouvoir entre le président sortant et entrant. Une question majeure que cette composante considère comme une revendication légitime qu’elle ne peut pas laisser passer au risque de saborder tous les acquis du dialogue. L’opposant Vital Kamerhe est très formel. « Nous ne sortirons pas d’ici sans avoir cette date là », explique le co-moderateur de l’opposition qui menace de ne pas signer l’accord politique sans la résolution de ce préalable. Des dates proposées par la Ceni pour la tenue de la présidentielle, des législatives nationales et provinciales ont été réjétées. Lors des tractations, la date du 28 novembre 2018 aurait été avancée pour la tenue de l’élection présidentielle. La proposition à été aussitôt rejetée par l’opposition. Les experts de l’église catholique pensent le contraire. Ils croient que les 16 mois + 1 pour l’enrôlement, ne peuvent nullement justifier le renvoi de la présidentielle en 2018. A compter de février 2016, l’opération d’enrôlement devra s’arrêter en juin 2017. « Les six autres mois restants de 2017 devront être consacrés pour la convocation des élections présidentielle, députation nationale et provinciale », soutiennent l’opposition et la Cenco. D’ailleurs, cette analyse rejoint celle des experts de l’organisation internationale de la Francophonie qui défendent depuis toujours qu’une rallonge dix mois, suffit pour la convocation la présidentielle et d’autres scrutins. A la majorité, cette thèse ne passe pas. Pour le sénateur PPRD, She Okitundu, il est incensé de contraindre la commission électorale nationale indépendante à publier un calendrier électoral avant la fin de la révision du fichier électoral. Ainsi, tout se plante. Impossible de signer l’accord politique dans ces conditions. Le chef de l’opposition au dialogue, Vital Kamerhe a rappelé qu’il n’y aura pas la signature de l’accord politique sanctionnant les travaux sans que la date de la présidentielle et la passation de pouvoir soit connue. Mais devant la presse, l’ancien président de l’Assemblée nationale affichait encore son optimisme affirmant qu’un compromis avec la majorité est encore possible. Lundi après-midi, le bureau de la Ceni va s’expliquer et le débat qui s’en suivra, sera télévisé pour permettre à la population de suivre les dernières options levées sur base des contraintes techniques, logistiques et opérationnelles.

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